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Les représailles de Moscou ne concernent pas les pays alliés
Alger, un des axes militaires de Poutine
La coopération militaire algéro-russe ne sera pas dans la cas des dégâts collatéraux de la guerre économique que se livre la Russie, l’Union Européenne et les Etats-Unis. En l’espace de 48 heures, deux informations sont venues le confirmer. La première date de ce vendredi.
Vyacheslav Dzirkaln, directeur adjoint du « service fédéral russe pour la coopération militaire et technique », cité par l’agence de presse russe, Itar-Tass, a annoncé que des négociations sont en cours avec l’Algérie, pour l’installation d’un centre de maintenance des systèmes de défense aérienne de fabrication russe. La déclaration du responsable russe était en marge du salon international de l’armement et du matériel militaire « Oboronexpo-2014 ». Vyacheslav Dzirkaln précisera que d’autres pays sont« ciblés » par ce projet à l’instar de la Chine, de l’Inde et du Vietnam.
Cette déclaration survient le lendemain d’une autre information venant de Moscou, et concernant la coopération militaire entre les deux pays. Selon une autre agence de presse russe, Ria-Novosti, « Tehmash », producteur russe des munitions, est en négociation avec l’Algérie pour la création d’une « co-entreprise » de livraison de munitions et de produits civils « ainsi que d’autres types de coopération ».
Ces deux confirmations interviennent alors que Vladimir Poutine vantait la puissance militaire de son pays, avec en sous-jacente. Lors d'une rencontre , hier jeudi, à Yalta, en Crimée, avec les membres de la Douma (chambre basse du parlement russe), le président annonçait que son armée sera équipée d'armes défensives et offensives modernes « dont les autres armées du monde ne disposent pas encore ». Il n’hésitera pas à préciser que « certaines choses sont déjà connues en matière d'armements offensifs stratégiques, notamment dans le domaine des forces de dissuasion nucléaire. Pour le moment, nous ne dévoilons pas tout, mais nous en parlerons plus tard ». Un message aux allures de menaces envers ses adversaires et dont la lecture ne peut être dissociée de la guerre économique que se livrent actuellement l'Union Européenne et l’Etats-Unis d’un côté, et la Russie de l’autre.
LIBERTE
Alger, un des axes militaires de Poutine
La coopération militaire algéro-russe ne sera pas dans la cas des dégâts collatéraux de la guerre économique que se livre la Russie, l’Union Européenne et les Etats-Unis. En l’espace de 48 heures, deux informations sont venues le confirmer. La première date de ce vendredi.
Vyacheslav Dzirkaln, directeur adjoint du « service fédéral russe pour la coopération militaire et technique », cité par l’agence de presse russe, Itar-Tass, a annoncé que des négociations sont en cours avec l’Algérie, pour l’installation d’un centre de maintenance des systèmes de défense aérienne de fabrication russe. La déclaration du responsable russe était en marge du salon international de l’armement et du matériel militaire « Oboronexpo-2014 ». Vyacheslav Dzirkaln précisera que d’autres pays sont« ciblés » par ce projet à l’instar de la Chine, de l’Inde et du Vietnam.
Cette déclaration survient le lendemain d’une autre information venant de Moscou, et concernant la coopération militaire entre les deux pays. Selon une autre agence de presse russe, Ria-Novosti, « Tehmash », producteur russe des munitions, est en négociation avec l’Algérie pour la création d’une « co-entreprise » de livraison de munitions et de produits civils « ainsi que d’autres types de coopération ».
Ces deux confirmations interviennent alors que Vladimir Poutine vantait la puissance militaire de son pays, avec en sous-jacente. Lors d'une rencontre , hier jeudi, à Yalta, en Crimée, avec les membres de la Douma (chambre basse du parlement russe), le président annonçait que son armée sera équipée d'armes défensives et offensives modernes « dont les autres armées du monde ne disposent pas encore ». Il n’hésitera pas à préciser que « certaines choses sont déjà connues en matière d'armements offensifs stratégiques, notamment dans le domaine des forces de dissuasion nucléaire. Pour le moment, nous ne dévoilons pas tout, mais nous en parlerons plus tard ». Un message aux allures de menaces envers ses adversaires et dont la lecture ne peut être dissociée de la guerre économique que se livrent actuellement l'Union Européenne et l’Etats-Unis d’un côté, et la Russie de l’autre.
LIBERTE