Suite au scandale qui a secoué l’opinion publique tunisienne après les déclarations du président de la République BCE concernant le retour au pays des djihadistes tunisiens, la présidence de la république a tenu à apporter quelques clarifications.
Ainsi les djihadistes seront assujettis à une nouvelle taxe de 30 dt, qu’ils devront régler sous la forme d’un timbre fiscal. Cette mesure ajoutée au projet de la loi de finance 2017, devrait rentrer en vigueur dès Janvier 2017, si l’ARP la valide. « Cela permettra d’avoir un bouffée d’oxygène pour le budget de l’État 2017 en plus d’assurer la justice fiscale qui est le leitmotiv de ce gouvernement » nous a déclaré Hafedh Saheb Ettabaa conseiller spécial auprès du ministre des finances.
Cette mesure commence déjà à faire des remous au sein des djihadistes tunisiens représentés par le SDTIL (Syndicat des Djihadistes Tunisiens en Irak et au Levant).
Le SDTIL a ainsi annoncé 24 h sans attentat kamikaze pour protester contre cette décision qui met à mal le pouvoir d’achat du djihadiste déjà très entamé par l’augmentation des prix des Nike des kamis et des couteaux de bouchers.
Une marche de protestation est prévue devant la mairie de Raqqa, pour dénoncer cet « impôt inique et injuste » selon les termes de Abou Qouraich Ettounsi le porte-parole du syndicat. « Les djihadistes tunisiens ont toujours été exemplaires dans le paiement de leurs impôts envers l’État tunisien, nous n’avons jamais eu de retard dans le paiement de la Djizia ou de la Zaket. De plus nous sommes doublement imposés en Tunisie et au Levant ce qui va totalement à l’encontre des dispositions de la constitution tunisienne »
Une plainte auprès du tribunal administratif et de la future cour constitutionnelle est d’ailleurs prévue. « Nous n’allons pas nous arrêter là, nous sommes même prêts à aller jusqu’à la grève des égorgements. Mais comme nous sommes responsables nous assurerons toujours la défenestration des homosexuels ».
Des pourparlers seraient actuellement en cours pour exempter de cette taxe les djihadistes indigents, qui sont nombreux dans les rangs de Daesh suite à la chute des cours du pétrole.
Après les avocats, les pharmaciens, l’UGTT, voila donc une nouvelle corporation qui donne du fil à retordre à l’administration Chahed.
la Presse
Ainsi les djihadistes seront assujettis à une nouvelle taxe de 30 dt, qu’ils devront régler sous la forme d’un timbre fiscal. Cette mesure ajoutée au projet de la loi de finance 2017, devrait rentrer en vigueur dès Janvier 2017, si l’ARP la valide. « Cela permettra d’avoir un bouffée d’oxygène pour le budget de l’État 2017 en plus d’assurer la justice fiscale qui est le leitmotiv de ce gouvernement » nous a déclaré Hafedh Saheb Ettabaa conseiller spécial auprès du ministre des finances.
Cette mesure commence déjà à faire des remous au sein des djihadistes tunisiens représentés par le SDTIL (Syndicat des Djihadistes Tunisiens en Irak et au Levant).
Le SDTIL a ainsi annoncé 24 h sans attentat kamikaze pour protester contre cette décision qui met à mal le pouvoir d’achat du djihadiste déjà très entamé par l’augmentation des prix des Nike des kamis et des couteaux de bouchers.
Une marche de protestation est prévue devant la mairie de Raqqa, pour dénoncer cet « impôt inique et injuste » selon les termes de Abou Qouraich Ettounsi le porte-parole du syndicat. « Les djihadistes tunisiens ont toujours été exemplaires dans le paiement de leurs impôts envers l’État tunisien, nous n’avons jamais eu de retard dans le paiement de la Djizia ou de la Zaket. De plus nous sommes doublement imposés en Tunisie et au Levant ce qui va totalement à l’encontre des dispositions de la constitution tunisienne »
Une plainte auprès du tribunal administratif et de la future cour constitutionnelle est d’ailleurs prévue. « Nous n’allons pas nous arrêter là, nous sommes même prêts à aller jusqu’à la grève des égorgements. Mais comme nous sommes responsables nous assurerons toujours la défenestration des homosexuels ».
Des pourparlers seraient actuellement en cours pour exempter de cette taxe les djihadistes indigents, qui sont nombreux dans les rangs de Daesh suite à la chute des cours du pétrole.
Après les avocats, les pharmaciens, l’UGTT, voila donc une nouvelle corporation qui donne du fil à retordre à l’administration Chahed.
la Presse
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