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Trump a partagé une vidéo trafiquée de Pelosi déchirant son discours qui a été visionné des millions de fois, et les démocrates sont scandalisés, Facebook et Twitter ne la supprimeront toujours pas
Connor Perrett 9 févr.2020, 17:35
Nancy Pelosi a enragé les républicains lorsqu'elle a déchiré le discours sur l'état de l'Union de Trump après sa conclusion la semaine dernière.
Jeudi, le président a partagé une vidéo trafiquée qui la montrait en train de le déchirer pendant qu'il présentait Charles McGee, l'un des derniers aviateurs de Tuskegee.
Twitter et Facebook ont résisté aux appels pour retirer la vidéo éditée, affirmant qu'elle ne violait pas leurs règles, enrageant les démocrates et enhardissant les attaques républicaines contre le président de la Chambre.
Visitez la page d'accueil de Business Insider pour plus d'histoires .
Les démocrates sont scandalisés après que Facebook et Twitter ont tous deux refusé de retirer une vidéo, le président a tweeté que le calendrier des événements a été modifié lors du discours sur l'état de l'Union de la semaine dernière pour faire croire que la présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, avait en fait déchiré le discours de Trump pendant qu'il présentait Charles McGee, l'un des derniers aviateurs de Tuskegee vivants.
La décision de Pelosi de déchirer le discours du président, qui a effectivement eu lieu lors de la conclusion de son discours sur l'état de l'Union le 4 février, a été controversée en soi. Les démocrates ont félicité le président de la Chambre pour avoir tenu tête au président, qui a été acquitté par le Sénat dans son procès pour destitution moins de 24 heures plus tard. Les républicains ont été scandalisés par la décision de Pelosi, certains appelant à sa réprimande , affirmant qu'elle pourrait violer les lois qui interdisent la destruction des documents gouvernementaux.
Alors que le discours sur le déménagement de Pelosi, qui, en sortant de l'adresse, a déclaré aux journalistes qu'elle "l'a déchiré ", a semblé s'éteindre alors que le cycle des nouvelles passait à d'autres nouvelles, mais jeudi, le président a rallumé le feu à propos de son acte polarisant quand il a tweeté la version éditée de la vidéo.
Dans une vidéo du moment réel, Pelosi a déchiré le discours lorsque le président a conclu son discours qui a duré environ une heure et 20 minutes.
Trump a une histoire de partage de contenu trafiqué provenant de diverses sources
Le filigrane "Freedom Fights" dans la vidéo appartient à l'organisation conservatrice Turning Point USA. Trump a fréquemment partagé des vidéos éditées de diverses sources.
En juillet, par exemple, le président a tweeté un graphique du magazine TIME édité qui montrait qu'il restait pour toujours le président américain. Cette vidéo a été créée par un compte mème populaire soutenant Trump connu sous le nom de " Carpe Donktum ", qui tweete souvent des vidéos trafiquées qui finissent par être partagées par le 45e président.
Donald J. Trump
✔
@realDonaldTrump
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291K
8:50 PM - Jun 21, 2019
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148K people are talking about this
Par coïncidence, Trump a de nouveau partagé la vidéo dimanche, en écrivant "ça ne vieillira jamais!"
"Le contenu que je poste a été" trafiqué "par moi", a déclaré Donktum dans sa biographie Twitter, semblant reconnaître que ses clips ne dépeignent pas souvent la réalité.
Donktum, qui était également lié à la vidéo controversée qui montrait que Trump tuait ses journalistes et ses critiques, qui avait été joué lors d'un événement pro-Trump en Floride en octobre 2019, a déclaré à Business Insider qu'il n'était pas responsable de la vidéo de Pelosi. Twitter avait suspendu en octobre le compte mème pro-Trump, invoquant une violation du droit d'auteur, bien qu'il ait finalement rétabli le compte.
La vidéo que le président a tweeté n'était pas la première fois qu'il partageait une vidéo trafiquée de Pelosi, un démocrate de Californie. L'année dernière, Pelosi a critiqué Facebook pour avoir refusé de retirer une vidéo d'elle qui avait été trafiquée pour la faire apparaître comme si elle avait insulté et balbutié ses mots.
Il y a eu un différend entre l'équipe de Pelosi et Facebook
"Le peuple américain sait que le président n'a aucun scrupule à lui mentir - mais c'est dommage de voir Twitter et Facebook, sources de nouvelles pour des millions de personnes, faire de même", a tweeté Drew Hammill, chef de cabinet adjoint de Pelosi. vidéo vendredi.
