Il faudrait connaitre l'avis des Algérien.ne.s sur la même question. Il serait fort possible que leur avis soit inverse de celui des Marocains car 'Algérie n'a pas à gagner 8 milliards de dollars annuellement en cas de restauration des frontières terrestres algéro-marocaines.
- L’ouverture des frontières avec l’Algérie est vivement souhaitée par quasiment tous les Marocains. C’est du moins l’extrapolation que l’on peut faire au vu des chiffres et conclusions d’un récent rapport publié au Maroc.
Dans son tout dernier rapport annuel sur l’état de l’intégration intermaghrébine, le Centre marocain d'études et d'analyse des politiques rapporte que plus de 90% des Marocains qu’il a sondés ont exprimé leur ardent souhait de voir s’ouvrir rapidement les frontières algéro-marocaines.
Selon les chiffres rapportés par le quotidien Al Massae dans son édition du mercredi 26 février, c’est surtout la catégorie des plus de 50 ans qui a quasiment «plébiscité» cette demande d’ouverture des frontières avec un taux de 95,5%. Au niveau de la catégorie des 18-24 ans, ce chiffre, même s’il retombe à 85%, reste quand même très significatif de la volonté réelle de l’écrasante majorité des Marocains de voir s’instaurer durablement la totale liberté de circulation des biens et des personnes avec leur voisin oriental.
Pour ce qui est des raisons des blocages qui font obstacle à l’intégration maghrébine, 48% des sondés les attribuent à de simples désaccords politiques entre Etats, alors que 23% pensent plutôt que ce sont des tentatives stériles de leadership régional (suivez leur regard) qui seraient le principal frein à l’intégration maghrébine.
Pire, et bien que le Maroc et la Tunisie soient de grandes destinations, 16% seulement des sondés disent avoir voyagé, au moins une fois, vers un pays maghrébin. On l’aura compris, le gros de ce contingent est surtout formé d’Algériens qui se rendent en grand nombre chez leur «petit» voisin de l’Est.
Il faut aussi noter, à ce propos, les importants liens familiaux qui existent, au-delà des frontières, entre les trois pays maghrébins (Maroc, Algérie et Tunisie) auxquels s’est limitée l’étude. Ainsi, 47% des sondés sont liés par des liens de parenté avec des ressortissants d’un autre pays maghrébin-.
le 360.ma
- L’ouverture des frontières avec l’Algérie est vivement souhaitée par quasiment tous les Marocains. C’est du moins l’extrapolation que l’on peut faire au vu des chiffres et conclusions d’un récent rapport publié au Maroc.
Dans son tout dernier rapport annuel sur l’état de l’intégration intermaghrébine, le Centre marocain d'études et d'analyse des politiques rapporte que plus de 90% des Marocains qu’il a sondés ont exprimé leur ardent souhait de voir s’ouvrir rapidement les frontières algéro-marocaines.
Selon les chiffres rapportés par le quotidien Al Massae dans son édition du mercredi 26 février, c’est surtout la catégorie des plus de 50 ans qui a quasiment «plébiscité» cette demande d’ouverture des frontières avec un taux de 95,5%. Au niveau de la catégorie des 18-24 ans, ce chiffre, même s’il retombe à 85%, reste quand même très significatif de la volonté réelle de l’écrasante majorité des Marocains de voir s’instaurer durablement la totale liberté de circulation des biens et des personnes avec leur voisin oriental.
Pour ce qui est des raisons des blocages qui font obstacle à l’intégration maghrébine, 48% des sondés les attribuent à de simples désaccords politiques entre Etats, alors que 23% pensent plutôt que ce sont des tentatives stériles de leadership régional (suivez leur regard) qui seraient le principal frein à l’intégration maghrébine.
Pire, et bien que le Maroc et la Tunisie soient de grandes destinations, 16% seulement des sondés disent avoir voyagé, au moins une fois, vers un pays maghrébin. On l’aura compris, le gros de ce contingent est surtout formé d’Algériens qui se rendent en grand nombre chez leur «petit» voisin de l’Est.
Il faut aussi noter, à ce propos, les importants liens familiaux qui existent, au-delà des frontières, entre les trois pays maghrébins (Maroc, Algérie et Tunisie) auxquels s’est limitée l’étude. Ainsi, 47% des sondés sont liés par des liens de parenté avec des ressortissants d’un autre pays maghrébin-.
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