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Attaque au couteau à Paris : l’Algérien interpellé est un « homme héroïque »

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  • Attaque au couteau à Paris : l’Algérien interpellé est un « homme héroïque »

    Attaque au couteau à Paris : l’Algérien interpellé est un « homme héroïque »

    Algérien, qui a été interpellé hier vendredi 25 septembre après l’attaque au couteau à Paris, puis relâché, a tenté d’arrêter l’agresseur et a été qualifiée par son avocate d’ «homme héroïque ».

    En effet, le ressortissant algérien a été relâché ce vendredi dans la nuit après avoir été interpellé puis mis en garde à vue dans le cadre de l’enquête suite à l’attaque à la hache à Paris, rapportent plusieurs médias français.

    Âgé de 33 ans, l’Algérien a été libéré de sa garde à vue aux environs de 23h30. Il a affirmé aux enquêteurs qu’il a en fait été témoin de l’attaque et a tenté de poursuivre l’auteur de l’attaque avant d’être menacé. Son récit a finalement été « corroboré par l’enquête », indique une source judiciaire citée par Le Temps.

    « Le deuxième suspect n’est autre qu’un jeune homme héroïque qui a tenté d’arrêter l’assaillant », a affirmé Me Lucie Simon, présentée par l’agence AFP comme étant l’avocate de l’Algérien interpellé.

    L’avocate explique ainsi sur Twitter que son client « s’est présenté à la police pour témoigner » avant d’être « menotté, cagoulé devant les caméras, placé en garde à vue malgré les témoins et les vidéos ».
    #attentat, le 2ème suspect n'est autre qu'un jeune homme héroïque qui a tenté d'arrêter l'assaillant. Il s'est présenté à la police pour témoigner, on l'a menotté, cagoulé devant les caméras, placé en garde à vue malgré les témoins et les vidéos. Il sort ce soir épuisé et choqué.
    — Lucie Simon (@LucieSimon94) September 25, 2020
    « Il sort ce soir épuisé et choqué », dénonce Me Simon.

    L’attaque au hachoir s’est déroulée hier vendredi devant les anciens locaux de Charlie Hebdo dans le 11e arrondissement à Paris. Deux personnes, un homme et une femme, ont été grièvement blessées. Leurs jours ne sont pas en danger. Le ministre de l’Intérieur français, Gérald Darmanin a qualifié l’attaque d’ « acte de terrorisme islamiste ».


    TSA
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

  • #2
    C'est trop tard les premières infos (Tapage Médiatique) qui compte dans la mémoire galo homme héroïque

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    • #3
      AMOKRANE15100
      C'est trop tard les premières infos (Tapage Médiatique) qui compte dans la mémoire galo homme héroïque
      Et évidement, AMOKRANE est très très heureux que ses concitoyens soient maltraités et stigmatisés !


      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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      • #4
        Attaque au couteau à Paris : l’Algérien interpellé a été finalement relâché

        L’Algérien de 33 ans, qui a été interpellé après l’attaque au couteau qui avait fait deux blessés près de l’ancien siège de Charlie Hebdo à Paris et placé en garde à vue, a été relâché, rapportent ce samedi les médias français.

        Selon RTL, cet Algérien qui était considéré hier comme le second suspect, est « mis hors de cause ». Il a dit aux enquêteurs qu’ « il a été témoin, a poursuivi l’auteur et a ensuite été menacé », ce qui a été « corroboré par l’enquête », précise Le Progrès.

        Cet Algérien a été interpellé près de la station de météo Richard Lenoir alors que le principal suspect, un jeune Pakistanais de 18 ans, a été arrêté à la place de la Bastille. Il a reconnu les faits.

        Un ancien colocataire du principal suspect a été interpellé, ce qui porte à sept le nombre de personnes placées en garde à vue, depuis hier vendredi.

        « Manifestement c’est un acte de terrorisme islamiste », a déclaré le ministre français de l’Intérieur Gérald Darmanin hier vendredi sur France 2. L’enquête a été confiée au parquet antiterroriste.

        Charlie Hebdo avait fait l’objet d’une attaque terroriste en janvier 2015. Le procès de cet attentat est en cours.
        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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        • #5
          Comme quoi , faut pas être rapide sur la gâchette .

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          • #6
            Madir kheir ma itra bass disent les anciens. oeilfermé

            (Trad. : ne cherche pas à faire le bien et tu n'auras pas de problèmes).

