de passage sur le site de la presse Algerienne , Un article m'a flashé :
l'editeur de l'article se demande :
voici l'article :
C’est Tayeb Louh, le ministre du Travail qui a représenté hier notre pays à la 26e session des ministres des Affaires étrangères de l’UMA dont les travaux ont lieu à Rabat. Le fait que Mohamed Bedjaoui, pourtant présent à Alger, n’y soit pas allé, montre le peu de crédit qu’Alger accorde à ce type de rencontres qui servent, au mieux, à entretenir l’illusion d’une UMA.
Une UMA aujourd’hui plus que jamais plombée par les clivages politiques de fond qui divisent ses membres. Cette 26e session intervient dans un contexte de pessimisme encore plus alourdi par la récente décision des autorités libyennes d’instaurer l’obligation de visa pour les ressortissants maghrébins désireux de se rendre chez elles.
Cette histoire de visa, au demeurant sans réel impact, surtout pour les Algériens, démontre à quel point “l’intégration maghrébine” reste otage de la “météo” politique dans la région. Et il en sera ainsi aussi longtemps que les intérêts conjoncturels continuent à primer sur une approche pragmatique des problèmes de la région. Pour ne prendre que le dossier du Sahara occidental et voir comment les Marocains sont en train de manœuvrer pour vendre leur projet d’autonomie, alors que notre pays s’en tient au principe de l’autodétermination, il y a lieu de conclure que la session des ministères des Affaires étrangères ou toutes autres rencontres, à quelque niveau qu’elles soient, apparaissent sans intérêt. D’où la question de demander s’il ne faut pas arrêter cette hypocrisie qui dure depuis des années et décréter la mort des institutions factices de l’UMA. Le temps que le Temps puisse accomplir son œuvre et remettre sur la trajectoire de leur destin commun les pays du Maghreb.
Vous partagez avec lui son point de vue ???
l'editeur de l'article se demande :
D’où la question de demander s’il ne faut pas arrêter cette hypocrisie qui dure depuis des années et décréter la mort des institutions factices de l’UMA.
C’est Tayeb Louh, le ministre du Travail qui a représenté hier notre pays à la 26e session des ministres des Affaires étrangères de l’UMA dont les travaux ont lieu à Rabat. Le fait que Mohamed Bedjaoui, pourtant présent à Alger, n’y soit pas allé, montre le peu de crédit qu’Alger accorde à ce type de rencontres qui servent, au mieux, à entretenir l’illusion d’une UMA.
Une UMA aujourd’hui plus que jamais plombée par les clivages politiques de fond qui divisent ses membres. Cette 26e session intervient dans un contexte de pessimisme encore plus alourdi par la récente décision des autorités libyennes d’instaurer l’obligation de visa pour les ressortissants maghrébins désireux de se rendre chez elles.
Cette histoire de visa, au demeurant sans réel impact, surtout pour les Algériens, démontre à quel point “l’intégration maghrébine” reste otage de la “météo” politique dans la région. Et il en sera ainsi aussi longtemps que les intérêts conjoncturels continuent à primer sur une approche pragmatique des problèmes de la région. Pour ne prendre que le dossier du Sahara occidental et voir comment les Marocains sont en train de manœuvrer pour vendre leur projet d’autonomie, alors que notre pays s’en tient au principe de l’autodétermination, il y a lieu de conclure que la session des ministères des Affaires étrangères ou toutes autres rencontres, à quelque niveau qu’elles soient, apparaissent sans intérêt. D’où la question de demander s’il ne faut pas arrêter cette hypocrisie qui dure depuis des années et décréter la mort des institutions factices de l’UMA. Le temps que le Temps puisse accomplir son œuvre et remettre sur la trajectoire de leur destin commun les pays du Maghreb.
Vous partagez avec lui son point de vue ???
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