Si ce raciste supputait que la dictature marocaine offense son peuple par la contrainte qui lui faite de s'abaisser et baiser la main du narcotrafiquant et addictif à la coke M6, Geerts Wilders serait plus crédible.
- Moment de malaise à la Chambre des représentants des Pays-Bas, mercredi, avec le passage du leader du Parti pour la liberté (Partij voor de Vrijheid, PVV) pour s’exprimer sur les politiques générales. Profitant d'un temps de parole plus long que les 35 minutes prévues, Geert Wilders est revenu sur sa condamnation pour avoir insulté les Marocains, en enfonçant davantage le clou.
Le leader du PVV a ainsi estimé que les Pays-Bas sont devenus «un pays intensément corrompu». «Les personnes ayant une opinion indésirable ne sont plus protégées par la liberté d'expression», déclare-t-il, rapporté par les médias néerlandais. Et de qualifier son pays de «dictature politiquement correcte de la majorité libérale de gauche».
Geert Wilders n’a pas raté l’occasion pour tirer sur les Marocains, affirmant que «les Néerlandais sont victimes de discrimination aux Pays-Bas car ils seraient maltraités, volés et attaqués par des Marocains à grande échelle». Il a évoqué «la terrible terreur marocaine».
«Il y a maintenant des millions de Néerlandais qui aimeraient avoir moins de Marocains (…) Personne n'offense le groupe des Marocains plus que les Marocains eux-mêmes», a-t-il lâché, provoquant la consternation chez les députés, dont les Néerlando-marocains Farid Azarkan, chef du parti DENK, ainsi que Khadija Arib, qui préside la Chambre basse.
Début septembre, la Cour d’appel de La Haye a confirmé la condamnation du dirigeant d’extrême-droite Geert Wilders pour avoir insulté des Marocains, à travers ses propos tenus lors d’un rassemblement électoral en 2014 contre les Marocains des Pays-Bas. Les juges n’ont toutefois pas infligé de peine et ont annulé la condamnation de l’homme politique pour incitation à la haine.
Ya...bi
- Maroc. Le roi met (provisoirement) en berne l’humiliante « bay’a »
Pour la première fois depuis l’arrivée au pouvoir du souverain Mohammed VI en juillet 1999, la cérémonie controversée de l’allégeance, appelée bay’a en arabe, est « reportée » à cause du Covid-19. Plongée dans un rituel d’origine religieuse humiliant, mais qui sert à légitimer un pouvoir politique.
(...).
PROPHÈTE, HOMME POLITIQUE, CHEF MILITAIRE
La bay’a remonte en effet à l’époque du prophète Mohammed, lorsque celui-ci s’installe à Médine pour fuir La Mecque où sa vie était en danger. Cette installation parmi quelques tribus arabes et juives qui lui auraient fait « allégeance » correspond à une rupture nette dans son parcours : à son statut initial de prophète s’ajoute celui d’homme politique et de chef militaire-.
Omar Brouksy in l'Orient xx1
- Moment de malaise à la Chambre des représentants des Pays-Bas, mercredi, avec le passage du leader du Parti pour la liberté (Partij voor de Vrijheid, PVV) pour s’exprimer sur les politiques générales. Profitant d'un temps de parole plus long que les 35 minutes prévues, Geert Wilders est revenu sur sa condamnation pour avoir insulté les Marocains, en enfonçant davantage le clou.
Le leader du PVV a ainsi estimé que les Pays-Bas sont devenus «un pays intensément corrompu». «Les personnes ayant une opinion indésirable ne sont plus protégées par la liberté d'expression», déclare-t-il, rapporté par les médias néerlandais. Et de qualifier son pays de «dictature politiquement correcte de la majorité libérale de gauche».
Geert Wilders n’a pas raté l’occasion pour tirer sur les Marocains, affirmant que «les Néerlandais sont victimes de discrimination aux Pays-Bas car ils seraient maltraités, volés et attaqués par des Marocains à grande échelle». Il a évoqué «la terrible terreur marocaine».
«Il y a maintenant des millions de Néerlandais qui aimeraient avoir moins de Marocains (…) Personne n'offense le groupe des Marocains plus que les Marocains eux-mêmes», a-t-il lâché, provoquant la consternation chez les députés, dont les Néerlando-marocains Farid Azarkan, chef du parti DENK, ainsi que Khadija Arib, qui préside la Chambre basse.
Début septembre, la Cour d’appel de La Haye a confirmé la condamnation du dirigeant d’extrême-droite Geert Wilders pour avoir insulté des Marocains, à travers ses propos tenus lors d’un rassemblement électoral en 2014 contre les Marocains des Pays-Bas. Les juges n’ont toutefois pas infligé de peine et ont annulé la condamnation de l’homme politique pour incitation à la haine.
Ya...bi
- Maroc. Le roi met (provisoirement) en berne l’humiliante « bay’a »
Pour la première fois depuis l’arrivée au pouvoir du souverain Mohammed VI en juillet 1999, la cérémonie controversée de l’allégeance, appelée bay’a en arabe, est « reportée » à cause du Covid-19. Plongée dans un rituel d’origine religieuse humiliant, mais qui sert à légitimer un pouvoir politique.
(...).
PROPHÈTE, HOMME POLITIQUE, CHEF MILITAIRE
La bay’a remonte en effet à l’époque du prophète Mohammed, lorsque celui-ci s’installe à Médine pour fuir La Mecque où sa vie était en danger. Cette installation parmi quelques tribus arabes et juives qui lui auraient fait « allégeance » correspond à une rupture nette dans son parcours : à son statut initial de prophète s’ajoute celui d’homme politique et de chef militaire-.
Omar Brouksy in l'Orient xx1
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