9 novembre 2020 - 13h30 - Monde
Le parquet affirme que l’homme interpellé vendredi et placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur la tentative d’assassinat du prêtre orthodoxe, Nikolaos Kakavelakis, survenu le 31 octobre à Lyon, est passé aux aveux. Georgi P. est le mari d’une femme « qui entretenait une liaison avec la victime ».
Une source proche de l’enquête a confié à France Télévisions que le suspect, un Géorgien de 40 ans, a indiqué aux enquêteurs s’être débarrassé de l’arme du crime dans la Saône. Tout comme lui, son épouse, une russe de 35 ans, est également placé en garde à vue.
Alors que le prêtre de 52 ans fermait les portes de son église, située dans le 7ᵉ arrondissement, il a reçu deux balles en provenance d’un tir de fusil à canon scié, à bout touchant. Il s’est retrouvé dans un état grave. Admis en urgence à l’hôpital, l’homme d’église est sorti du coma mardi, fait savoir un responsable religieux de la communauté hellénique.
Le parquet affirme que l’homme interpellé vendredi et placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur la tentative d’assassinat du prêtre orthodoxe, Nikolaos Kakavelakis, survenu le 31 octobre à Lyon, est passé aux aveux. Georgi P. est le mari d’une femme « qui entretenait une liaison avec la victime ».
Une source proche de l’enquête a confié à France Télévisions que le suspect, un Géorgien de 40 ans, a indiqué aux enquêteurs s’être débarrassé de l’arme du crime dans la Saône. Tout comme lui, son épouse, une russe de 35 ans, est également placé en garde à vue.
Alors que le prêtre de 52 ans fermait les portes de son église, située dans le 7ᵉ arrondissement, il a reçu deux balles en provenance d’un tir de fusil à canon scié, à bout touchant. Il s’est retrouvé dans un état grave. Admis en urgence à l’hôpital, l’homme d’église est sorti du coma mardi, fait savoir un responsable religieux de la communauté hellénique.
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