Invité de l'émission "Bourdin Direct" sur BFM TV et sur les ondes de RMC mercredi 21 février, Louis Aliot, vice-président du Font National et député des Pyrénées Orientales, a glissé un tacle aux pays du Maghreb et a critiqué leur gestion de l'immigration.
Lors d'un échange sur l'immigration avec le journaliste Jean-Jacques Bourdin, le compagnon de Marine Le Pen soutient que ces pays sont "en train de faire crever leur jeunesse" et "envoient à la France de l'immigration".
"Est-ce que vous savez, aujourd'hui, quels sont les pays qui nous envoient le plus d'immigration?", demande-t-il à Jean-Jacques Bourdin. Le journaliste avance que c'est l'Albanie. "Le Maroc, l'Algérie et la Tunisie", lui rétorque Louis Aliot.
"C'est quand même extraordinaire, trois anciennes colonies françaises dont une a voulu l'indépendance et qui aujourd'hui se fait professionnelle de la migration. Que ces gens-là s'occupent de leurs pays! Ils ont des richesses incroyables! Ils ont du pétrole, ils ont du gaz!" dénonce le député, en s'emportant. "Ils sont en train de faire crever leur jeunesse et en plus maintenant, ils nous envoient de l'immigration".
Interrogé sur le projet de loi "asile et immigration" visant à réguler les flux migratoires en France, qui suscite un vif débat dans l'Hexagone et divise la sphère politique, Louis Aliot affirme que renvoyer les migrants économiques est une "évidence" mais soutient cependant "le droit d'asile", qu'il ne remet pas en cause car il profite à des réfugiés politiques "persécutés dans leurs pays
"Nous ne pouvons plus accueillir des migrants supplémentaires" en France, conclut-il, justifiant le coût financier que paye le contribuable français pour accueillir les populations immigrées.
huffpost
Lors d'un échange sur l'immigration avec le journaliste Jean-Jacques Bourdin, le compagnon de Marine Le Pen soutient que ces pays sont "en train de faire crever leur jeunesse" et "envoient à la France de l'immigration".
"Est-ce que vous savez, aujourd'hui, quels sont les pays qui nous envoient le plus d'immigration?", demande-t-il à Jean-Jacques Bourdin. Le journaliste avance que c'est l'Albanie. "Le Maroc, l'Algérie et la Tunisie", lui rétorque Louis Aliot.
"C'est quand même extraordinaire, trois anciennes colonies françaises dont une a voulu l'indépendance et qui aujourd'hui se fait professionnelle de la migration. Que ces gens-là s'occupent de leurs pays! Ils ont des richesses incroyables! Ils ont du pétrole, ils ont du gaz!" dénonce le député, en s'emportant. "Ils sont en train de faire crever leur jeunesse et en plus maintenant, ils nous envoient de l'immigration".
Interrogé sur le projet de loi "asile et immigration" visant à réguler les flux migratoires en France, qui suscite un vif débat dans l'Hexagone et divise la sphère politique, Louis Aliot affirme que renvoyer les migrants économiques est une "évidence" mais soutient cependant "le droit d'asile", qu'il ne remet pas en cause car il profite à des réfugiés politiques "persécutés dans leurs pays
"Nous ne pouvons plus accueillir des migrants supplémentaires" en France, conclut-il, justifiant le coût financier que paye le contribuable français pour accueillir les populations immigrées.
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