            Commentaire


            • #7
              hakimcasa
              Madir kheir ma itra bass disent les anciens. oeilfermé
              (Trad. : ne cherche pas à faire le bien et tu n'auras pas de problèmes).
              Si on raisonne comme tu le dis toi, il n'y aura plus aucune solidarité contre le mal dans ce monde. Et l'injustice règnera en maitre sans partage.
              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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              • #8
                "Attaque à Paris : l'homme présenté comme le deuxième suspect a eu un «comportement héroïque»
                Décla.
                «Il doit être présenté comme un héros, il a eu un comportement héroïque», affirme l'avocate Lucie Simon au sujet de son client, «Youssef» (nom d'emprunt), sorti libre vendredi soir après avoir passé une dizaine d'heures en garde à vue auprès des enquêteurs antiterroristes. Avant d'être mis hors de cause, il avait été présenté comme le deuxième suspect de l'attaque qui a fait deux blessés grave hier à Paris. «Youssef était au niveau du boulevard Richard Lenoir, il entend le cri d'une femme, puis d'un homme et voit quelqu'un partir avec un couteau et qui fait tomber ce couteau à l'entrée de la bouche de métro», raconte-t-elle. «Mon client, qui a fait cela plusieurs fois dans sa vie, se met à lui courir après pour l'arrêter. Il se dit qu'il a dû agresser une femme, sans se douter du caractère terroriste de l'affaire».

                «Il descend en trombe ans le métro, il voit que (le principal suspect) est sur l'autre quai, il crie "qu'est-ce que t'as fait". L'assaillant le pointe avec un cutter et rentre dans le métro. Mon client arrête de le poursuivre parce qu'il est menacé». Une source proche de l'enquête a confirmé à l'AFP les grandes lignes de ce récit. Agé de 33 ans, cet Algérien présent depuis moins de dix ans en France s'est «ensuite présenté aux policiers pour témoigner». Il a été placé en garde à vue «avec une interpellation type affaires de terrorisme : menottes, yeux bandés». Un garde à vue qui n'était pas «strictement nécessaire» selon l'avocate alors que les enquêteurs «avaient déjà tous les éléments». «Ils avaient les vidéos de mon client, qui avait aussi croisé un policier avant d'être interpellé, à qui il avait donné la direction du suspect». «J'ai cru qu'on allait me traiter comme un héros et on m'a mis derrière les barreaux», a notamment dit cet homme, rapporte son avocate."

                Libération.fr


                Il est à l'origine de l'interpellation très rapide du criminel.

                L'IGPN peut être saisie.
                Dernière modification par panshir, 26 septembre 2020, 18h36.

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                • #9
                  En plein action ou de loin y’a toujours un algérien mêlé à l’histoire !! Il a fait ou rien fait de mal toujours on doit cité le nom de l’algerie Pour la crédibilité est une dose de haine supplémentaire.

                  Commentaire


                  • #10
                    Scipio manifeste toi !!

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                    • #11
                      Scipio manifeste toi !!
                      Si il a essayé d'arrêter le Pakistanais, je dis :
                      Bravo à cet Algérien !
                      au n°16 de la rue Grande-Pohulanka, à Wilno, habitait M. Piekielny

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                      • #12
                        Si il a essayé d'arrêter le Pakistanais, je dis :
                        Bravo à cet Algérien !
                        d'habitude , quand c'est quelque chose de négatif, tu ne conditionne jamais , tu es bourrée de certitude et la , c'est rester coincé dans le gosier...tu met un "SI" pour ne pas mourir étouffer ...
                        tu tombe je tombe car mane e mane
                        après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

                        Commentaire


                        • #13
                          Si il a essayé d'arrêter le Pakistanais, je dis :
                          Bravo à cet Algérien !
                          Vu qu' il a été relâché ....... c'est que son récit a été corroboré .

                          Ton SI est donc malvenu..... voire même un peu vicieux

                          Mais bon , est ce surprenant de la part d'un scipio ???
                          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                          • #14
                            Ton SI est donc malvenu..... voire même un peu vicieux
                            on ce moment , les fachos sont tous a l'affut du nom de cette "algerien" pour aller chercher dans les poubelle du net histoire de lui faire une "manal" , avec un peut de chance ils vont trouver un de ces tweet sur le voile...ou ben laden .
                            tu tombe je tombe car mane e mane
                            après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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                            • #15
                              « Je sais comment je suis, je le referais. »

                              Témoignage de Youssef et son frère lemonde.fr:

                              "Attaque à Paris : Youssef, le « deuxième suspect », mis hors de cause, raconte comment il a tenté d’arrêter l’assaillant
                              Présenté comme le « deuxième suspect » de l’attaque perpétrée devant les ex-locaux de « Charlie hebdo », il raconte au « Monde » comment il a tenté d’arrêter l’assaillant avant d’être lui-même pris à tort pour un complice.

