Le groupe de travail de l'ONU juge positifs de "nombreux aspects sur les droits de l'homme" au Maroc.
Le groupe de travail l'ONU sur la détention arbitraire a qualifié de "positifs" des aspects des droits de l'Homme au terme de sa visite de travail au Maroc. "Nous avons relevé dans le cadre de notre mission que beaucoup d'efforts ont été réalisés dans le cadre de la consolidation de la culture des droits de l'Homme au Maroc", a déclaré le président de cette délégation onusienne le Sénégalais El Hajd Malik Sow.
Lors d'une conférence de presse, Sow a affirmé que la mission "a constaté une dynamique dans ce domaine". La délégation a néanmoins affirmé qu'elle a remarqué des "dysfonctionnements", notamment en matière de la loi antiterroriste dont elle préconise la révision. La délégation ONUsienne a également pointé des cas "d'aveux sous la torture" et a appelé "la fin de cette méthode", suggerant aux autorités de "répondre à sa demande".
La mission a précisé, par ailleurs, que son mandat est strictement lié à la détention arbitraire. "Nous n'avons pas un mandat de fouiner dans des questions de politique ni du Sahara ni dans le reste du pays", a répondu son représentant à une question de Le360. "Notre mission a trait un rapport uniquement avec la détention arbitraire autre chose cela ne nous regarde pas", a précisé le Sénégalis El Haid Malik Sow.
le360.ma
Le groupe de travail l'ONU sur la détention arbitraire a qualifié de "positifs" des aspects des droits de l'Homme au terme de sa visite de travail au Maroc. "Nous avons relevé dans le cadre de notre mission que beaucoup d'efforts ont été réalisés dans le cadre de la consolidation de la culture des droits de l'Homme au Maroc", a déclaré le président de cette délégation onusienne le Sénégalais El Hajd Malik Sow.
Lors d'une conférence de presse, Sow a affirmé que la mission "a constaté une dynamique dans ce domaine". La délégation a néanmoins affirmé qu'elle a remarqué des "dysfonctionnements", notamment en matière de la loi antiterroriste dont elle préconise la révision. La délégation ONUsienne a également pointé des cas "d'aveux sous la torture" et a appelé "la fin de cette méthode", suggerant aux autorités de "répondre à sa demande".
La mission a précisé, par ailleurs, que son mandat est strictement lié à la détention arbitraire. "Nous n'avons pas un mandat de fouiner dans des questions de politique ni du Sahara ni dans le reste du pays", a répondu son représentant à une question de Le360. "Notre mission a trait un rapport uniquement avec la détention arbitraire autre chose cela ne nous regarde pas", a précisé le Sénégalis El Haid Malik Sow.
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