"La dernière fausse vidéo du Président Pelosi est délibérément conçue pour tromper et mentir au peuple américain, et chaque jour que ces plateformes refusent de le retirer est un autre rappel qu'ils se soucient plus des intérêts de leurs actionnaires que des intérêts du public", Hammill ajoutée.
Andy Stone, responsable des communications politiques de Facebook, a répondu au tweet de Hammill .
"Désolé, êtes-vous en train de suggérer que le président n'a pas fait ces remarques et que le Président n'a pas déchiré le discours", a demandé Stone.
"Sur quelle planète vivez-vous? Ceci est faussement modifié. Démontez-le", répondit Hammill.
Stone a confirmé dimanche à Business Insider que la vidéo modifiée ne violait pas les règles de suppression de Facebook. Plus précisément, Stone a souligné deux exigences qui doivent être remplies pour la plate-forme, qui, en octobre 2019, a déclaré que sa politique autorise le président à mentir dans ses annonces de campagne sur la plate-forme car elles ne sont pas vérifiées par Menlo Park, un tiers de la société californienne. vérificateurs des faits.
Stone a déclaré que Facebook ne supprimerait les médias que s'ils "avaient été édités ou synthétisés - au-delà des ajustements pour la clarté ou la qualité - d'une manière qui n'est pas apparente pour une personne moyenne et induirait probablement quelqu'un en erreur en pensant qu'un sujet de la vidéo a dit des mots qu'il n'a pas vraiment dit. "
De plus, pour supprimer une vidéo, Facebook exige qu'elle soit "le produit de l'intelligence artificielle ou de l'apprentissage automatique qui fusionne, remplace ou superpose du contenu sur une vidéo, ce qui la rend authentique", a déclaré Stone à Business Insider.
La vidéo ne viole pas non plus les règles de Twitter - du moins pas encore.
Twitter a confirmé à Business Insider que la vidéo ne violait pas sa politique actuelle. Twitter a annoncé dans un article de blog le 4 février de nouvelles règles sur les médias trafiqués - qui devraient entrer en vigueur le 5 mars - mais il ne dirait pas si la vidéo du président de Pelosi serait supprimée si elle était tweetée une fois que les nouvelles règles auraient été promulguées, selon le Daily Mail .
"Vous ne pouvez pas partager de manière trompeuse des médias synthétiques ou manipulés qui sont susceptibles de nuire", selon le blog de Twitter sur le changement de politique de mars. "De plus, nous pouvons étiqueter les Tweets contenant des médias synthétiques et manipulés pour aider les gens à comprendre l'authenticité des médias et pour fournir un contexte supplémentaire."
Le géant des médias sociaux basé à San, Francisco, en Californie, s'est régulièrement trouvé sur la défensive pour expliquer ses décisions concernant le compte Twitter du président depuis qu'il a pris ses fonctions en 2017. L'année dernière, lors de sa course ratée à la nomination du Parti démocrate pour affronter Trump En novembre dernier, le sénateur Kamala Harris, démocrate de Californie, avait même rejoint les appels à Twitter pour suspendre le président de sa plateforme pour son comportement.
En octobre 2019, Twitter a publié des règles distinctes applicables uniquement aux dirigeants mondiaux, comme le président américain.
"Nous comprenons le désir que nos décisions soient des binaires" oui / non ", mais ce n'est pas si simple", a déclaré Twitter à l'époque. "Les actions que nous prenons et les politiques que nous élaborons créeront un précédent autour du discours en ligne et nous devons aux personnes que nous servons d'être délibérées et prises en compte dans ce que nous faisons."
Jack Dorsey
Fondateur et PDG de Twitter, Jack Dorsey.
David Becker / Getty Images
La société a souvent déclaré qu'elle laissait le contenu potentiellement violateur du président sur la plate-forme à des fins de discussion. L'année dernière, il a institué une politique d' étiquetage des tweets des comptes de plus de 100 000 abonnés qui violent ses politiques plutôt que de les supprimer purement et simplement.
Mais en juillet 2019, lorsque le président a envoyé ses tweets désormais tristement célèbres ordonnant à un groupe de femmes appartenant à des minorités (qui sont toutes des citoyens américains) de "retourner" dans leurs pays ancestraux, Twitter a déclaré qu'il n'allait pas étiqueter les tweets en violation de ses politiques - malgré une politique interdisant les tropes racistes sur la plateforme.
Les démocrates veulent que le clip soit retiré, mais les républicains disent que ce serait de la censure.
