Commentant l’ouverture de consulats généraux de pays africains à Laâyoune et Dakhla, Bachir D’khil, l’ex-membre fondateur du Polisario, expert sahraoui et acteur associatif, a estimé qu’il s’agit là d’une reconnaissance internationale irréversible de la marocanité du Sahara.
Il a également souligné que cette évolution est la conséquence de la mise à la disposition de certains pays des données réelles de ce dossier.
S’étant basés sur des données erronées, ces pays se sont rendus compte de la nécessité de rectifier leurs positions.
L’expert sahraoui a aussi mis en exergue les changements observés au niveau des rapports du Conseil de sécurité qui utilisent un nouveau langage qui pourrait mener à la résolution du dossier de manière équitable après que le plan de règlement ait pris du retard.
Bachir Dkhil a, par ailleurs, indiqué que le succès de la dynamique que connaissent les provinces du Sud est le fruit de l’orientation stratégique entreprise par l’Etat marocain en Afrique et qui consolide la position de Laâyoune sur le plan sous-régional.
Il a ajouté que cette position s’est trouvée confortée par la richesse des liens économiques, religieux et culturels ainsi tissés et qui ont fait prendre conscience aux dirigeants africains de la nécessité de développer cette coopération dans le cadre du principe «gagnant-gagnant».
Notons que Laâyoune abrite et abritera dans les mois à venir de nombreuses activités marocaines et africaines ainsi que le Forum des pays de l’Océan pacifique qui verra la participation des ministres des Affaires étrangères de 12 pays et qui consolidera la position de la ville, selon les observateurs.
Ahmadou El-Katab
Il a également souligné que cette évolution est la conséquence de la mise à la disposition de certains pays des données réelles de ce dossier.
S’étant basés sur des données erronées, ces pays se sont rendus compte de la nécessité de rectifier leurs positions.
L’expert sahraoui a aussi mis en exergue les changements observés au niveau des rapports du Conseil de sécurité qui utilisent un nouveau langage qui pourrait mener à la résolution du dossier de manière équitable après que le plan de règlement ait pris du retard.
Bachir Dkhil a, par ailleurs, indiqué que le succès de la dynamique que connaissent les provinces du Sud est le fruit de l’orientation stratégique entreprise par l’Etat marocain en Afrique et qui consolide la position de Laâyoune sur le plan sous-régional.
Il a ajouté que cette position s’est trouvée confortée par la richesse des liens économiques, religieux et culturels ainsi tissés et qui ont fait prendre conscience aux dirigeants africains de la nécessité de développer cette coopération dans le cadre du principe «gagnant-gagnant».
Notons que Laâyoune abrite et abritera dans les mois à venir de nombreuses activités marocaines et africaines ainsi que le Forum des pays de l’Océan pacifique qui verra la participation des ministres des Affaires étrangères de 12 pays et qui consolidera la position de la ville, selon les observateurs.
Ahmadou El-Katab
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