Les événements d’Al Hoceima ont révélé finalement la vraie nature du mouvement de contestation et les réels objectifs de ceux qui le conduisent. Ainsi, un individu d’origine rifaine, ex-député du parlement, fugitif de son état, puisqu’il est poursuivi par la justice marocaine pour trafic international de drogue a envoyé une lettre au Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres.
En tant que leader du soi-disant, «*mouvement du 18 septembre pour l’indépendance du Rif*», Saïd Chaôou, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a officiellement saisi l’ONU pour revendiquer ce qu’il pense être les droits du Rif. Il sollicite l’instance internationale à mettre tout en oeuvre pour que le «*peuple du Rif puisse recouvrer son indépendance selon le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes*». Il a ajouté que depuis le déclenchement des manifestations suite au décès de Mohcine fikri, les autorités marocaines les ont systématiquement «*réprimées dans le sang*», dans le cadre d’une stratégie de «*punition punitive du peuple rifain*».
Et sur sa lancée, Saïd Chaôou a même demandé l’intervention de l’ONU pour «*défendre ce peuple de l’extermination effectuée par les autorités du colonialisme marocain*». Et cerise sur le gâteau, ce trafiquant de drogue a même demandé au Secrétaire général de l’ONU d’inscrire la question rifaine à l’ordre du jour de la commission de décolonisation.
Quelle serait la réponse et la réaction des activistes d’Al Hoceima dont les revendications n’ont absolument rien à voir à tout cela? En tout cas, Saïd Chaôou ne leur rend pas du tout service.
T.J.
En tant que leader du soi-disant, «*mouvement du 18 septembre pour l’indépendance du Rif*», Saïd Chaôou, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a officiellement saisi l’ONU pour revendiquer ce qu’il pense être les droits du Rif. Il sollicite l’instance internationale à mettre tout en oeuvre pour que le «*peuple du Rif puisse recouvrer son indépendance selon le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes*». Il a ajouté que depuis le déclenchement des manifestations suite au décès de Mohcine fikri, les autorités marocaines les ont systématiquement «*réprimées dans le sang*», dans le cadre d’une stratégie de «*punition punitive du peuple rifain*».
Et sur sa lancée, Saïd Chaôou a même demandé l’intervention de l’ONU pour «*défendre ce peuple de l’extermination effectuée par les autorités du colonialisme marocain*». Et cerise sur le gâteau, ce trafiquant de drogue a même demandé au Secrétaire général de l’ONU d’inscrire la question rifaine à l’ordre du jour de la commission de décolonisation.
Quelle serait la réponse et la réaction des activistes d’Al Hoceima dont les revendications n’ont absolument rien à voir à tout cela? En tout cas, Saïd Chaôou ne leur rend pas du tout service.
T.J.
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