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Maroc : Moulay El Hassan est-il préparé à succéder à Mohammed VI ?

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  • Maroc : Moulay El Hassan est-il préparé à succéder à Mohammed VI ?

    Le roi du Maroc Mohammed VI pourrait être contraint de céder le trône à son fils, Moulay El Hassan âgé seulement de 17 ans. Le prince héritier devrait prématurément accéder au pouvoir en raison de la maladie de son père. Dans les cercles proches du palais royal, l’on se demande si l’état de santé du souverain chérifien lui permettrait de tenir jusqu’à l’arrivée du prince héritier à la majorité pour être couronné. L’hypothèse de la succession de Moulay El Hassan à son père dans les prochains mois, est sérieusement évoquée du côté du royaume chérifien.

    Le Maroc pourrait avoir un roi qui n’a pas encore atteint la majorité. Il s’agit de l’actuel prince héritier Moulay El Hassan âgé de 17 ans. Le roi Mohammed VI est au bord de l’essoufflement, selon des observateurs marocains. La deuxième intervention qu’il a subie au niveau du cœur, deux ans après la première, révèle, selon eux, la fragilité de la santé du roi. En 2018, il avait déjà connu des ennuis de santé, avec un trouble du rythme cardiaque. Le roi marocain avait subi une opération avec succès, selon l’équipe médicale qui l’avait opéré.

    Le roi du Maroc est réapparu en début de semaine, après une absence de plus de trois mois. Mohammed VI n’affichait pas du tout, la grande forme. Il n’arrivait presque pas à lire le texte qu’il avait devant les yeux lors de son discours officiel à l’occasion de la Fête du Trône, célébrée le 29 juillet. Un incident qui a suscité de nouveau les inquiétudes sur l’état de santé du monarque.
    Moulay El Hassan préparé à la succession

    Si, dans le futur, Mohammed VI devra prendre son retrait, il peut néanmoins compter sur son fils, Moulay El Hassan, pour prendre le relais. Car pour les observateurs, le jeune prince, qui a récemment fêté ses 17 ans et obtenu son BAC avec brio, se prépare depuis des années déjà à sa destinée royale.

    Celui que les Marocains surnomment “Smyet Sidi”, participe à des événements publics avec son père, tant au Maroc que dans des pays étrangers. Ces deux dernières années, il s’est également vu confier de plus en plus de responsabilités, comme la présidence d’inaugurations et de cérémonies. Il a même représenté son père à l’étranger quand celui-ci ne pouvait se déplacer.

    Au niveau international, Moulay El Hassan s’est déjà fait un nom. Il a assisté notamment seul aux obsèques de Henri d’Orléans en janvier 2019, puis à celles de Jacques Chirac quelques mois plus tard.


    ObsAlgerie

  • #2
    si le roi abdique je pense que le prince moulay rachid prendra les rennes du pouvoir ,en attendant la majorite hassan 3.

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    • #3
      comme si le pays ne tenait qu'à m6 en personne ou h2 en personne...c'est tout un système pourri jusqu'à l'os qui contrôle le pays...


      pareil chez celui qui a ouvert le topic ou le journal dz , boutef est parti vive boutef, enfin teboun, enfin l'armée, enfin le 5ème mandat, bref, c'est la continuité.....

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      • #4
        Au Maroc, le pouvoir s'hérite au même que le peuple qui forme les sujets du roi astreints au baisemain . Ainsi le roi est tout à la fois: Chef- d'Etat, chef-des- armées, commandeur des croyants, des croyants de toutes les religions itou commandeur des agnostiques voire même des athées!

        En bref, ce pays est davantage une fantasia qu'un véritable Etat au propre sens du terme.

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        • #5
          si le roi abdique je pense que le prince moulay rachid prendra les rennes du pouvoir ,en attendant la majorite hassan
          Je le pense aussi,

          Et je pense même que M6 pourrait abdiquer en faveur de son fils d'ici quelques années si les conjectures le permet pour des raisons de santé.

