«L’Onu est consciente que le différend artificiel autour du Sahara marocain ne peut pas être résolu suivant les paramètres des années 70 du siècle dernier», Selon le journaliste espagnol, Chema Gil
En adoptant mardi dernier à l'unanimité la résolution 2152 prorogeant le mandat de la Minurso pour une année supplémentaire, sans modification de la nature de ses prérogatives, le Conseil de sécurité a confirmé qu'il «tourne le dos» au polisario et à l'Algérie, affirme l'écrivain et journaliste espagnol, Chema Gil.
Cette nouvelle résolution, qui consolide la position du Maroc sur la scène internationale, a été adoptée par les 15 pays membres du Conseil de sécurité, a souligné Chema Gil, un fin connaisseur du conflit du Sahara, dans un article publié, samedi, sur le site d'informations et d'analyse «Iuxsed.com».
L'auteur du livre «Le polisario : histoire d'un front contre les droits humains et la sécurité internationale», a fait noter également que l'Onu a salué par la même occasion les «initiatives prises par le Maroc pour la défense et le respect des droits de l'Homme», ce qui constitue un coup dur pour les ennemis du Royaume.
Selon le journaliste espagnol, l'Onu est consciente plus que jamais que le différend artificiel autour du Sahara marocain ne peut pas être résolu suivant les paramètres des années 70 du siècle dernier.
Chema Gil, qui fait état de l'«infiltration des camps de Tindouf par des réseaux du crime organisé et du djihadisme» et de la prolifération du terrorisme dans la région du Sahel, relève les risques qui pèsent sur une zone «hypersensible» (Sahel-Sahara) et qui pourraient affecter la sécurité sur le continent européen.
Le conflit du Sahara dit «occidental», rappelle-t-on, est un conflit imposé au Maroc par l'Algérie qui finance et héberge sur son territoire à Tindouf le mouvement séparatiste du Polisario.
Cette situation bloque tous les efforts de la communauté internationale pour une solution du conflit basée sur une autonomie avancée dans un cadre souverain marocain et une intégration économique et sécuritaire régionale.
Chema Gil journaliste espagnol
En adoptant mardi dernier à l'unanimité la résolution 2152 prorogeant le mandat de la Minurso pour une année supplémentaire, sans modification de la nature de ses prérogatives, le Conseil de sécurité a confirmé qu'il «tourne le dos» au polisario et à l'Algérie, affirme l'écrivain et journaliste espagnol, Chema Gil.
Cette nouvelle résolution, qui consolide la position du Maroc sur la scène internationale, a été adoptée par les 15 pays membres du Conseil de sécurité, a souligné Chema Gil, un fin connaisseur du conflit du Sahara, dans un article publié, samedi, sur le site d'informations et d'analyse «Iuxsed.com».
L'auteur du livre «Le polisario : histoire d'un front contre les droits humains et la sécurité internationale», a fait noter également que l'Onu a salué par la même occasion les «initiatives prises par le Maroc pour la défense et le respect des droits de l'Homme», ce qui constitue un coup dur pour les ennemis du Royaume.
Selon le journaliste espagnol, l'Onu est consciente plus que jamais que le différend artificiel autour du Sahara marocain ne peut pas être résolu suivant les paramètres des années 70 du siècle dernier.
Chema Gil, qui fait état de l'«infiltration des camps de Tindouf par des réseaux du crime organisé et du djihadisme» et de la prolifération du terrorisme dans la région du Sahel, relève les risques qui pèsent sur une zone «hypersensible» (Sahel-Sahara) et qui pourraient affecter la sécurité sur le continent européen.
Le conflit du Sahara dit «occidental», rappelle-t-on, est un conflit imposé au Maroc par l'Algérie qui finance et héberge sur son territoire à Tindouf le mouvement séparatiste du Polisario.
Cette situation bloque tous les efforts de la communauté internationale pour une solution du conflit basée sur une autonomie avancée dans un cadre souverain marocain et une intégration économique et sécuritaire régionale.
Chema Gil journaliste espagnol
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