Pourtant, les démocrates sont furieux que le clip édité soit resté sur les réseaux sociaux, accumulant quelque 84 000 retweets et 225 000 likes sur Twitter seulement. Sur Facebook , le clip a été visionné près de 3 millions de fois et partagé plus de 34 000 fois.
"Hé @jack, montrez votre engagement à réduire la désinformation qui ronge notre nation et à supprimer cette fausse vidéo", a tweeté la représentante Veronica Escobar, une démocrate du Texas.
Rep. Veronica Escobar
✔
@RepEscobar
This video is clearly another deceptive effort by @realDonaldTrump to mislead and manipulate the American people.
Hey @jack, show your commitment to cut down on the misinformation corroding our nation and take down this fake video. https://twitter.com/realDonaldTrump/...53117929988097 …
Donald J. Trump
✔
@realDonaldTrump
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2,297
5:36 PM - Feb 7, 2020
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Le représentant de la Californie, Ro Khanna , un démocrate, a tweeté "les plateformes de médias sociaux sont un endroit où les gens viennent pour des nouvelles et des informations. Ils doivent avoir certaines normes. La fausseté n'a jamais fait partie de notre tradition du 1er amendement."
D'éminents républicains, cependant, ont exigé que le clip reste sur la plate-forme.
"Ne laissez pas les censeurs totalitaires gagner", a déclaré Benny Johnson, directeur de la création à Turning Point USA et personnalité populaire de droite sur Twitter. "Battez-vous. Pelosi ne veut pas que vous voyiez cette vidéo simplement parce qu'elle montre à quel point son acte était mesquin et insultant au SOTU."
Benny
✔
@bennyjohnson
· Feb 8, 2020
Replying to @bennyjohnson
Yet, our establishment media run coverage for these totalitarian leftists with headlines like “doctored” and “edited.” It’s disgusting. It’s wrong. It sets a horrifying precedent. If this video is “doctored” than legitimately every piece of media on the internet is “doctored.”
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Benny
✔
@bennyjohnson
Don’t let the totalitarian censors win. Fight back. Pelosi does not want you to see this video simply because it shows how petty and insulting her act was at the SOTU.
That should make you want to share our video even more:
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6,048
6:49 PM - Feb 8, 2020
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4,285 people are talking about this
Mike Huckabee, ancien contributeur de Fox News et ancien gouverneur de l'Arkansas, a partagé un sentiment similaire.
"La vidéo que Saint Pelosi ne veut pas que l'Amérique voit", a déclaré Huckabee. "Demandes que @Twitter et @Facebook suppriment. Dieu nous aide s'ils cèdent à cela! Il a prononcé le discours; elle l'a déchiré et avec lui les histoires de grands Américains."
Gov. Mike Huckabee
✔
@GovMikeHuckabee
The video that Saint Pelosi doesn't want America to see. Demands that @Twitter and @Facebook remove. God help us if they cave to this! He gave the speech; she ripped it and with it the stories of great Americans. @NocensorshipME https://twitter.com/realDonaldTrump/...53117929988097 …
Donald J. Trump
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@realDonaldTrump
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15K
1:16 PM - Feb 9, 2020
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"Nancy Pelosi veut que cette vidéo soit retirée. Elle serait vraiment folle si vous la retweetiez ...", a tweeté samedi le représentant de l'Arkansas, Paul Gosar .
La Maison Blanche n'a pas répondu à une demande de commentaires de Business Insider.
Mise à jour: Cet article a été mis à jour pour inclure que la vidéo partagée par Trump a été initialement créée par Turning Point USA.
Connor Perrett 9 févr.2020, 17:35
Nancy Pelosi a enragé les républicains lorsqu'elle a déchiré le discours sur l'état de l'Union de Trump après sa conclusion la semaine dernière.
Jeudi, le président a partagé une vidéo trafiquée qui la montrait en train de le déchirer pendant qu'il présentait Charles McGee, l'un des derniers aviateurs de Tuskegee.
Twitter et Facebook ont résisté aux appels pour retirer la vidéo éditée, affirmant qu'elle ne violait pas leurs règles, enrageant les démocrates et enhardissant les attaques républicaines contre le président de la Chambre.
Visitez la page d'accueil de Business Insider pour plus d'histoires .
Les démocrates sont scandalisés après que Facebook et Twitter ont tous deux refusé de retirer une vidéo, le président a tweeté que le calendrier des événements a été modifié lors du discours sur l'état de l'Union de la semaine dernière pour faire croire que la présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, avait en fait déchiré le discours de Trump pendant qu'il présentait Charles McGee, l'un des derniers aviateurs de Tuskegee vivants.
