Quand le dictateur Poutine plagie les islamises qu'il prétend pourtant abhorrer ("nous les poursuivrons même dans les chiottes")
- Vladimir Poutine s’est exprimé le 18 octobre à Sotchi sur les risques de conflit nucléaire. L’occasion de réaffirmer qu’il ne ferait jamais de frappe préventive mais que si elle devait riposter, la Russie n’aurait pas peur.
" Notre agresseur doit savoir que nous, nous irons au paradis en martyrs, tandis que lui crèvera sans avoir eu le temps de se repentir" a déclaré le président russe le 18 octobre depuis le colloque du Club Valdaï à Sotchi, comme le rapporte le quotidien en ligne.
Il a ajouté que la Russie n’avait pas peur : “Rien ne peut nous effrayer. Avec un tel territoire, une telle défense et une telle population, nous sommes prêts à défendre nos intérêts.” Selon lui, on ne trouve pas dans tous les pays une telle prédisposition des citoyens à sacrifier leur vie pour leur patrie, “mais chez nous, oui”.
Le Courrier international
- Vladimir Poutine s’est exprimé le 18 octobre à Sotchi sur les risques de conflit nucléaire. L’occasion de réaffirmer qu’il ne ferait jamais de frappe préventive mais que si elle devait riposter, la Russie n’aurait pas peur.
" Notre agresseur doit savoir que nous, nous irons au paradis en martyrs, tandis que lui crèvera sans avoir eu le temps de se repentir" a déclaré le président russe le 18 octobre depuis le colloque du Club Valdaï à Sotchi, comme le rapporte le quotidien en ligne.
Il a ajouté que la Russie n’avait pas peur : “Rien ne peut nous effrayer. Avec un tel territoire, une telle défense et une telle population, nous sommes prêts à défendre nos intérêts.” Selon lui, on ne trouve pas dans tous les pays une telle prédisposition des citoyens à sacrifier leur vie pour leur patrie, “mais chez nous, oui”.
Le Courrier international
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