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Maroc : Le gouvernement justifie l’« importation » de 2 500 tonnes de déchets d’Italie

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  • #46
    Au Maroc, il y a une vraie société civile, plein d'associations, qui jouent parfaitement leurs rôles de contrôle et de protestations....parfois tous azimuths. Ils sont utiles mais il ne faut pas pas prendre leur avis pour argent comptant.
    Avant de t'engager dans des analyses à deux sous toi et tes copains vous auriez du attendre un peu avant de vous engager .

    Dans cet, articles les spécialistes en écologie parlent d'argent , et contrairement à vous , ils disent qu'ils n'y a aucune usine au maroc capable de traiter ce genre de déchets .

    Chose qu’appuie un expert qui requiert l’anonymat. « La destruction des déchets polluants coûte très cher en Italie, en raison du risque d’émission de dioxines notamment. Il y a donc beaucoup d’argent en jeu pour un pays comme le Maroc qui est moins regardant sur la qualité des déchets et qui propose un cahier des charges moins contraignant », explique-t-il. Mais il tient à souligner tout de suite qu’« il n’y a au Maroc aucun incinérateur répondant aux normes internationales ».
    aussi ne vient jamais la jouer connaisseur , expert en tout , alors que tu ne sais absolument rien .
    Dernière modification par Iska, 02 juillet 2016, 20h10.
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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    • #47
      Iska,

      En quoi ça te concerne, toi et tes amis ? On n'a pas ouvert de fil sur la saleté et la débâcle environnementale en Algérie....alors qu'il y aurait tant à dire...mais cela n'a pas l'air de vous concerner autant que cette importation de déchets au Maroc....on se demande pourquoi....

      La braderie des terres fertiles pour Monsantos et les ricains, de la part de Said Bouteflika, est passée sans aucune réaction de votre part, ni esprit critique....alors que les intérêts financiers sont énormes

      Mais bizarrement, pour l'importatiin de 2500 tonnes de déchets par le Maroc, vous devenez extrêmement pointilleux et soucieux de l'environnement du pays voisin....le pire, c'est que vous n'êtes même pas conscients de cotre propre dichotomie...

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      • #48
        En quoi ça te concerne, toi et tes amis ? On n'a pas ouvert de fil sur la saleté et la débâcle environnementale en Algérie....alors qu'il y aurait tant à dire...mais cela n'a pas l'air de vous concerner autant que cette importation de déchets au Maroc....on se demande pourquoi....
        Toi tu es en Europe avec tous ceux qui interviennent ici, donc vous n'êtespas concernés par la pollution dans le Bled .
        C'est le marocain lambda qui paient et par ricochet les riverains de ce " beau" pays, ou l'on achete des ordures de lm'occident pour enrichir encore plus sidek et son entourage .
        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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        • #49
          .
          Ils sont coupés de la réalité du Maroc profond

          Les "" MRE "" connaissent que le Roi M6 , la MAP et le Makhzen ???
          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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          • #50
            Volte face parait-il, cela ne va pas faire plaisir à M.Rico et consorts .


            Déchets italiens au Maroc : Volte-face de la ministre de l’Environnement

            La ministre déléguée chargée de l’Environnement fait marche arrière. Elle assure, dans des déclarations parues dans l'édition d'aujourd'hui du quotidien Ahdath Al Maghribia, que le déchargement des 2 500 tonnes de déchets italiens n’a pas eu encore lieu. Il est suspendu aux conclusions de deux analyses sur la dangerosité de la cargaison, a précisé Mme Hakima El Haite
            .
            Les propos de la ministre contredisent le communiqué publié, le 1er juillet, par son département, insistant que l’ « opération d’importation est réalisée sous le contrôle et le suivi des autorités compétentes du pays d’origine et du pays destinataire pour vérifier le respect de la conformité de la nature et des caractéristiques physicochimiques à travers les analyses effectuées avant et après l’entrée de ces déchets dans le territoire national et ce, en vue de s’assurer de la non dangerosité et de la non-contamination de ces déchets importés ».

            Mme El Haite a révélé que l’ « importation » de 2 500 tonnes de déchets en provenance d’Italie n’était pas la première du genre.

            " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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            • #51
              En veux-tu en voilà .


              Parlement : Le gouvernement refuse de répondre à une question sur l’affaire des déchets italiens



              L’affaire des déchets importés d’Italie a débarqué à la Chambre des représentants. Interpellé sur cette question par le groupe socialiste, le gouvernement a préféré ne pas répondre.

              L’affaire des 2 500 tonnes de déchets italiens a été abordée ce matin à la Chambre des représentants. Mais le gouvernement a refusé de programmer une réponse à une interpellation du groupe socialiste sur le sujet, dans le cadre de l’article 104 du règlement intérieur.

