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Le Maroc, la nouvelle proie de Trump pour une guerre avec l’Iran
En d’autres termes, il est fort probable que les États-Unis perdent la Coupe du monde pour la plus grande joie du Maroc. Mais Trump chercherait à instrumentaliser son concurrent afin de déclencher une confrontation avec l’Iran.
Cet acte serait donc à considérer comme un accord entre Washington et Rabat, un véritable croc-en-jambe à l’Iran. Et pour mieux le comprendre, il faut juste réaliser que Trump est prêt à tout, même de politiser le sport, pour arriver à ses fins : un vote d’opposition équivaut à un coup politique avantageux !
« Ce serait une honte si les pays que nous avons toujours soutenus faisaient campagne contre la candidature américaine. Pourquoi devrions-nous continuer à soutenir ces pays lorsqu’ils ne nous soutiennent pas (y compris aux Nations Unies) ? », a tempêté Donald Trump sur Twitter, le 27 avril dernier.
Entre les deux options sur la table — subir les sanctions américaines en cas d’une opposition ou changer de position politique —, le Maroc aurait finalement choisi d’interrompre brusquement ses relations avec l’Iran. Hypothèse à ne pas négliger.
Press/TV
Le Maroc, la nouvelle proie de Trump pour une guerre avec l’Iran
En d’autres termes, il est fort probable que les États-Unis perdent la Coupe du monde pour la plus grande joie du Maroc. Mais Trump chercherait à instrumentaliser son concurrent afin de déclencher une confrontation avec l’Iran.
Cet acte serait donc à considérer comme un accord entre Washington et Rabat, un véritable croc-en-jambe à l’Iran. Et pour mieux le comprendre, il faut juste réaliser que Trump est prêt à tout, même de politiser le sport, pour arriver à ses fins : un vote d’opposition équivaut à un coup politique avantageux !
« Ce serait une honte si les pays que nous avons toujours soutenus faisaient campagne contre la candidature américaine. Pourquoi devrions-nous continuer à soutenir ces pays lorsqu’ils ne nous soutiennent pas (y compris aux Nations Unies) ? », a tempêté Donald Trump sur Twitter, le 27 avril dernier.
Entre les deux options sur la table — subir les sanctions américaines en cas d’une opposition ou changer de position politique —, le Maroc aurait finalement choisi d’interrompre brusquement ses relations avec l’Iran. Hypothèse à ne pas négliger.
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