h24info.ma | Publié le 05/08/2016
C’est une première et on ne peut pas s’en réjouir. L’écrivain Abdelaziz Benhadouch a été condamné, mardi, par le Tribunal de première instance de Ouarzazate, pour son roman «L’île des mâles». Un verdict de deux mois de prison avec sursis et une amende de 1.000 dirhams ont été prononcés contre lui. Le jugement a été prononcé après une plainte déposée contre lui.
Dans son roman, l’écrivain revient sur un phénomène qui a longtemps prévalu dans la région de Taznakht, celui des «enfants fantômes». Résidentes en France, de nombreuses familles avaient recours à la falsification de documents pour faire croire qu’elles avaient plus d’enfants qu’elles n’en comptaient en réalité. Le but: obtenir plus d’aides financières dans leur pays de résidence. Un phénomène que le roman évoque et qui n’est pas du goût de tous. D’où les poursuites.
C’est une première et on ne peut pas s’en réjouir. L’écrivain Abdelaziz Benhadouch a été condamné, mardi, par le Tribunal de première instance de Ouarzazate, pour son roman «L’île des mâles». Un verdict de deux mois de prison avec sursis et une amende de 1.000 dirhams ont été prononcés contre lui. Le jugement a été prononcé après une plainte déposée contre lui.
Dans son roman, l’écrivain revient sur un phénomène qui a longtemps prévalu dans la région de Taznakht, celui des «enfants fantômes». Résidentes en France, de nombreuses familles avaient recours à la falsification de documents pour faire croire qu’elles avaient plus d’enfants qu’elles n’en comptaient en réalité. Le but: obtenir plus d’aides financières dans leur pays de résidence. Un phénomène que le roman évoque et qui n’est pas du goût de tous. D’où les poursuites.
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