              Un élu du parti de la Rose a pris la parole pour dénoncer la position de l’exécutif. Il a ainsi qualifié l’incinération des déchets dans une cimenterie d’ « insultes au peuple marocain ». Le parlementaire a saisi l’occasion pour annoncer que son groupe avait déposé une proposition de loi interdisant toute opération de ce genre.

              En phase avec la ligne adoptée par l’USFP, une représentante de l’Istiqlal est intervenue pour dresser un réquisitoire contre l’opération autorisée par le gouvernement. Elle a exprimé le refus de son parti de voir le Maroc se transformer en une « décharge ».

              Le ministre des Relations avec le parlement joue aux sapeurs-pompiers
              Face aux attaques des deux partis de l’opposition, le ministre des Relations avec le parlement se devait de réagir. Abdelaziz El Omari a pris la parole pour promettre des éclaircissements dans les semaines à venir de la part de la ministre déléguée chargée de l’Environnement, Mme Hakima El Haite, issue du Mouvement populaire. Le ministre a rappelé que les réponses aux questions, s’inscrivant dans le cadre de l’article 104, dépendaient essentiellement de la seule volonté du gouvernement pour y apporter des explications.
              Les élus du PJD sont quant à eux restés discrets et ont évité de prendre part à ce débat. Pourtant, ils sont d'habitude les premiers à prendre la défense de certains ministres parfois malmenés par l’opposition. Visiblement cette fois, les parlementaires de la Lampe ne veulent pas apporter leurs appuis à une affaire dénoncée par l’opinion publique. Les représentants du Mouvement populaire, auquel appartient la ministre de l’Environnement, ont brillé également par leur silence. Et il en est de même pour le PAM pourtant dans l'opposition.
              Le 1er juillet, le département de Mme El Haite avait expliqué que l’importation de 2 500 tonnes de déchets en provenance d’Italie a été « réalisée en conformité avec les dispositions de la loi 28-00 (publiée au Bulletin officiel le 7 décembre 2006) relative à la gestion des déchets et à leur élimination et ses textes d’application et de celles de la convention de Bâle relative aux mouvements transfrontières des déchets que la Maroc a adopté en 1995 ».

              " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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              • #52
                On dirait qu'il n'y a que les abonnés marocainsdu forum qui ont applaudi


                Déchets italiens au Maroc : Le ministre de l’Intérieur défend sa collègue à l’Environnement
                L’ « importation » de 2.500 tonnes de déchets italiens était au menu du conseil de gouvernement d’hier. Le ministre de l’Intérieur a expliqué que l’opération est « conforme à la Convention de Bâle ». En revanche, l’exécutif ne s’est pas solidarisé avec Hakima El Haité. Détails.

                En l’absence de Hakima El Haité, en déplacement à l’étranger, c’est le ministre de l’Intérieur qui a endossé l’habit d'avocat pour défendre l’ « importation » de 2.500 tonnes de déchets d’Italie. Les informations relayées à propos de cette affaire sont « fausses », a affirmé Mohamed Hassad lors du conseil de gouvernement du mardi 5 juillet.
                « L'opération d'importation par le Maroc de ces produits est conforme à la Convention de Bâle sur le contrôle des mouvements transfrontières de déchets dangereux et de leur élimination », a précisé le ministre. Un argument ayant déjà servi dans le communiqué, du 1er juillet du ministère délégué chargé de l’environnement. « Cette opération est également soumise au contrôle au niveau du port et à un deuxième contrôle au niveau des usines qui utilisent ces déchets », a ajouté Hassad.
                L’exécutif en rangs dispersés
                Force est de constater que dans cette affaire le cabinet Benkirane a mis en sourdine la solidarité gouvernementale entre ses membres. Même le ministre des Energies et des Mines, en principe le supérieur hiérarchique de Mme Karima El Haité, continue d’observer le silence. En effet, Abdelkader Amara n’a pas souhaité s’engager sur un terrain glissant où le PJD risque de perdre des plumes à seulement trois mois des législatives du 7 octobre.
                Une tactique qui s’avère jusqu’à présent payante. La Lampe et ses ministres sont épargnés par la colère de l’opinion publique. Celle-ci se focalise essentiellement sur le département de Hakima El Haité, accusé d’avoir autorisé l’ « importation » des 2.500 tonnes de déchets d’Italie. La semaine prochaine la ministre de l’Environnement devrait présenter à la Chambre des représentants sa version des faits.
                Une occasion pour certains partis de l’opposition de marquer leur désapprobation. En revanche l’option de la constitution d’une commission d’enquête parlementaire, proposée hier par le groupe des conseillers du PAM, parait improbable. Qui voudrait se risquer à jeter un cailloux dans les eaux stagnantes et risquer de révéler d'éventuels gros intérêts derrière cette opération ?



                ya biladi
                " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                • #53
                  De l 'éléctricite ( en provenance des déchets) dans l'air .