          Il me donne l'impression qui pourra le faire à l'exemple de l'émir du Qatar

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          • #6
            si pour une raison ou une autre le prince héritier devener roi avant ces 20 ans il sera assisté par un conseil de régence comme la constitution le prévoit.
            Droite des Valeurs
            Gauche du Travail
            Centre "Intérêt de Mon Pays"

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            • #7
              le prince est trop jeune pour devenir souverain ,imagine hassan 3 qui doit s entretenir avec le president trump ou le president russe ,on serait la risee du monde entier,le meilleur scenario c est moulay rachid jusque a la majorite de hassan 3 et meme 20 ans c est beaucoups trop jeune.
              la monarchie marocaine risque une crise.

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              • #8
                si le roi est gravement et je pense que il l est ,il doit immediatement signer un dahir pour que son frere le remplace jusqu a ce que hassan 3 a 26 ans pour prendre le relais.

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                • #9
                  Conseil de régence, mode d’emploi

                  Lors du dernier Conseil des ministres, tenu à Laâyoune, le 6 février 2016, a été adopté le projet de loi organique relatif au nouveau Conseil de régence prévu par la Constitution de juillet 2011. Il s’agit là d’un texte important venant implémenter l’application de la loi suprême dans une situation institutionnelle particulière: celle de la minorité du Roi. Du point de vue procédural, tout d’abord, ce texte a été directement inscrit à l’ordre du jour du Conseil des ministres, en application des dispositions de l’article 49 de la Constitution. Il n’avait pas, à ce titre, à être délibéré par le Conseil du gouvernement. Il a d’ailleurs été préparé par le secrétariat général du gouvernement en étroite liaison avec le cabinet royal…


                  Cela dit, quelles en sont les nouveautés? La première, c’est assurément la désignation du Chef du gouvernement parmi les membres du Conseil de régence, aux côtés de quinze autres membres, dont les présidents des deux Chambres du parlement. Une «correction» qui a tout son sens au moins pour deux raisons. L’une a trait au nouveau statut du Chef du gouvernement, issu des résultats des urnes et à la tête d’une majorité. Il aurait été anormal qu’il n’y soit pas du fait de la légitimité électorale et politique de son statut. Quant à l’autre, elle regarde la nature et la dimension des attributions de ce Conseil de régence. Cet organe est en eff et appelé à fonctionner dans une période de «transition»; il s’apparente à un “chef d’Etat collectif” prenant en charge «les pouvoirs et les droits constitutionnels de la Couronne, sauf ceux relatifs à la révision de la Constitution» (art. 49, al. I). Pourquoi cette exception? Parce que le Conseil de régence n’est appelé à fonctionner que par «intérim» pour assurer la continuité institutionnelle.


                  Lui donner la faculté de pouvoir revoir la loi suprême, c’est lui permettre de modifi er peu ou prou l’architecture institutionnelle et les relations entre les organes publics. A noter encore, deux autres remarques. Au plan religieux, c’est le Roi mineur qui a la charge de Commandeur des croyants qui lui est transmise par succession dynastique sur la base d’un renouvellement de la Bay’a. De plus, pour ce qui est du domaine militaire, le président du Conseil de régence assume les fonctions de chef suprême des Forces armées royales mais avec deux restrictions. Ainsi, il ne peut les placer en état d’alerte ni ordonner des opérations ou une concentration de troupes que sur la base d’une délibération conforme du Conseil de régence et du Conseil supérieur de sécurité.


                  Au titre des innovations, il faut relever que le président-délégué du pouvoir judiciaire en est membre, ainsi que le secrétaire général du conseil supérieur des ouléma, ce dernier substituant donc le président du Conseil régional des ouléma des villes de Rabat et de Salé. Reste la question des dix autres membres désignés par le Roi intuitu personae. L’ancien texte avait élargi ce quota de sept à dix membres. Qu’en sera-t-il dans le nouveau Conseil de régence? Quels seront les paramètres de désignation des uns et des autres? Qui y seront et peut-être surtout qui n’y seront pas? En tout état de cause, cela ne manquera pas de sens.


