Qui te l'a dit?!
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LE Maroc dénonce à l’ONU l’implication du “polisario” dans le trafic de drogues
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@ANZOUL
Le royaume cherifien d amir El moumine commandeur des croyants :
Tourisme sexuel , pedo , bor*l à ciel ouvert ...drogue , meme la prostitution collabore à l économie marocaine ( dixit aux parlement marocaine , vidéo fait foi ..)
misère et désespoir : des morts pour quelques kilo de farine , mine de la mort/Jerada , citoyen broyé dans une benne à ordure ..et...et ..A qui sait comprendre , peu de mots suffisent
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Envoyé par Anzoul
Même l'aide alimentaire ils font du trafic avec,
Alors pour arrondir les fins de mois difficiles, ils vont pas cracher sur un emploi de mule.
Personnellement, je le crois bien ces accusations, mais ils doivent être occasionnels ces trafics car pas très rentables.
Le Front Polisario vient d'annoncer l'arrestation de 19 Marocains accusés de trafic de drogue, indiquent des sources au sein de la « République Arabe Sahraouie Démocratique » (RASD) citées par le journal espagnol El Pais. L'arrestation s'est produite dans la « zone libérée » de Agchan Labiad
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h24info.maroc
Novembre 2017: Le Polisario condamne à de lourdes peines des Marocains pour trafic de drogue
19 Marocains accusés de trafic de drogue à des peines allant de 15 à 17 ans et huit mois de prison ferme. Les personnes condamnées ont été arrêtées le 18 juillet par les miliciens du Polisario.
Annoncés en arrestation le 18 juillet à Gueltat Zemmour au sud-ouest de Tindouf , pour avoir transporté de la drogue au territoire sous contrôle des troupes séparatistes, dix-neuf marocains ont été condamnés à des peines de 15 à 17 ans et huit mois de prison ferme par le tribunal pénal du Front, a indiqué le 6 novembre un communiqué du ministère de la Justice et des Affaires religieuses du Polisario,
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Gueltat Zemmour
Dernière modification par MEC213, 03 mai 2018, 11h53.
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Maintenant à l'onu on connait le grossiste et le detaillant, ennemi mais travaillent ensemble
Mais cela a du bien faire rire l'ONU qui en a bien besoin par ces temps tristes.
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-Un rapport du département d’État américain se penche sur le cannabis au Maroc
Le Maroc consolide sa place de premier producteur et exportateur mondial de cannabis, d'après un rapport sur les drogues publié vendredi 3 mars par le département d’État américain, l'équivalent du ministère des Affaires étrangères.
Entre 2015 et 2016, le Maroc a produit environ 700 tonnes de cannabis. Des volumes records qui confirment la place considérable de la drogue dans l’économie du pays.
« Potentiellement, cela équivaut à environ 23% du PIB marocain, estimé à 100 milliards de dollars, après transformation en haschisch », affirme le département d’État dans son rapport annuel consacré au trafic de drogue et à la lutte contre la criminalité-.
Jeune Afrique
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Le Maroc des alaouites est nerveux, brouillant, dépendant d'une politique étrangère menées par ses mentors de l'extérieur, invité par un cercle restreint de prendre certains ordres bien spécifique afin de nuire a son voisin. Toute la gesticule du Maroc des alaouites finissent comme des bulles puantes.
OU SONT LES PREUVES
Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,
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@Anzoul
Harrachi,
Même l'aide alimentaire ils font du trafic avec,
Alors pour arrondir les fins de mois difficiles, ils vont pas cracher sur un emploi de mule.
Personnellement, je le crois bien ces accusations, mais ils doivent être occasionnels ces trafics car pas très rentables."L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]
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- Pêche, immigration clandestine, trafic de drogue sont autant de dossiers sur lesquels Madrid – et l'Union Européenne – accusent leurs «partenaires» marocains de mauvaise volonté.
A Tétouan, la grande cité en bordure du massif du Rif, on reconnaît volontiers que là-haut, dans les montagnes, on se livre à la monoculture du kif (cannabis), destiné en priorité au marché européen. Elle expliquerait à elle seule le nombre de Mercedes au mètre carré au centre-ville. Mais comment faire autrement? «Les paysans du coin passeraient probablement à la tomate ou aux agrumes si l'Europe débloquait enfin les fonds promis depuis longtemps pour développer les cultures de substitution, dit un commerçant. Et puis chez nous, le kif, ce n'est pas illégal. Vous parlez d'un problème? Mais tout dépend de quel côté on l'aborde. Pareil pour l'immigration clandestine: la loi marocaine n'interdit pas à ses ressortissants de quitter le pays!»-.
Le Temps.ch
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