ISTANBUL- Le président turc Recep Tayyip Erdogan, accueille vendredi des dirigeants des pays membre de l'Organisation de la Coopération Islamique (OCI) en Sommet extraordinaire à Istanbul consacré à l'examen des derniers développements survenus en Palestine.
Ce Sommet extraordinaire de l'OCI, que la Turquie organise en sa qualité de Président en exercice de cette organisation se tiendra sous la présidence de M. Erdogan et sera suivi d'un immense rassemblement populaire de soutien aux Palestiniens dans l'après-midi.
Erdogan, qui a condamné mercredi le silence de la communauté internationale face à la "tyrannie israélienne" après la mort d'une soixantaine de Palestiniens sous des tirs israéliens lundi, a dit espérer que l'OCI enverrait "un message très fort" lors de la réunion d'Istanbul.
Le président Turc avait accusé mardi Israël de "terrorisme d'Etat" et de "génocide".
"Si le silence persiste face à la tyrannie israélienne, le monde va s'enfoncer rapidement dans un chaos où les bandits feront la loi", avait-il encore lancé mercredi lors d'un dîner de rupture du jeûne à Ankara.
L'OCI s'était déjà réuni pour rappel, à Istanbul en décembre 2017, en réponse à l'appel de M. Erdogan pour condamner la décision du président Donald Trump du transfert de l'ambassade américaine à Al-Qods occupée, démarche qui a rompu avec des décennies de consensus international.
La Turquie a rappelé son ambassadeur à Tel-Aviv pour consultations et a demandé mardi à l'ambassadeur d'Israël de quitter temporairement le pays.
Au moins 60 Palestiniens ont été tués et plus de 2.700 autres blessés lundi dernier par les forces d'occupation israéliennes dans la bande de Ghaza, où ils s'étaient rassemblés pour protester pacifiquement contre le déménagement de l'ambassade des Etats-Unis à al-Qods et pour leur commémoration annuelle de la "Nakba" (catastrophe).
Depuis un mois et demi, des milliers, parfois des dizaines de milliers de Ghazaouis manifestent contre le blocus israélien et pour le droit des Palestiniens à revenir sur les terres qu'ils ont fuies ou dont ils ont été chassés à la création d'Israël en 1948. APS
Ce Sommet extraordinaire de l'OCI, que la Turquie organise en sa qualité de Président en exercice de cette organisation se tiendra sous la présidence de M. Erdogan et sera suivi d'un immense rassemblement populaire de soutien aux Palestiniens dans l'après-midi.
Erdogan, qui a condamné mercredi le silence de la communauté internationale face à la "tyrannie israélienne" après la mort d'une soixantaine de Palestiniens sous des tirs israéliens lundi, a dit espérer que l'OCI enverrait "un message très fort" lors de la réunion d'Istanbul.
Le président Turc avait accusé mardi Israël de "terrorisme d'Etat" et de "génocide".
"Si le silence persiste face à la tyrannie israélienne, le monde va s'enfoncer rapidement dans un chaos où les bandits feront la loi", avait-il encore lancé mercredi lors d'un dîner de rupture du jeûne à Ankara.
L'OCI s'était déjà réuni pour rappel, à Istanbul en décembre 2017, en réponse à l'appel de M. Erdogan pour condamner la décision du président Donald Trump du transfert de l'ambassade américaine à Al-Qods occupée, démarche qui a rompu avec des décennies de consensus international.
La Turquie a rappelé son ambassadeur à Tel-Aviv pour consultations et a demandé mardi à l'ambassadeur d'Israël de quitter temporairement le pays.
Au moins 60 Palestiniens ont été tués et plus de 2.700 autres blessés lundi dernier par les forces d'occupation israéliennes dans la bande de Ghaza, où ils s'étaient rassemblés pour protester pacifiquement contre le déménagement de l'ambassade des Etats-Unis à al-Qods et pour leur commémoration annuelle de la "Nakba" (catastrophe).
Depuis un mois et demi, des milliers, parfois des dizaines de milliers de Ghazaouis manifestent contre le blocus israélien et pour le droit des Palestiniens à revenir sur les terres qu'ils ont fuies ou dont ils ont été chassés à la création d'Israël en 1948. APS
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