Le candidat républicain à la course à la Maison blanche n’en finit pas avec les frasques. Après avoir pendant longtemps fustigé les musulmans, Donald Trump s’en prend désormais aux Marocains résidant aux Etats-Unis, estimant qu’ils sont « bien reçus » dans le pays de l’oncle Sam, mais finissent par « attaquer » les Américains.
« Nous laissons les gens des nations terroristes venir [aux Etats-Unis] alors que cela ne devrait pas être autorisé. Cela pourrait être le grand cheval de Troie de tous les temps », a déclaré Donald Trump dans la foulée d’une série d’attaques contre sa rivale démocrate Hilary Clinton lors d’un meeting jeudi 4 août à Portland (Maine), rapporte la presse américaine.
Les Marocains attaquent les Américains ?
Le candidat républicain à la présidence des Etats-Unis appelle à mettre en place des restrictions sur les immigrés en provenance de pays ayant des « taux élevés de terrorisme », citant des exemples de réfugiés, de migrants ou de détenteurs de visas d'étudiants qui « sont arrivés aux États-Unis, puis ont attaqué les Américains ». Dans le collimateur du magnat milliardaire de l’immobilier : la Syrie, le Yémen, l'Ouzbékistan, l'Irak, la Somalie, les Philippines et… le Maroc.
« Hillary Clinton veut qu'ils viennent par centaines de milliers », a-t-il également déclaré. « Mais cela n'a rien à voir avec la politique. Cette orientation est d’un tout autre ordre. C’est de la pure stupidité », croit-il encore savoir.
Son camp semble pourtant s'intéresser à la stratégie anti-terroriste du Maroc
Une sortie médiatique qui prend donc des airs d’énième récidive pour Donald Trump qui a fait du tandem « islam-immigration » son principal cheval de bataille. Il s’en prend ainsi ouvertement au Maroc, terre fertile au radicalisme d’après lui, alors que le camp républicain se disait « admiratif » du savoir-faire marocain en matière de lutte contre le terrorisme il y a quelques semaines encore.
Lors d’une rencontre organisée par l’American Jewish Council (AJC) en marge de la convention du Parti républicain, son propre conseiller en politique étrangère, Walid Phares saluait notamment l’« expérience unique » du royaume. Une déclaration qui sonnait comme une tentative de rapprochement avec Rabat, avaient traduit certains médias américains.
Les autorités marocaines n’ont pas encore donné suite à l’attaque frontale déclenchée par l’homme politique. L’avis du leader de l’Istiqlal, Hamid Chabat se fait attendre. Lui qui, rappelons-le, a été le seul responsable marocain présent à la convention du parti Républicain à l’issue de laquelle Donald Trump a été proclamé candidat face à la démocrate Hilary Clinton.
ya biladi
« Nous laissons les gens des nations terroristes venir [aux Etats-Unis] alors que cela ne devrait pas être autorisé. Cela pourrait être le grand cheval de Troie de tous les temps », a déclaré Donald Trump dans la foulée d’une série d’attaques contre sa rivale démocrate Hilary Clinton lors d’un meeting jeudi 4 août à Portland (Maine), rapporte la presse américaine.
Les Marocains attaquent les Américains ?
Le candidat républicain à la présidence des Etats-Unis appelle à mettre en place des restrictions sur les immigrés en provenance de pays ayant des « taux élevés de terrorisme », citant des exemples de réfugiés, de migrants ou de détenteurs de visas d'étudiants qui « sont arrivés aux États-Unis, puis ont attaqué les Américains ». Dans le collimateur du magnat milliardaire de l’immobilier : la Syrie, le Yémen, l'Ouzbékistan, l'Irak, la Somalie, les Philippines et… le Maroc.
« Hillary Clinton veut qu'ils viennent par centaines de milliers », a-t-il également déclaré. « Mais cela n'a rien à voir avec la politique. Cette orientation est d’un tout autre ordre. C’est de la pure stupidité », croit-il encore savoir.
Son camp semble pourtant s'intéresser à la stratégie anti-terroriste du Maroc
Une sortie médiatique qui prend donc des airs d’énième récidive pour Donald Trump qui a fait du tandem « islam-immigration » son principal cheval de bataille. Il s’en prend ainsi ouvertement au Maroc, terre fertile au radicalisme d’après lui, alors que le camp républicain se disait « admiratif » du savoir-faire marocain en matière de lutte contre le terrorisme il y a quelques semaines encore.
Lors d’une rencontre organisée par l’American Jewish Council (AJC) en marge de la convention du Parti républicain, son propre conseiller en politique étrangère, Walid Phares saluait notamment l’« expérience unique » du royaume. Une déclaration qui sonnait comme une tentative de rapprochement avec Rabat, avaient traduit certains médias américains.
Les autorités marocaines n’ont pas encore donné suite à l’attaque frontale déclenchée par l’homme politique. L’avis du leader de l’Istiqlal, Hamid Chabat se fait attendre. Lui qui, rappelons-le, a été le seul responsable marocain présent à la convention du parti Républicain à l’issue de laquelle Donald Trump a été proclamé candidat face à la démocrate Hilary Clinton.
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