Alors que le journaliste Omar Radi a annoncé qu'il est convoqué ce lundi 13 juillet au siège de la BNPJ pour la 4ème fois en 15 jours pour faire l'objet d'une enquête sur son implication présumée dans une affaire d’obtention de financements de l’étranger en lien avec des agences de services de renseignement, le site Le Desk, dont Radi est l'un de ses fondateurs, a publié une vidéo dans laquelle on peut voir que le journaliste est filmé de près, interpellé et harcelé jusqu’à ce qu’il franchisse le portail de la BNPJ par Chouf Tv, une web tv créee et financée par la police politique marocaine.
Tandis que l’enquête n’est qu’à sa phase préliminaire, Omar Radi continue d’être la victime d’une campagne médiatique de diffamation et de lynchage orchestrée par différents médias, dont notamment le site de buzz, ChoufTV.ma. Les reporters de la web tv sont d’ailleurs toujours présents à chaque venue de Radi aux locaux de la BNPJ pour l’accuser en direct d’être un agent à la solde de services de renseignement étrangers, indique Le Desk, en ajoutant que sa famille et ses proches ne sont pas épargnés. Ce harcèlement et les accusations portées contre le journaliste sur le parvis de la BNPJ ne semblent pas déranger le service de police qui laisse faire.
En effet, aucun média au Maroc n'est autorisé à filmer devant le siège de la BNPJ. Mais c'est une exception pour Chouf Tv qui filme même les agents, ce qui pousse certains à poser des quetions sur ce "média" spécialisé dans la diffamation et la calomnie. Comme l'a fait le journaliste Salaheddine Lemaizi qui a interpellé la police marocaine sur Twitter.
Le Courrier du Rif 12 juillet 2020
Tandis que l’enquête n’est qu’à sa phase préliminaire, Omar Radi continue d’être la victime d’une campagne médiatique de diffamation et de lynchage orchestrée par différents médias, dont notamment le site de buzz, ChoufTV.ma. Les reporters de la web tv sont d’ailleurs toujours présents à chaque venue de Radi aux locaux de la BNPJ pour l’accuser en direct d’être un agent à la solde de services de renseignement étrangers, indique Le Desk, en ajoutant que sa famille et ses proches ne sont pas épargnés. Ce harcèlement et les accusations portées contre le journaliste sur le parvis de la BNPJ ne semblent pas déranger le service de police qui laisse faire.
En effet, aucun média au Maroc n'est autorisé à filmer devant le siège de la BNPJ. Mais c'est une exception pour Chouf Tv qui filme même les agents, ce qui pousse certains à poser des quetions sur ce "média" spécialisé dans la diffamation et la calomnie. Comme l'a fait le journaliste Salaheddine Lemaizi qui a interpellé la police marocaine sur Twitter.
Le Courrier du Rif 12 juillet 2020
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