                              Par Nicolas Chapuis Publié hier à 18h49, mis à jour à 11h57

                              « Je voulais être un héros et je me suis retrouvé derrière les barreaux. » Avec un sourire un peu désolé, Youssef résume son histoire, celle d’un geste courageux qui l’a conduit tout droit en garde à vue dans une affaire de terrorisme. L’espace d’une demi-journée, cet Algérien d’une trentaine d’années a été le « deuxième suspect » de l’attaque qui s’est déroulée dans la rue des anciens locaux de Charlie Hebdo, vendredi 25 septembre.

                              Il a été libéré dans la nuit de vendredi à samedi, après avoir été totalement mis hors de cause. « Son récit est tout à fait crédible, il n’est pas du tout connu de nos services », confie une source policière haut placée. Aucune charge n’est retenue contre lui. Le Monde l’a rencontré longuement, samedi 26 septembre, en compagnie de son avocate, Me Lucie Simon.

                              Il raconte, presque comme une mauvaise farce, l’enchaînement des événements. Son récit est régulièrement interrompu par ses deux frères et son meilleur ami, qui semblent réaliser plus que lui la gravité de la situation dans laquelle il s’est retrouvé. Il est aux alentours de midi quand cet ouvrier quitte son frère qui travaille dans un immeuble non loin de la rue Nicolas-Appert.

                              « J’ai entendu les cris d’une femme »
                              « J’étais en train d’entrer dans ma voiture, quand j’ai entendu les cris d’une femme. Je regarde dans mon rétroviseur pour voir ce qui se passe, puis je sors de ma voiture et j’entends cette fois un homme qui crie : “Non, non, non !” A ce moment-là, je vois un mec suspect qui court en direction du métro Richard-Lenoir, je suis parti directement pour le suivre. »

                              Youssef pense qu’il s’agit d’une agression. « Dans ma tête, je vais essayer d’attraper la personne qui a fait ça », explique-t-il. « Ce n’est pas la première fois qu’il fait ce genre de choses », ajoute son grand frère, avec un mélange de fierté et d’inquiétude.

                              Youssef voit l’individu se débarrasser d’un « grand couteau ». Il s’agit, en réalité, du hachoir avec lequel il vient d’agresser et de blesser grièvement deux salariés de la société de production Premières Lignes, dont les locaux se situent dans l’ancien immeuble de Charlie Hebdo. Il s’engouffre à sa poursuite dans le métro. Il enjambe le portique, hésite sur la direction à suivre et prend l’escalier sur la droite.

                              « Il m’a sorti une lame de cutter »
                              « Je me suis retrouvé sur le quai d’en face, je le vois de l’autre côté. Je lui ai dit : “Toi, reste là !”, j’ai fait comme un flic », s’amuse-t-il. Il rebrousse chemin et prend la direction du bon quai. « J’arrive et je lui demande ce qu’il a fait. Il m’a sorti une lame de cutter. » Youssef reste à distance. « Il m’a dit quelque chose, mais je n’ai rien compris. Je crois qu’il ne parlait pas le français. Il était étonnamment calme. C’est comme s’il attendait tranquillement le métro. Il est monté dedans sans agresser personne et il est parti en direction de Bastille. » Youssef a le temps de voir du sang sur le visage et sur la main de l’homme qui lui fait face.

                              En ressortant du métro, Youssef croise un homme avec une barre de fer qui cherche l’agresseur. Il le dissuade de suivre le suspect. La police est appelée sur les lieux et débarque une dizaine de minutes plus tard. Youssef explique la situation à un agent et l’informe que le suspect s’est dirigé vers Bastille.

                              « Ensuite, je voulais aller voir les victimes, mais un policier m’a dit : “Tu dégages !” J’ai raconté que j’avais suivi le mec. Ils m’ont d’abord dit de laisser mon numéro de téléphone. Ensuite, un policier m’a dit de me mettre contre le mur, il m’a fait une fouille. Un de ses collègues lui a dit de me lâcher, que je n’avais rien fait. » Youssef quitte alors les lieux en voiture. Il veut aller chercher son portefeuille avec sa pièce d’identité pour pouvoir témoigner.

                              « Pas besoin des menottes ! »
                              Au même moment, les agents de la Préfecture de police de Paris qui scrutent la vidéosurveillance repèrent son échange avec le principal suspect sur les caméras du métro. Sa photo commence à circuler et est montrée au gardien d’immeuble où travaille son frère. Ce dernier, qui est resté sur les lieux, le rappelle pour lui dire de revenir rapidement. Youssef fait demi-tour.

