salam
israël redoutait les activités de Mehdi Ben Barka dans la préparation de la première conférence de la tricontinentale. Ses agents, au même titre que ceux de la CIA, suivaient ses déplacements en Algérie, en Suisse et en France, son lieu de résidence. L'un d’eux vient de révéler qu’il avait conseillé à Ahmed Dlimi sur la manière de se débarrasser du corps de Ben Barka.
Du nouveau dans l’affaire Mehdi Ben Barka. Rafi Eitan, un ancien agent du Mossad très célèbre dans son pays et aujourd’hui ministre des retraités, a donné, dans un entretien accordé à la 2ème chaîne de la télévision israélienne (publique) ce mardi, de nouveaux éléments sur les circonstances de l’assassinat de l’opposant au roi Hassan II. Des révélations immédiatement relayées par des médias arabes.
Eitan, 88 ans qui préside le parti des retraités (GIL), assure que le 29 octobre 1965 à Paris, le général Ahmed Dlimi était venu à son appartement demander conseil pour se débarrasser du corps sans vie de Ben Barka, laissé dans la salle de bain d’une villa, le lieu du piège tendu au leader de l’UNFP (Union nationale des forces populaires). Le Marocain informait son ami Israélien qu’il venait d'étrangler, quelques heures auparavant, Mehdi jusqu’à lui ôter la vie.
« Mettez la dépouille dans de la chaux et brulez le tout »
mejliss
israël redoutait les activités de Mehdi Ben Barka dans la préparation de la première conférence de la tricontinentale. Ses agents, au même titre que ceux de la CIA, suivaient ses déplacements en Algérie, en Suisse et en France, son lieu de résidence. L'un d’eux vient de révéler qu’il avait conseillé à Ahmed Dlimi sur la manière de se débarrasser du corps de Ben Barka.
Du nouveau dans l’affaire Mehdi Ben Barka. Rafi Eitan, un ancien agent du Mossad très célèbre dans son pays et aujourd’hui ministre des retraités, a donné, dans un entretien accordé à la 2ème chaîne de la télévision israélienne (publique) ce mardi, de nouveaux éléments sur les circonstances de l’assassinat de l’opposant au roi Hassan II. Des révélations immédiatement relayées par des médias arabes.
Eitan, 88 ans qui préside le parti des retraités (GIL), assure que le 29 octobre 1965 à Paris, le général Ahmed Dlimi était venu à son appartement demander conseil pour se débarrasser du corps sans vie de Ben Barka, laissé dans la salle de bain d’une villa, le lieu du piège tendu au leader de l’UNFP (Union nationale des forces populaires). Le Marocain informait son ami Israélien qu’il venait d'étrangler, quelques heures auparavant, Mehdi jusqu’à lui ôter la vie.
« Mettez la dépouille dans de la chaux et brulez le tout »
mejliss
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