Une star polonaise trieuse d'ordures en Grande-Bretagne
l Agata Wrobel, star du sport polonais, double médaillée olympique et championne du monde d'haltérophilie en 2002, est réduite, à seulement 25 ans, à trier les ordures en Grande-Bretagne depuis qu'une blessure a mis fin prématurément à sa carrière, s'indigne la presse polonaise. «Une grande championne n'a pas sa place dans un tri d'ordures en Angleterre», a déclaré le président de la Fédération polonaise d'haltérophilie. Et de promettre : «Nous allons tout faire pour l'aider.» Comme beaucoup de Polonais qui ont quitté leur pays depuis l'élargissement de l'Union européenne en 2004, la jeune femme s'est exilée pour mieux gagner sa vie. Comme ancienne médaillée olympique, elle a droit à une retraite spéciale payée par l'Etat. Mais elle ne touchera ses 2400 zlotys mensuels (620 euros) qu'à partir de ses 35 ans. L’athlète ne comprend pas trop l'émotion suscitée en Pologne par son cas. «Je commence une nouvelle vie en Angleterre, pour le moment sans sport, je suis quelqu'un de normal, si les autres peuvent le faire, pourquoi pas moi», a-t-elle confié à un quotidien polonais.
l Agata Wrobel, star du sport polonais, double médaillée olympique et championne du monde d'haltérophilie en 2002, est réduite, à seulement 25 ans, à trier les ordures en Grande-Bretagne depuis qu'une blessure a mis fin prématurément à sa carrière, s'indigne la presse polonaise. «Une grande championne n'a pas sa place dans un tri d'ordures en Angleterre», a déclaré le président de la Fédération polonaise d'haltérophilie. Et de promettre : «Nous allons tout faire pour l'aider.» Comme beaucoup de Polonais qui ont quitté leur pays depuis l'élargissement de l'Union européenne en 2004, la jeune femme s'est exilée pour mieux gagner sa vie. Comme ancienne médaillée olympique, elle a droit à une retraite spéciale payée par l'Etat. Mais elle ne touchera ses 2400 zlotys mensuels (620 euros) qu'à partir de ses 35 ans. L’athlète ne comprend pas trop l'émotion suscitée en Pologne par son cas. «Je commence une nouvelle vie en Angleterre, pour le moment sans sport, je suis quelqu'un de normal, si les autres peuvent le faire, pourquoi pas moi», a-t-elle confié à un quotidien polonais.
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