Le sultanat d'Oman abrite des discussions entre des dirigeants du mouvement yéménite Ansarullah, communément appelé Houthi, et une délégation américaine sur les perspectives d'un règlement du conflit armé au Yémen.
La médiation omanaise est favorisée par sa non-participation à la coalition arabe lançant, depuis le 26 mars, des raids aériens contre les Houtis. Ce qui lui confère une plus grande crédibilité et un rôle décisif dans la relance du dialogue dans l'impasse après l'échec des pourparlers de paix que l'ONU comptait organiser le 28 mai à Genève. « Les discussions entre les Houthis et la délégation américaine sont intervenues à la demande de la partie américaine », a précisé le porte-parole du gouvernement yéménite.
Les négociateurs d'Ansarullah, conduits par Saleh al-Sammad, président du bureau politique du mouvement, étaient arrivés, il y a plusieurs jours, à Mascate, à bord d'un avion affrété par les Américains.
Le soir
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La médiation omanaise est favorisée par sa non-participation à la coalition arabe lançant, depuis le 26 mars, des raids aériens contre les Houtis. Ce qui lui confère une plus grande crédibilité et un rôle décisif dans la relance du dialogue dans l'impasse après l'échec des pourparlers de paix que l'ONU comptait organiser le 28 mai à Genève. « Les discussions entre les Houthis et la délégation américaine sont intervenues à la demande de la partie américaine », a précisé le porte-parole du gouvernement yéménite.
Les négociateurs d'Ansarullah, conduits par Saleh al-Sammad, président du bureau politique du mouvement, étaient arrivés, il y a plusieurs jours, à Mascate, à bord d'un avion affrété par les Américains.
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