slt je plains ce peuple ? Les camps de réfugiés
Suite à la marche verte et à l'invasion militaire du Maroc, en 1975, puis à l'intensification de la guerre (bombardements de la population au Napalm, destructions et empoisonnement des puits, massacres du bétail, etc.…), des milliers de Sahraouis se sont réfugiés, dés le début de l'année 1976, en Algérie, dans la région de Tindouf. Cent quatre-vingt mille personne vivent aujourd'hui dans les camps, dans des conditions de vie particulièrement éprouvantes. La hamada de Tindouf, plateau de sable et de cailloux extrêmement aride, est l'un des déserts le plus hostile du Sahara. Les températures peuvent atteindre 48° à l'ombre en été - en cette saison, les avions ne peuvent atterrir sur l'aéroport de Tindouf qu'entre minuit et 3 heures du matin- et descendre à -10° la nuit en hiver.
En 1976, dès l'arrivée des premiers réfugiés, la RASD -officiellement créée le 27 février 1976 à Bir Lahlou- démarre un programme d'organisation des camps visant à assurer les services de base (approvisionnement en eau et nourriture, hygiène, santé, éducation, etc.…).
Vingt-cinq ans après, les progrès sont considérables : écoles, crèches, maternités, hôpitaux, centre pour handicapés mentaux (à Smara), système de réservoirs d'eau, panneaux solaires pour l'électricité, etc.… Les premières petites boutiques, dans lesquelles on peut acheter quelques produits de base, ont même fait leur apparition il y a quelques années. Malgré ces améliorations, dues au soutien de l'Algérie, aux aides des organisations humanitaires (couvertures, vêtements, nourriture, etc.…) et aux qualités d'organisation des Sahraouis, la vie dans les camps demeure encore très précaire.
Suite à la marche verte et à l'invasion militaire du Maroc, en 1975, puis à l'intensification de la guerre (bombardements de la population au Napalm, destructions et empoisonnement des puits, massacres du bétail, etc.…), des milliers de Sahraouis se sont réfugiés, dés le début de l'année 1976, en Algérie, dans la région de Tindouf. Cent quatre-vingt mille personne vivent aujourd'hui dans les camps, dans des conditions de vie particulièrement éprouvantes. La hamada de Tindouf, plateau de sable et de cailloux extrêmement aride, est l'un des déserts le plus hostile du Sahara. Les températures peuvent atteindre 48° à l'ombre en été - en cette saison, les avions ne peuvent atterrir sur l'aéroport de Tindouf qu'entre minuit et 3 heures du matin- et descendre à -10° la nuit en hiver.
En 1976, dès l'arrivée des premiers réfugiés, la RASD -officiellement créée le 27 février 1976 à Bir Lahlou- démarre un programme d'organisation des camps visant à assurer les services de base (approvisionnement en eau et nourriture, hygiène, santé, éducation, etc.…).
Vingt-cinq ans après, les progrès sont considérables : écoles, crèches, maternités, hôpitaux, centre pour handicapés mentaux (à Smara), système de réservoirs d'eau, panneaux solaires pour l'électricité, etc.… Les premières petites boutiques, dans lesquelles on peut acheter quelques produits de base, ont même fait leur apparition il y a quelques années. Malgré ces améliorations, dues au soutien de l'Algérie, aux aides des organisations humanitaires (couvertures, vêtements, nourriture, etc.…) et aux qualités d'organisation des Sahraouis, la vie dans les camps demeure encore très précaire.
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