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Algérie : Bouteflika et la France

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  • #16
    « Je voudrais dire au Quai d’Orsay de se préoccuper un peu moins des affaires de l’Algérie. Cette forme de tutelle, cette forme de protectorat, cette forme de souveraineté limitée sont absolument inacceptables. »
    ..

    Insinué à la France coloniale : Pas de tutelle pour l Algérie ...l Algérie souveraine !!!

    L Algérie a eu son indépendance arrachée par les armes .
    Elle est ni le Maroc , ni la Tunisie ( indépendance dans l interdépendance )
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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    • #17
      "L’autorisation de survol de l’espace aérien algérien par des Rafale français lors de l’intervention au Mali, c’est encore lui qui l’a donnée, sans consulter l’armée."

      Il paraît que cette information soit erronée. Dans la même veine, l'article de Jeune Afrique est d'une piètre qualité.

      "en 1826, le Figaro gaulliste

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      • #18
        La réalité est toute autre. Boutef a terni les relations franco-algériennes.

        A l'Assemblée Générale française lorsqu'il traitera les harkis de collabos, cela n'avait été apprécié par la France.

        En 2005, lorsqu'il s'oppose à la loi française sur "les bienfaits de la colonisation française en Afrique du Nord." , Chirac sera contraint de faire annuler l'article 4 al.4 de la loi du 23 février 2005 à propos des " bienfaits de la colonisation française en Afrique du Nord".

        En juin 1999, Boutef obtiendra que l'Assemblée française vote un loi déclarant qu'en Algérie, il s'agissait d'une guerre et non " des événements en Algérie".

        Etc, etc.

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        • #19
          -Il faut dire que la cohabitation entre le chef de l'Etat et les responsables de l'armée n'a pas été facile au cours de ces cinq dernières années et que la méfiance est aujourd'hui mutuelle.

          L'ex-ministre des Affaires étrangères de Boumediene avait été adoubé en 1999 par la hiérarchie militaire avec pour mission de redorer le blason du pays, terni par des années de «sale guerre». «Il y avait un accord. Il était là pour améliorer l'image de l'Algérie à l'extérieur et appliquer la trêve négociée avec l'Armée islamique du salut [AIS, le bras armé du FIS]. Mais il ne devait pas aller au-delà, ni s'occuper de la gestion interne de l'institution militaire ou intervenir dans sa chaîne de commandement», dit Chafik Mesbah. Bouteflika va remplir son contrat: l'Algérie, peu à peu, redevient un pays fréquentable-.

          L'express.fr

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