                              Arrivé sur les lieux, il approche un policier. « Il a appelé son chef, ils avaient ma photo. Ils sont venus autour de moi, ils étaient une dizaine. Ils m’ont emmené dans le métro. Ils m’ont demandé de regarder en direction des caméras pour prendre mon portrait, ils m’ont aussi pris en photo avec leurs téléphones. Puis ils m’ont mis des menottes. J’en entends un qui dit en chuchotant : “On l’a chopé.” Je lui réponds : “Vous m’avez pas du tout chopé, c’est moi qui suis venu pour témoigner !” »

                              Deux policiers s’approchent de lui pour lui notifier sa garde à vue et lui demandent de signer un document. Youssef ne comprend pas ce qui lui arrive. « Ils me demandent si je veux prendre un avocat, mais moi je ne voulais pas, je n’ai rien fait, je n’ai pas besoin d’avocat ! » La brigade de recherche et d’intervention arrive sur les lieux. « Ils étaient plus violents, eux, ils refusaient de me parler. Moi, j’essayais d’expliquer : “Je veux bien vous suivre où vous voulez pour raconter l’histoire, mais il n’y a pas besoin des menottes.” » Les policiers lui placent un masque anti-Covid sur le bas du visage, un masque occultant pour cacher les yeux et lui rabattent sa capuche sur la tête. « Avant de sortir du métro, ils ont parlé entre eux, en demandant : “Est-ce qu’ils sont là ?” Ils parlaient des journalistes. Ils voulaient que ça se voit qu’ils avaient arrêté quelqu’un. »

                              Youssef est conduit dans les locaux de la police judiciaire, dans le 17e arrondissement. Il est fouillé, ses lacets lui sont retirés et il est placé en cellule. « C’était la première fois de ma vie. Heureusement, il y avait un policier qui était là depuis le début et qui me parlait, lui j’avais confiance en lui. Il m’a dit : “Youssef, t’inquiète pas, on va juste te questionner, tu as fait un truc bien, on fait juste notre travail.” Lui, je le remercie. »

                              « S’ils m’avaient gardé à la place… »
                              Le jeune homme ne le sait pas, mais, à l’extérieur, c’est l’effervescence. L’auteur principal des faits a déjà été interpellé. La nouvelle de l’arrestation d’un « deuxième suspect » lié à l’attaque fait le tour des rédactions. Sa date de naissance est divulguée, ainsi que ses initiales et sa nationalité. « Ça, ça me dérange, lance son frère. Il a fait un geste héroïque et, au final, toute la famille se retrouve à avoir peur. Et puis pourquoi on met “un Algérien” en gros partout ? » Son meilleur ami raconte le sang d’encre qu’ils se sont fait : « Souvent, quand ils attrapent les terroristes, les mecs sont morts. Imaginez s’il avait fait un mauvais geste au moment de l’arrestation ou quelque chose comme ça… »

                              En cellule, Youssef réalise peu à peu ce dans quoi il est embarqué. « J’avais peur, s’ils avaient pas attrapé la personne, s’ils m’avaient gardé à la place… On imagine plein de choses. » Bénéficiant d’un titre de séjour de dix ans, il s’inquiète aussi pour ses démarches pour obtenir la nationalité française. Les policiers évoquent une perquisition de son domicile, mais elle n’aura jamais lieu. Preuve que la piste de son implication a rapidement été écartée, il est finalement libéré aux alentours de minuit. Plusieurs versions médiatiques feront pourtant état de « deux terroristes » toute la journée.

                              « Si l’on peut comprendre dans une affaire d’une telle ampleur que toutes les précautions doivent être prises, une garde à vue doit rester strictement nécessaire, estime son avocate, Lucie Simon. Ici, rien ne justifie que Youssef soit entendu sous ce régime, il aurait parfaitement pu être entendu librement, comme simple témoin. On traite un jeune homme au comportement héroïque comme un terroriste, on le cagoule, on le menotte. »

                              Son grand frère reprend : « Il se retrouve mêlé à une affaire dans laquelle il n’a rien à voir. Ça laisse des traces. Là, il sourit, mais je peux vous dire que, ce soir, il va mal dormir, c’est un sensible. » Quand on demande à Youssef s’il referait la même chose dans les mêmes circonstances ou s’il tournerait les talons, il rigole : « Je sais comment je suis, je le referais. »

                              Nicolas Chapuis"

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