La dictature marocaine va t-elle soutenir son sosie israélien pour son annexion de 30% de la Cisjordanie occupée?
" Il ne faut pas être plus palestiniens que les Palestiniens" un lapsus de l'homosexuel Bourita qui en dit long!:22:
- Une violation de plus
Le gouvernement du Premier ministre israélien, qui doit annoncer à partir de ce 1er juillet sa stratégie pour mettre en place le plan de l’administration Trump pour le Proche- Orient, qui prévoit l’annexion par Israël de 30% de la Cisjordanie occupée, va-t-il renoncer à son projet ?
La mobilisation, affichée de la communauté internationale aux côtés des Palestiniens sera-t-elle suffisamment dissuasive ? Le chef de la diplomatie française a affirmé que « la décision ne pouvait pas passer sans conséquences pour les relations entre l’Union européenne et Israël et qu’elle ( la décision) ne peut pas rester sans réponse» en raison de sa gravité. Paris menace de reconnaitre la Palestine «si les Israéliens décidaient d’aller de l’avant dans le processus d’annexion».
Benjamin Netanyahu va-t-il tenir compte de cette menace ou va-t-il passer outre prenant au passage le risque de «payer» le coût de la décision d’annexion ? Israël qui jouit du soutien indéfectible de l’administration Trump pourrait être tenté de mettre en œuvre le plan américain. Mais parce que le président américain risque de quitter la Maison blanche dans quelques mois, il se pourrait que le gouvernement israélien adopte une stratégie inverse, évitant par la même de se mettre à dos l’Union européenne.
D’autant que pour l’ONU, l’annexion est contre le droit international. Pour l’organisation onusienne si cette annexion se réalise «cela tuera l’idée que la paix et un Etat pour les Palestiniens peuvent être obtenus via des négociations». Or, a rappelé Antonio Guterres, «l’objectif reste d’avoir deux Etats dans les frontières reconnues basées sur les lignes définies en 1967 avec El Qods capitale».
De plus, la concrétisation de cette annexion constituerait une menace à la stabilité régionale et risque de mettre fin à plus d’un quart des efforts internationaux en vue d’instaurer la paix dans cette région du monde. C’est pourquoi nombreux sont ceux qui préconisent la reprise des négociations car convaincus qu’une chance doit être donnée à la diplomatie. Mais il est important aussi de rappeler que la patience des Palestiniens a atteint ses limites-.
El Moudjahid
" Il ne faut pas être plus palestiniens que les Palestiniens" un lapsus de l'homosexuel Bourita qui en dit long!:22:
- Une violation de plus
Le gouvernement du Premier ministre israélien, qui doit annoncer à partir de ce 1er juillet sa stratégie pour mettre en place le plan de l’administration Trump pour le Proche- Orient, qui prévoit l’annexion par Israël de 30% de la Cisjordanie occupée, va-t-il renoncer à son projet ?
La mobilisation, affichée de la communauté internationale aux côtés des Palestiniens sera-t-elle suffisamment dissuasive ? Le chef de la diplomatie française a affirmé que « la décision ne pouvait pas passer sans conséquences pour les relations entre l’Union européenne et Israël et qu’elle ( la décision) ne peut pas rester sans réponse» en raison de sa gravité. Paris menace de reconnaitre la Palestine «si les Israéliens décidaient d’aller de l’avant dans le processus d’annexion».
Benjamin Netanyahu va-t-il tenir compte de cette menace ou va-t-il passer outre prenant au passage le risque de «payer» le coût de la décision d’annexion ? Israël qui jouit du soutien indéfectible de l’administration Trump pourrait être tenté de mettre en œuvre le plan américain. Mais parce que le président américain risque de quitter la Maison blanche dans quelques mois, il se pourrait que le gouvernement israélien adopte une stratégie inverse, évitant par la même de se mettre à dos l’Union européenne.
D’autant que pour l’ONU, l’annexion est contre le droit international. Pour l’organisation onusienne si cette annexion se réalise «cela tuera l’idée que la paix et un Etat pour les Palestiniens peuvent être obtenus via des négociations». Or, a rappelé Antonio Guterres, «l’objectif reste d’avoir deux Etats dans les frontières reconnues basées sur les lignes définies en 1967 avec El Qods capitale».
De plus, la concrétisation de cette annexion constituerait une menace à la stabilité régionale et risque de mettre fin à plus d’un quart des efforts internationaux en vue d’instaurer la paix dans cette région du monde. C’est pourquoi nombreux sont ceux qui préconisent la reprise des négociations car convaincus qu’une chance doit être donnée à la diplomatie. Mais il est important aussi de rappeler que la patience des Palestiniens a atteint ses limites-.
El Moudjahid
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