                  Déchets italiens : La ministre de l’Environnement lâchée par les députés du PJD


                  Durant plus de 40 minutes, les déchets italiens ont été au cœur d’un débat tendu à la Chambre des représentants. La ministre de l’Environnement était isolée et même lâchée par les députés du PJD.


                  La ministre déléguée chargée de l’Environnement a été, à son corps défendant, la vedette de la séance des questions orales à la Chambre des représentants cet après-midi. Sept questions, émanant de groupes de la majorité et de l’opposition, sur l’affaire des déchets étaient à l’ordre du jour. Dans sa réponse, Hakima El Haité a parlé d’« alternatives industrielles » destinées à « être valorisées » au Maroc, soulignant que la cargaison de 2.500 tonnes est conforme à la « Convention de Bâle de 1995 ».
                  La ministre a répété que son département a reçu 19 documents de la part de l’exportateur italien garantissant la « non-dangerosité » des déchets. « Une étape suivie par des analyses réalisées par un laboratoire agrée auprès de l’Union européenne, hors d’Italie, pour vérifier celles de la partie italienne », a-t-elle enchainé.
                  Dans sa plaidoirie, Mme El Haité a vanté les mérites de l’incinération des déchets au Maroc, estimant qu’elle participe à la politique du gouvernement de réduire la dépendance à l’énergie fossile.

                  Des « tirs-amis » de la part des députés PJD

                  Force est de constater que les arguments énoncés par la ministre n’ont guère convaincu les députés islamistes. Durant plus d’une quarantaine de minutes de débat, parfois houleux, la ministre de l’Environnement était isolée. Les députés du PJD, endossant la casquette de l’opposition, se sont complétement désolidarisés avec Mme Hakima El Haité, issue du Mouvement populaire, une composante de la majorité.

                  Abdellah Bouanou a même demandé le renvoi immédiat de la cargaison des 2.500 tonnes de déchets vers leur pays d’origine sans attendre les conclusions du rapport d'un laboratoire de l’UE. « C’est une question de souveraineté », a-t-il précisé. D’autres élus de la Lampe ont exprimé la même position, déplorant que la ville de Safi ne mérite pas de devenir une « décharge » pour déchets italiens. Et de rappeler que la région souffre déjà des conséquences du transfert du projet industriel chinois vers Tanger.

                  La position des PJDistes n’étonne pas. Elle n’est qu’une expression de plus des relations conflictuelles entre la ministre déléguée de l’Environnement et son supérieur hiérarchique le ministre Abdellah Amara issu du parti la Lampe.
                  Au terme du débat, Mme Hakima El Haité s’est dite favorable à la constitution d’une commission d’enquête parlementaire sur cette affaire.



                  ya biladi
                  " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                  • #54
                    mdr,les marocains font trop rire,je savais que ils allaient se faire démonter,ils se sont fait prendre à jour

                    Commentaire


                    • #55
                      Nabilou, ce qui nous fait rire, c'est quand des algeriens nous parlent de proprete et d'hygiene .

                      Allez, sans rancune

                      Commentaire


                      • #56
                        Maroc : Le gouvernement justifie l’« importation » de 2 500 tonnes de déchets d’Italie

                        pourquoi s'annonce qu'il veut annulé "l'importation dans le futur ???
                        المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

                        Commentaire


                        • #57
                          Nabilou, ce qui nous fait rire, c'est quand des algeriens nous parlent de proprete et d'hygiene .

                          Allez, sans rancune
                          Monsieur " s-tout" tu es le seul avec certains dans le forum à soutenir l'importation des déchets, tout simplement parceque tu n'habites pas le Maroc et que ne connais du Maroc que ce que tu trouves dans Mickeypédia .

                          Voici un autre article pour te permettre de connaitre les gens de "ton pays" .



                          Importation des déchets au Maroc : « La suspension, c’est pour calmer les esprits. Il faut interdire », dixit les ONG

                          Acculé par le tollé provoqué par les 2 500 tonnes de déchets italiens importés, le gouvernement a annoncé hier après-midi la suspension de l’importation de ces déchets au Maroc et l’utilisation de la cargaison actuelle. Une nouvelle qui réjouit partiellement les ONG, estimant que la décision de Rabat reste « insuffisante. »

                          « Cette décision montre que nous avons réussi à influencer le gouvernement », se réjouit Mohamed Benata, président de l’association Espace de solidarité et de coopération de l’Oriental (ESCO), en réaction à la suspension de l’importation des déchets au Maroc annoncée hier par Mustapha El Khalfi, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, en marge du Conseil du gouvernement. Mais les réjouissances s’arrêtent là.

