Mardi 14 juin, l’OTAN a annoncé que si un pays membre de l’OTAN est victime d’une cyber-attaque en provenance d’un pays non-OTAN comme la Russie ou la Chine, alors l’article V de l’OTAN, dit de «défense collective», dispose que chaque pays membre de l’OTAN doit se joindre au pays attaqué s’il décide de riposter.
La décision préliminaire pour cela a été prise il y a deux ans, après que la Crimée a abandonné l’Ukraine et rejoint la Russie, dont elle avait fait partie jusqu’à son transfert d’office à l’Ukraine par le dictateur soviétique Nikita Khrouchtchev en 1954. Cette décision avait été prise par l’OTAN en prévision de l’adhésion future de l’Ukraine à celle-ci, ce qui n’a toujours pas eu lieu. Cependant, ce n’est que maintenant que l’OTAN déclare la cyber-guerre comme assimilable à une véritable guerre et donc concernée par la disposition de «défense collective» du traité de l’OTAN.
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La décision préliminaire pour cela a été prise il y a deux ans, après que la Crimée a abandonné l’Ukraine et rejoint la Russie, dont elle avait fait partie jusqu’à son transfert d’office à l’Ukraine par le dictateur soviétique Nikita Khrouchtchev en 1954. Cette décision avait été prise par l’OTAN en prévision de l’adhésion future de l’Ukraine à celle-ci, ce qui n’a toujours pas eu lieu. Cependant, ce n’est que maintenant que l’OTAN déclare la cyber-guerre comme assimilable à une véritable guerre et donc concernée par la disposition de «défense collective» du traité de l’OTAN.
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