Les autorités espagnoles rejettent les documents remis par la RASD et retirent désormais la nationalité espagnole à quiconque déroge à cette règle.
Cette décision entrée en vigueur sur tout le territoire espagnol depuis début septembre, s’applique à tous ceux qui ne possèdent pas des documents prouvant qu’ils sont apatrides ou qu’ils appartiennent à des pays voisins. Les autorités et les institutions espagnoles ne « reconnaissent plus aucun document délivré par l’administration fictive de la toute aussi factice RASD.
Cette mesure inattendue certes mais d’une grande sagesse, néanmoins, serait justifiée par la lutte des autorités ibériques contre le terrorisme provenant du Sahel et qui menace la paix et la stabilité des pays européens, faisant également écho aux différents rapports prouvant que les camps de Tindouf sont un noyau fécond pour le déploiement du terrorisme dans la région sahélo-saharienne.
Pour rappel, le rôle crucial du Maroc dans le maintien de la paix et de la sécurité et dans la lutte anti-terroriste dans la région du Sahel a été salué et reconnu à l’échelle internationale. Peut-être était-il justement temps pour l’Espagne de reconnaitre la menace terroriste que représente le front polisario. D’ailleurs comme le dit si bien le célèbre adage « il n’est jamais trop tard pour bien faire. »
Ces mesures préventives changent ainsi la donne pour ceux qui avaient, jusque-là, l’habitude de se rendre en Espagne avec des papiers polisariens. Ils se voient, ainsi, contraints de prouver qu’ils sont apatrides ou issus des pays voisins. La première personne à en avoir payé les frais est l’un des auxiliaires du Polisario qui s’est vu ôter la nationalité, qu’il détenait pourtant pendant plus de sept ans, sur la base de documents non reconnus par les autorités espagnoles.
Quid
Cette décision entrée en vigueur sur tout le territoire espagnol depuis début septembre, s’applique à tous ceux qui ne possèdent pas des documents prouvant qu’ils sont apatrides ou qu’ils appartiennent à des pays voisins. Les autorités et les institutions espagnoles ne « reconnaissent plus aucun document délivré par l’administration fictive de la toute aussi factice RASD.
Cette mesure inattendue certes mais d’une grande sagesse, néanmoins, serait justifiée par la lutte des autorités ibériques contre le terrorisme provenant du Sahel et qui menace la paix et la stabilité des pays européens, faisant également écho aux différents rapports prouvant que les camps de Tindouf sont un noyau fécond pour le déploiement du terrorisme dans la région sahélo-saharienne.
Pour rappel, le rôle crucial du Maroc dans le maintien de la paix et de la sécurité et dans la lutte anti-terroriste dans la région du Sahel a été salué et reconnu à l’échelle internationale. Peut-être était-il justement temps pour l’Espagne de reconnaitre la menace terroriste que représente le front polisario. D’ailleurs comme le dit si bien le célèbre adage « il n’est jamais trop tard pour bien faire. »
Ces mesures préventives changent ainsi la donne pour ceux qui avaient, jusque-là, l’habitude de se rendre en Espagne avec des papiers polisariens. Ils se voient, ainsi, contraints de prouver qu’ils sont apatrides ou issus des pays voisins. La première personne à en avoir payé les frais est l’un des auxiliaires du Polisario qui s’est vu ôter la nationalité, qu’il détenait pourtant pendant plus de sept ans, sur la base de documents non reconnus par les autorités espagnoles.
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