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Donald Trump menace de «dévaster» l'économie turque
VIDÉO - La Turquie a affirmé lundi qu'elle continuerait de combattre une milice kurde en Syrie soutenue par Washington, faisant fi des avertissements lancés la veille par le président des États-Unis.
Par lefigaro.fr
Le retrait, annoncé par Donald Trump en décembre, des 2000 soldats américains déployés en Syrie a fragilisé la situation des combattants kurdes.
Le retrait, annoncé par Donald Trump en décembre, des 2000 soldats américains déployés en Syrie a fragilisé la situation des combattants kurdes. RODI SAID/REUTERS
«Nous dévasterons la Turquie économiquement si elle attaque les Kurdes», a menacé dimanche soir Donald Trump. Avant le retrait annoncé des troupes américaines de Syrie, le président des États-Unis appelle à la création d'une «zone de sécurité» de 30 kilomètres, sans plus de précisions sur sa localisation ou sur son financement. Dans le même temps, Washington demande aux Kurdes de «ne pas provoquer la Turquie». La brutalité de l'avertissement américain a surpris et provoqué une réaction d'indignation des autorités turques qui ont invité lundi les États-Unis à honorer le partenariat stratégique qui les lie à la Turquie.
VIDÉO - La Turquie a affirmé lundi qu'elle continuerait de combattre une milice kurde en Syrie soutenue par Washington, faisant fi des avertissements lancés la veille par le président des États-Unis.
Par lefigaro.fr
Le retrait, annoncé par Donald Trump en décembre, des 2000 soldats américains déployés en Syrie a fragilisé la situation des combattants kurdes.
Le retrait, annoncé par Donald Trump en décembre, des 2000 soldats américains déployés en Syrie a fragilisé la situation des combattants kurdes. RODI SAID/REUTERS
«Nous dévasterons la Turquie économiquement si elle attaque les Kurdes», a menacé dimanche soir Donald Trump. Avant le retrait annoncé des troupes américaines de Syrie, le président des États-Unis appelle à la création d'une «zone de sécurité» de 30 kilomètres, sans plus de précisions sur sa localisation ou sur son financement. Dans le même temps, Washington demande aux Kurdes de «ne pas provoquer la Turquie». La brutalité de l'avertissement américain a surpris et provoqué une réaction d'indignation des autorités turques qui ont invité lundi les États-Unis à honorer le partenariat stratégique qui les lie à la Turquie.