                  La dernière modifi cation est relative à l’âge de la minorité du Roi qui est relevé de 10 à 18 ans. C’est un retour à un seuil déjà fi xé dans les trois premières Constitutions de 1962,1970 et 1972. Son abaissement à 16 ans, lors du référendum du 23 mai 1980, n’a jamais fait l’objet d’une lecture offi cielle conséquente et probante, quoi que… Ce conseil de régence substitue l’exercice des pouvoirs et droits du Roi jusqu’à l’âge de dix ans et fonctionnera comme organe consultatif ensuite jusqu’à ce que le Roi ait atteint vingt ans. Un accompagnement sous forme de monitoring mais seulement de conseil de bonne gouvernance à l’initiative du souverain.

                  maroc hebdo
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                  • #10
                    Article 44 de la constitution de 2011 qui régie la régence :

                    Le Roi est mineur jusqu’à dix-huit ans accomplis. Durant la minorité du Roi, un Conseil de Régence exerce les pouvoirs et les droits constitutionnels de la Couronne, sauf ceux relatifs à la révision de la Constitution. Le Conseil de Régence fonctionnera comme organe consultatif auprès du Roi jusqu’au jour où il aura atteint l’âge de vingt ans accomplis.

                    Le Conseil de Régence est présidé par le Président de la Cour Constitutionnelle. Il se compose, en outre, du Chef du Gouvernement, du Président de la Chambre des Représentants, du Président de la Chambre des Conseillers, du Président-délégué du Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire, du Secrétaire général du Conseil supérieur des Oulémas et de dix personnalités désignées par le Roi intuitu personae.
                    Les règles de fonctionnement du Conseil de Régence sont fixées par une loi organique.
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                    • #11
                      maroc

                      les conséquences d'une abdication serait catastrophique.

                      on à des institutions qui joue leurs rôle autant s'appuyait dessus et attendre.
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                      • #12
                        on serait la risee du monde entier,


                        c'est deja le cas et depuis longtemps, mais bon ceux qui voient leur roi promener sur la lune c'est claire qu'ils viennent d'une autre galaxy
                        المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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                        • #13
                          c'est deja le cas et depuis longtemps, mais bon ceux qui voient leur roi promener sur la lune c'est claire qu'ils viennent d'une autre galaxy

                          ils sont pas plus ridicules que ceux qui ont cru leur président pour les capacités de l'algérie à organiser 2 coupes du monde..., en 2014 un président sur une chaise roulante "élu" avec un score à la staline, en 2019 un président "élu" avec 1 citoyen sur 5 qui s'est déplacé pour voter (et encore...), non le maroc n'est pas la risée, mais toi avec tes commentaires débiles tu l'es, faux oujdi mais vrai cachiriste...

                          on écrit galaxie et non galaxy, fais au moins un effort d'orthographe à défaut d'écrire des choses intelligentes...

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                          • #14
                            galaxie et non galaxy,

                            il pensé a son double c'est pour ça.
                            Droite des Valeurs
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                            • #15
                              " ils sont pas plus ridicules que ceux qui ont cru leur président pour les capacités de l'algérie à organiser 2 coupes du monde.."

                              Il s'agissait d'une plaisanterie de Boutef. Ce dernier aimait les boutades du genre: " Mais pourquoi les Marocains réalisent des miracles avec une flûte et un serpent et pas nous?"

                              "[I]Les ambassadeurs marocains sont connus pour être des pigeons voyageurs[/I]" (suite au rappel de l'ambassadeur marocain d'Alger suite au match de foot ASSE Sétif contre une équipe marocaine).
                              Dernière modification par rago, 07 août 2020, 20h42.

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