Les États-Unis ne peuvent plus être le «gendarme du monde», a déclaré le 26 décembre Donald Trump, lors d'une visite surprise à des militaires américains en Irak, pendant laquelle il a défendu sa décision de retirer les troupes américaines de Syrie.
Donald Trump s'est rendu mercredi en Irak, pour une visite surprise de quelques heures, à la rencontre de soldats américains, et a profité de ce premier déplacement en zone de conflit depuis son élection il y a deux ans pour justifier sa décision de retirer les troupes américaines de Syrie.
Répondant aux journalistes pendant sa visite, Donald Trump a assuré qu'il ne prévoyait «pas du tout» de retirer les troupes américaines d'Irak, voyant «au contraire» la possibilité d'utiliser ce pays «comme une base si nous devions intervenir en Syrie».
Donald Trump a entrepris cette visite une semaine après avoir annoncé que les États-Unis avaient écrasé Daech* en Syrie et que la lutte contre ce groupe terroriste avait été la seule raison de la présence des soldats américains dans le pays. La Maison-Blanche a plus tard diffusé une déclaration annonçant que les États-Unis avaient commencé à retirer leurs troupes de Syrie.
Le 25 décembre, la coalition internationale sous commandement des États-Unis a toutefois déclaré dans un communiqué qu'elle continuerait son opération contre Daech* sur le sol syrien.
Celle-ci mène des opérations en Irak et en Syrie depuis 2014. Les autorités syriennes ne lui ont toutefois jamais donné l'autorisation de se livrer à ces activités.
Source: sputniknews
Donald Trump s'est rendu mercredi en Irak, pour une visite surprise de quelques heures, à la rencontre de soldats américains, et a profité de ce premier déplacement en zone de conflit depuis son élection il y a deux ans pour justifier sa décision de retirer les troupes américaines de Syrie.
Répondant aux journalistes pendant sa visite, Donald Trump a assuré qu'il ne prévoyait «pas du tout» de retirer les troupes américaines d'Irak, voyant «au contraire» la possibilité d'utiliser ce pays «comme une base si nous devions intervenir en Syrie».
Donald Trump a entrepris cette visite une semaine après avoir annoncé que les États-Unis avaient écrasé Daech* en Syrie et que la lutte contre ce groupe terroriste avait été la seule raison de la présence des soldats américains dans le pays. La Maison-Blanche a plus tard diffusé une déclaration annonçant que les États-Unis avaient commencé à retirer leurs troupes de Syrie.
Le 25 décembre, la coalition internationale sous commandement des États-Unis a toutefois déclaré dans un communiqué qu'elle continuerait son opération contre Daech* sur le sol syrien.
Celle-ci mène des opérations en Irak et en Syrie depuis 2014. Les autorités syriennes ne lui ont toutefois jamais donné l'autorisation de se livrer à ces activités.
Source: sputniknews
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