Selon un analyste sur France24, ce sont Israël et le Maroc qui sont les plus déçus par l'éviction leur indéfectible soutien que fut le fasciste Trump.
- Au Moyen-Orient, l’histoire retiendra du mandat de Donald Trump l’alignement total de l’administration américaine sur les positions d’Israël, avec comme point d’orgue le transfert de l’ambassade des États-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem.
Trump s’est aussi distingué par la fermeture de la représentation de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) à Washington et l’encouragement de nombreux États arabes à normaliser leurs relations avec Israël.
(...).
Au Maroc, on semble aussi préférer le statu quo à cause de la position de Trump vis-à-vis du dossier du Sahara occidental. « La dimension et la qualité des rapports entre les deux pays s’est sensiblement renforcée sous la présidence Trump. Que demander de plus ? C’est là un acquis qui ne peut, me semble-t-il, que se consolider dans l’hypothèse d’un second mandat de Trump », analysait il y a quelques jours le politologue Mustpha Sehimi au site H24info.
Moncef Marzouki, ancien président de la Tunisie, a d’ores et déjà présenté ses condoléances à « Al-Sissi, Ibn Zayed, Ibn Salmane, Netanyahu et leurs semblables ».
« La victoire de Biden est confirmée aussi bien que ses répercussions sur nous. C’est la victoire de la démocratie sur le populisme, de l’humanité sur le racisme, des principes sur les intérêts, de l’intelligence sur la combine. C’est une claque douloureuse pour la corruption de la part de l’intégrité », a indiqué Marzouki avant même l’annonce des résultats définitifs de l’élection américaine.
TSA
- Au Moyen-Orient, l’histoire retiendra du mandat de Donald Trump l’alignement total de l’administration américaine sur les positions d’Israël, avec comme point d’orgue le transfert de l’ambassade des États-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem.
Trump s’est aussi distingué par la fermeture de la représentation de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) à Washington et l’encouragement de nombreux États arabes à normaliser leurs relations avec Israël.
(...).
Au Maroc, on semble aussi préférer le statu quo à cause de la position de Trump vis-à-vis du dossier du Sahara occidental. « La dimension et la qualité des rapports entre les deux pays s’est sensiblement renforcée sous la présidence Trump. Que demander de plus ? C’est là un acquis qui ne peut, me semble-t-il, que se consolider dans l’hypothèse d’un second mandat de Trump », analysait il y a quelques jours le politologue Mustpha Sehimi au site H24info.
Moncef Marzouki, ancien président de la Tunisie, a d’ores et déjà présenté ses condoléances à « Al-Sissi, Ibn Zayed, Ibn Salmane, Netanyahu et leurs semblables ».
« La victoire de Biden est confirmée aussi bien que ses répercussions sur nous. C’est la victoire de la démocratie sur le populisme, de l’humanité sur le racisme, des principes sur les intérêts, de l’intelligence sur la combine. C’est une claque douloureuse pour la corruption de la part de l’intégrité », a indiqué Marzouki avant même l’annonce des résultats définitifs de l’élection américaine.
TSA
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