                          Pour l'ESCO, la suspension ne met pas un point final à l’importation des déchets. Même son de cloche chez les autres associations : « la suspension, c’est juste pour calmer les esprits. Ce qu’il faut, c’est une interdiction totale », clame Najib Bachiri, président d’Homme et Environnement contacté par ********. L’écologiste rappelle que « l’importation de déchets par le Maroc est illégal. » Et de préciser : « la ministre a beaucoup parlé de la convention de Bâle. Or, les pays non mentionnés dans l’annexe 6 de cette même convention, dont le Maroc, ne peuvent recevoir des déchets. Ce n’est pas pour rien que les écologistes se sont indignés, même à l’étranger ». Hier, en effet, le bureau du Moyen Orient de l'ONG Greenpeace a condamné l’importation par le Maroc de déchets italiens, dénonçant un « commerce contre l’éthique et une transaction illégale en vertu de plusieurs lois internationales », en référence notamment aux conventions de Bâle et de Barcelone.

                          « Les déchets italiens doivent retourner d’où ils viennent »


                          Au cours de son point presse hier, le porte-parole du gouvernement a également annoncé la suspension de l’utilisation des 2 500 tonnes de déchets récemment importés d’Italie, « en attendant les conclusions de l'enquête ouverte, afin de prendre une décision finale dans ce sens. » Cette décision, les écologistes marocains l’attendent de pied ferme : « il faut que les déchets déposés à Safi retournent en Italie, c’est indiscutable », recommande encore Mohamed Benata.

                          « Ils sont obligés d’arrêter l’importation des déchets car il n‘y a aucune base juridique. Le décret qui devait valider cette pratique n’a pas été publié au bulletin officiel », renchérit de son côté Abdeslam Adib, coordinateur du Réseau démocratique pour le suivi de la COP22 (RedaCOP22). Il s’en réjouit d’ailleurs : « Si le décret était passé, les choses seraient certainement pires pour le Maroc. » Rappelons que le parlementaire du Parti de la justice et du développement (PJD) Abdellah Bouanou a soulevé les mêmes questions juridiques en pleine réunion à la Chambre des représentants la semaine dernière, demandant le renvoi immédiat de la cargaison de déchets italiens. Un avis partagé par plusieurs parlementaires PJD, à qui le Rassemblement national des indépendants (RNI) emboîtait le pas hier.

                          La loi, le cœur du problème

                          Dans cette succession de faits, l’étau se resserre également autour de Ciment du Maroc qui, cependant, nie la contraction de tout contrat entre la région italienne de Campanie, l’Association professionnelle des cimentiers et le groupe Italcimenti, tel que rapporté par site d'information arabophone Alraiy.

                          Pour tous les écologistes marocains, qui dénonçaient récemment une affaire d'argent au détriment de l'environnement, la situation présente est révélatrice des lacunes de la loi 28-00 relative à la gestion des déchets. « Beaucoup de gens se concentrent sur la ministre, mais elle va partir un jour ou l’autre. Ce qui va rester, c’est la loi », remarque Najib Bachiri. « C’est cette loi qui permet l’importation de déchets, c’est à elle qu’il faut s’attaquer pour résoudre le problème une bonne fois pour toutes », ajoute-t-il. Là-dessus, les ONG sont unanimes : « la loi telle qu’elle est aujourd’hui est une porte ouverte à beaucoup d’abus, même en matière de contrôle », explique Salah H’Mehdi de l'Association pour la taxation des transactions en aide aux citoyens au Maroc (Attac Maroc). Pour tous ces militants, « le Maroc n’est pas une poubelle et la loi doit le refléter. »

                          Rabat appellé à veiller à son « image politique » à la veille de la COP
                          Après la marche de Safi dimancher dernier, une nouvelle manifestation est prévue ce dimanche devant le Parlement à Rabat. Pour l’heure, difficile d’en connaître les organisateurs. Le mini rétropédalage du gouvernement ne change rien, jugent les associations militantes : « le problème n’est pas résolu. On ne peut pas faire comme s’il l’était », indique Abdeslam Adib. Avec le RedaCOP22, il a organisé un sit-in lundi 11 juillet dernier devant les bureaux de Hakima El Haité au moment même où la ministre donnait sa conférence de presse. « Tous les Marocains sont aujourd’hui conscients de ce qui se passe et désormais le gouvernement le sait. Il faut que les politiques prennent définitivement la bonne décision (l’interdiction, ndlr) plutôt que de continuer à salir leur image politique, à quelques mois d’un événement majeur comme la COP22. »


                          ya biladi

                          " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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