Des avions non identifiés ont visé des points de contrôle du Hezbollah mardi
Le ministre israélien de la Défense, Avigdor Lieberman, a tenu à réitérer mercredi la position de l'Etat hébreu vis-à-vis de la menace du groupe terroriste Hezbollah, après avoir été accusé par la Syrie d'être à l'origine de bombardements sur les forces pro-régime à Damas dans la nuit de mardi.
"Nous faisons ce qu’il faut pour assurer la sécurité de nos citoyens et défendre notre souveraineté en tentant d’empêcher le transfert d’armes et de matériel militaire de Syrie vers le Hezbollah", a déclaré Lieberman dans communiqué.
Des sources au sein de l'armée du président syrien Bachar al-Assad ont accusé mercredi Israël d'être à l'origine de tirs de missiles contre l'aéroport militaire de Damas dans la nuit de mardi.
"A 03H00 (01H00 GMT), l'ennemi israélien a tiré plusieurs missiles sol-sol à partir des territoires occupés", a indiqué l'agence citant une source militaire. Elle a rapporté que l'attaque avait provoqué un incendie mais pas de victimes.
Mardi, desss avions de combat non identifiés ont effectués des attaques aériennes sur plusieurs positions sous contrôle du Hezbollah autour de la ville de Zabadani, à proximité de la frontière libanaise.
Un correspondant de l'agence syrienne Qasioun a rapporté que les frappes aériennes ont visé deux points de contrôle du Hezbollah dans les zones "Ain Al-Sahwa et Ramla" à l'ouest de la ville de Zabadani.
Le mouvement chiite libanais est intervenu militairement au nom du président Bashar al-Assad, envoyant entre 5.000 à 8.000 combattants pour soutenir l'armée syrienne assiégée.
Le groupe reçoit un soutien militaire et financier de l'Iran, principal ennemi régional d'Israël.
La semaine dernière, la télévision publique syrienne a déclaré que des avions de l'armée israélienne avaient bombardé un avant-poste de l'armée syrienne à la périphérie de Damas et un convoi d'armes du Hezbollah sur l'autoroute reliant Damas à Beyrouth.
Israël n'a émis aucune réaction à la suite des attaques aériennes.
i24
Le ministre israélien de la Défense, Avigdor Lieberman, a tenu à réitérer mercredi la position de l'Etat hébreu vis-à-vis de la menace du groupe terroriste Hezbollah, après avoir été accusé par la Syrie d'être à l'origine de bombardements sur les forces pro-régime à Damas dans la nuit de mardi.
"Nous faisons ce qu’il faut pour assurer la sécurité de nos citoyens et défendre notre souveraineté en tentant d’empêcher le transfert d’armes et de matériel militaire de Syrie vers le Hezbollah", a déclaré Lieberman dans communiqué.
Des sources au sein de l'armée du président syrien Bachar al-Assad ont accusé mercredi Israël d'être à l'origine de tirs de missiles contre l'aéroport militaire de Damas dans la nuit de mardi.
"A 03H00 (01H00 GMT), l'ennemi israélien a tiré plusieurs missiles sol-sol à partir des territoires occupés", a indiqué l'agence citant une source militaire. Elle a rapporté que l'attaque avait provoqué un incendie mais pas de victimes.
Mardi, desss avions de combat non identifiés ont effectués des attaques aériennes sur plusieurs positions sous contrôle du Hezbollah autour de la ville de Zabadani, à proximité de la frontière libanaise.
Un correspondant de l'agence syrienne Qasioun a rapporté que les frappes aériennes ont visé deux points de contrôle du Hezbollah dans les zones "Ain Al-Sahwa et Ramla" à l'ouest de la ville de Zabadani.
Le mouvement chiite libanais est intervenu militairement au nom du président Bashar al-Assad, envoyant entre 5.000 à 8.000 combattants pour soutenir l'armée syrienne assiégée.
Le groupe reçoit un soutien militaire et financier de l'Iran, principal ennemi régional d'Israël.
La semaine dernière, la télévision publique syrienne a déclaré que des avions de l'armée israélienne avaient bombardé un avant-poste de l'armée syrienne à la périphérie de Damas et un convoi d'armes du Hezbollah sur l'autoroute reliant Damas à Beyrouth.
Israël n'a émis aucune réaction à la suite des attaques aériennes.
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