La décision de Pelosi de déchirer le discours du président, qui a effectivement eu lieu lors de la conclusion de son discours sur l'état de l'Union le 4 février, a été controversée en soi. Les démocrates ont félicité le président de la Chambre pour avoir tenu tête au président, qui a été acquitté par le Sénat dans son procès pour destitution moins de 24 heures plus tard. Les républicains ont été scandalisés par la décision de Pelosi, certains appelant à sa réprimande , affirmant qu'elle pourrait violer les lois qui interdisent la destruction des documents gouvernementaux.
Alors que le discours sur le déménagement de Pelosi, qui, en sortant de l'adresse, a déclaré aux journalistes qu'elle "l'a déchiré ", a semblé s'éteindre alors que le cycle des nouvelles passait à d'autres nouvelles, mais jeudi, le président a rallumé le feu à propos de son acte polarisant quand il a tweeté la version éditée de la vidéo.
Dans une vidéo du moment réel, Pelosi a déchiré le discours lorsque le président a conclu son discours qui a duré environ une heure et 20 minutes.
Trump a une histoire de partage de contenu trafiqué provenant de diverses sources
Le filigrane "Freedom Fights" dans la vidéo appartient à l'organisation conservatrice Turning Point USA. Trump a fréquemment partagé des vidéos éditées de diverses sources.
En juillet, par exemple, le président a tweeté un graphique du magazine TIME édité qui montrait qu'il restait pour toujours le président américain. Cette vidéo a été créée par un compte mème populaire soutenant Trump connu sous le nom de " Carpe Donktum ", qui tweete souvent des vidéos trafiquées qui finissent par être partagées par le 45e président.
Donald J. Trump
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8:50 PM - Jun 21, 2019
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Par coïncidence, Trump a de nouveau partagé la vidéo dimanche, en écrivant "ça ne vieillira jamais!"
"Le contenu que je poste a été" trafiqué "par moi", a déclaré Donktum dans sa biographie Twitter, semblant reconnaître que ses clips ne dépeignent pas souvent la réalité.
Donktum, qui était également lié à la vidéo controversée qui montrait que Trump tuait ses journalistes et ses critiques, qui avait été joué lors d'un événement pro-Trump en Floride en octobre 2019, a déclaré à Business Insider qu'il n'était pas responsable de la vidéo de Pelosi. Twitter avait suspendu en octobre le compte mème pro-Trump, invoquant une violation du droit d'auteur, bien qu'il ait finalement rétabli le compte.
La vidéo que le président a tweeté n'était pas la première fois qu'il partageait une vidéo trafiquée de Pelosi, un démocrate de Californie. L'année dernière, Pelosi a critiqué Facebook pour avoir refusé de retirer une vidéo d'elle qui avait été trafiquée pour la faire apparaître comme si elle avait insulté et balbutié ses mots.
Il y a eu un différend entre l'équipe de Pelosi et Facebook
"Le peuple américain sait que le président n'a aucun scrupule à lui mentir - mais c'est dommage de voir Twitter et Facebook, sources de nouvelles pour des millions de personnes, faire de même", a tweeté Drew Hammill, chef de cabinet adjoint de Pelosi. vidéo vendredi.
"La dernière fausse vidéo du Président Pelosi est délibérément conçue pour tromper et mentir au peuple américain, et chaque jour que ces plateformes refusent de le retirer est un autre rappel qu'ils se soucient plus des intérêts de leurs actionnaires que des intérêts du public", Hammill ajoutée.
Andy Stone, responsable des communications politiques de Facebook, a répondu au tweet de Hammill .
"Désolé, êtes-vous en train de suggérer que le président n'a pas fait ces remarques et que le Président n'a pas déchiré le discours", a demandé Stone.
"Sur quelle planète vivez-vous? Ceci est faussement modifié. Démontez-le", répondit Hammill.
Stone a confirmé dimanche à Business Insider que la vidéo modifiée ne violait pas les règles de suppression de Facebook. Plus précisément, Stone a souligné deux exigences qui doivent être remplies pour la plate-forme, qui, en octobre 2019, a déclaré que sa politique autorise le président à mentir dans ses annonces de campagne sur la plate-forme car elles ne sont pas vérifiées par Menlo Park, un tiers de la société californienne. vérificateurs des faits.
