"American Sniper", le blockbuster d’Eastwood attise la haine anti-musulmans aux Etats-Unis
Encensé par la critique, et ovationné par le public qui se bouscule pour assister sur grand écran aux tirs qui font mouche de son héros, un soldat d’exception comme l’Amérique les aime, surtout pour avoir fait un carton sur 160 Irakiens, le dernier long métrage de Clint Eastwood « American Sniper », à la gloire du défunt sniper Chris, membre des Navy Seals, et de l’impérialisme made in US, n’a pas ravivé que le sentiment patriotique...
Sous les traits de l’acteur Bradley Cooper, le film retrace la trajectoire magnifiée de ce tireur d’élite, décédé à 38 ans en 2011, dont l’impressionnant tableau de chasse, notamment lors de l’invasion Bushienne de sinistre mémoire en Irak, l’a fait entrer dans les annales de l’histoire militaire des Etats-Unis. Si la caméra d’Eastwood porte au pinacle ce militaire quasi mythifié, qui avait qualifié les musulmans de « sauvages » dans ses mémoires, elle est en revanche sans pitié pour les arabo-musulmans, cantonnés dans l’éternel rôle des méchants sanguinaires, au point d’avoir soufflé sur les braises de la haine, à la consternation de plusieurs associations islamiques et de défense des droits civils des musulmans d’Outre-Atlantique.
Source: oumma
Encensé par la critique, et ovationné par le public qui se bouscule pour assister sur grand écran aux tirs qui font mouche de son héros, un soldat d’exception comme l’Amérique les aime, surtout pour avoir fait un carton sur 160 Irakiens, le dernier long métrage de Clint Eastwood « American Sniper », à la gloire du défunt sniper Chris, membre des Navy Seals, et de l’impérialisme made in US, n’a pas ravivé que le sentiment patriotique...
Sous les traits de l’acteur Bradley Cooper, le film retrace la trajectoire magnifiée de ce tireur d’élite, décédé à 38 ans en 2011, dont l’impressionnant tableau de chasse, notamment lors de l’invasion Bushienne de sinistre mémoire en Irak, l’a fait entrer dans les annales de l’histoire militaire des Etats-Unis. Si la caméra d’Eastwood porte au pinacle ce militaire quasi mythifié, qui avait qualifié les musulmans de « sauvages » dans ses mémoires, elle est en revanche sans pitié pour les arabo-musulmans, cantonnés dans l’éternel rôle des méchants sanguinaires, au point d’avoir soufflé sur les braises de la haine, à la consternation de plusieurs associations islamiques et de défense des droits civils des musulmans d’Outre-Atlantique.
Source: oumma
Commentaire