Stone a déclaré que Facebook ne supprimerait les médias que s'ils "avaient été édités ou synthétisés - au-delà des ajustements pour la clarté ou la qualité - d'une manière qui n'est pas apparente pour une personne moyenne et induirait probablement quelqu'un en erreur en pensant qu'un sujet de la vidéo a dit des mots qu'il n'a pas vraiment dit. "
De plus, pour supprimer une vidéo, Facebook exige qu'elle soit "le produit de l'intelligence artificielle ou de l'apprentissage automatique qui fusionne, remplace ou superpose du contenu sur une vidéo, ce qui la rend authentique", a déclaré Stone à Business Insider.
La vidéo ne viole pas non plus les règles de Twitter - du moins pas encore.
Twitter a confirmé à Business Insider que la vidéo ne violait pas sa politique actuelle. Twitter a annoncé dans un article de blog le 4 février de nouvelles règles sur les médias trafiqués - qui devraient entrer en vigueur le 5 mars - mais il ne dirait pas si la vidéo du président de Pelosi serait supprimée si elle était tweetée une fois que les nouvelles règles auraient été promulguées, selon le Daily Mail .
"Vous ne pouvez pas partager de manière trompeuse des médias synthétiques ou manipulés qui sont susceptibles de nuire", selon le blog de Twitter sur le changement de politique de mars. "De plus, nous pouvons étiqueter les Tweets contenant des médias synthétiques et manipulés pour aider les gens à comprendre l'authenticité des médias et pour fournir un contexte supplémentaire."
Le géant des médias sociaux basé à San, Francisco, en Californie, s'est régulièrement trouvé sur la défensive pour expliquer ses décisions concernant le compte Twitter du président depuis qu'il a pris ses fonctions en 2017. L'année dernière, lors de sa course ratée à la nomination du Parti démocrate pour affronter Trump En novembre dernier, le sénateur Kamala Harris, démocrate de Californie, avait même rejoint les appels à Twitter pour suspendre le président de sa plateforme pour son comportement.
En octobre 2019, Twitter a publié des règles distinctes applicables uniquement aux dirigeants mondiaux, comme le président américain.
"Nous comprenons le désir que nos décisions soient des binaires" oui / non ", mais ce n'est pas si simple", a déclaré Twitter à l'époque. "Les actions que nous prenons et les politiques que nous élaborons créeront un précédent autour du discours en ligne et nous devons aux personnes que nous servons d'être délibérées et prises en compte dans ce que nous faisons."
Jack Dorsey
Fondateur et PDG de Twitter, Jack Dorsey.
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La société a souvent déclaré qu'elle laissait le contenu potentiellement violateur du président sur la plate-forme à des fins de discussion. L'année dernière, il a institué une politique d' étiquetage des tweets des comptes de plus de 100 000 abonnés qui violent ses politiques plutôt que de les supprimer purement et simplement.
Mais en juillet 2019, lorsque le président a envoyé ses tweets désormais tristement célèbres ordonnant à un groupe de femmes appartenant à des minorités (qui sont toutes des citoyens américains) de "retourner" dans leurs pays ancestraux, Twitter a déclaré qu'il n'allait pas étiqueter les tweets en violation de ses politiques - malgré une politique interdisant les tropes racistes sur la plateforme.
Les démocrates veulent que le clip soit retiré, mais les républicains disent que ce serait de la censure.
Pourtant, les démocrates sont furieux que le clip édité soit resté sur les réseaux sociaux, accumulant quelque 84 000 retweets et 225 000 likes sur Twitter seulement. Sur Facebook , le clip a été visionné près de 3 millions de fois et partagé plus de 34 000 fois.
"Hé @jack, montrez votre engagement à réduire la désinformation qui ronge notre nation et à supprimer cette fausse vidéo", a tweeté la représentante Veronica Escobar, une démocrate du Texas.
Rep. Veronica Escobar
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D'éminents républicains, cependant, ont exigé que le clip reste sur la plate-forme.
"Ne laissez pas les censeurs totalitaires gagner", a déclaré Benny Johnson, directeur de la création à Turning Point USA et personnalité populaire de droite sur Twitter. "Battez-vous. Pelosi ne veut pas que vous voyiez cette vidéo simplement parce qu'elle montre à quel point son acte était mesquin et insultant au SOTU."
Benny
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@bennyjohnson
· Feb 8, 2020
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Yet, our establishment media run coverage for these totalitarian leftists with headlines like “doctored” and “edited.” It’s disgusting. It’s wrong. It sets a horrifying precedent. If this video is “doctored” than legitimately every piece of media on the internet is “doctored.”
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