(1)
Je cherche refuge auprès de Dieu contre Satan le lapidé.
Au nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux.
Louange à Dieu, Seigneur des Mondes.
Que la paix et le salut soient sur notre maître et Prophète, l’intercesseur de nos péchés et le bien-aimé de nos cœurs, (le Prophète) Abul Qasim Muhammad b. Abdillah, ainsi que sur sa noble et pure famille, sur ses compagnons élus et fidèles, et sur l’ensemble des Prophètes et Messagers.
Que la paix de Dieu soit sur vous tous, ainsi que Sa Miséricorde et Sa Grâce.
Le 7 août 1979, c’est-à-dire durant les premiers jours de la victoire de la Révolution islamique en Iran, l’imam Khomeini (qu’il soit sanctifié) a fait une déclaration dans laquelle il invitait tous les peuples opprimés de la terre, et en particulier les musulmans, à faire du dernier Vendredi du mois béni de Ramadan la journée internationale d’Al Qods (Jérusalem).
Le but de cet appel, confirmé après le décès de l’Imam Khomeini par Son Éminence l’imam sayed Ali Khamenei (que Dieu nous préserve sa noble présence), était de raviver auprès des musulmans et du monde entier la cause d’Al Qods (Jérusalem) et de la Palestine et d’empêcher qu’elle ne disparaisse dans les méandres de l’oubli, et de profiter de cette occasion grandiose qu’est le mois de Ramadan pour sensibiliser, mobiliser les efforts et les énergies de la nation (musulmane) pour sauver Al-Qods (Jérusalem) et la Palestine des mains des occupants sionistes, et de mettre en lumière ce que subissent la Palestine et son peuple, depuis 1948, 1967, la diaspora (les réfugiés), à Jérusalem-Est, dans le désert du Néguev, toutes les souffrances qui leur sont infligées – l’état de siège, la faim, l’expropriation de leurs terres, les persécutions, tous les dangers qui menacent ces lieux saints.
Aujourd’hui, 2 août 2013, nous avons plus que jamais besoin de raviver cette occasion. Et je vous adresse à tous mes vifs remerciements pour l’honneur de votre présence en ce jour, et en ces circonstances. Vous avez répondu à l’appel de votre imam Khomeini (qu’il soit sanctifié). Nous avons plus que jamais besoin de raviver cette occasion pour confirmer son importance, sa valeur et sa portée.
Premièrement, il faut souligner que la Palestine dont nous parlons est la Palestine, toute la Palestine, de la mer (Méditerranée) au fleuve (Jourdain), qui doit être restituée complètement à son peuple et à ses propriétaires véritables et légitimes. Sur toute cette terre, personne, absolument personne – ni roi, ni prince, ni président, ni leader, ni cheikh, ni sayed, ni pays, ni gouvernement, ni organisation – n’a le droit d’abandonner ou de céder ne serait-ce qu’un grain de sable de la terre de Palestine ou une goutte de son eau ou de son pétrole (car on a découvert qu’il y a du pétrole), ou un morceau de son territoire. Personne n’a le droit d’en céder quoi que ce soit, ni ne peut recevoir de mandat pour le faire. Cette vérité, qui semble étrange aujourd’hui, doit être proclamée durant le mois de la vérité, le mois de Ramadan.
Deuxièmement, l’imam Khomeini a décrit Israël de manière juste et avec une très grande précision quand il l’a désigné comme une « tumeur cancéreuse », car cette entité est véritablement cancéreuse : nous savons tous que la nature du cancer est de se répandre et de se propager dans le corps, et que le seul remède possible contre le cancer est de l’éradiquer, sans jamais lui céder ni lui donner la moindre occasion. Ô mes frères et sœurs ! Israël, qui est le fer de lance du projet sioniste dans la région, représente une menace constante et considérable. Et il faut être très vigilant sur ce point et ne surtout pas croire qu’Israël constitue seulement un danger pour la Palestine et le peuple palestinien, et que nous (les pays voisins) ne serions pas touchés par ce problème – le Liban, la Syrie, la Jordanie, l’Égypte, l’Irak, les pays du Golfe, l’Afrique du Nord, les autres pays arabes et musulmans, nous n’aurions aucun problème car Israël serait le problème de la Palestine et du peuple palestinien, seuls les Palestiniens seraient concernés. Ce n’est là qu’une illusion, de la désinformation et de l’ignorance. Israël représente une menace constante et considérable pour tous les pays et tous les peuples de cette région, pour leurs ressources, leurs choix, leur sécurité, leur dignité, leur paix et leur souveraineté, et quiconque nie cela est un arrogant.
Par conséquent, Israël n’est pas une menace existentielle seulement pour la Palestine et le peuple palestinien, mais c’est une menace existentielle pour tous les États, tous les gouvernements, toutes les entités, tous les peuples, toutes les civilisations de cette région.
Troisièmement, il est certain que l’éradication de cette tumeur cancéreuse, de cette entité usurpatrice, est dans l’intérêt de tout le monde musulman – car d’aucuns pensent que l’éradication d’Israël est dans le seul intérêt des Palestiniens. Certes, c’est dans l’intérêt des Palestiniens mais pas seulement des Palestiniens. C’est dans l’intérêt de tout le monde arabe, c’est un intérêt populaire (de tous les peuples arabes). C’est également un intérêt national, l’intérêt de tous les pays de la région. Ici, il n’y a pas lieu de faire de distinction entre l’intérêt des peuples et l’intérêt des nations. Israël représente un danger pour la Jordanie, et son éradication est un intérêt (un enjeu) national pour la Jordanie. Israël représente un danger pour l’Égypte, et son éradication est un enjeu national pour l’Égypte. Israël représente un danger pour la Syrie, et son éradication est un enjeu national pour la Syrie. Et de même, Israël représente un danger pour le Liban, et l’éradication d’Israël est un enjeu national pour le Liban.
Quatrièmement, et sur la base de ce qui a été établi dans les deux points précédents, quiconque s’oppose au projet sioniste et le combat, y résiste, dans n’importe quel endroit de cette région ou dans le monde, et par quelque moyen que ce soit, de même qu’il défend la Palestine, le peuple palestinien et Al Qods (Jérusalem), il défend par là même son propre pays, son propre peuple, sa propre dignité, le futur de ses propres enfants et descendants.
Cinquièmement, la Palestine et Al Qods (Jérusalem), ô mes frères et sœurs, sont une responsabilité générale et globale, pour tout Palestinien, tout Arabe, musulman ou chrétien, pour tout musulman du monde, et même pour tout homme au monde. Car c’est une cause juste, une cause humanitaire, dans tous les sens du terme. Il est vrai que le poids, l’ampleur de cette responsabilité varient d’un pays à un autre, d’un peuple à un autre, d’un lieu à un autre, d’une personne à une autre. Ici, entrent en considération les ressources, les capacités, les circonstances, la géographie, etc… En premier lieu, c’est la responsabilité du peuple palestinien, puis de leurs voisins, puis des voisins des voisins, etc. Mais il y a un niveau minimal de responsabilité qui pèse sur tous, et dont personne ne peut s’exempter : la prise de position politique est un niveau minimal de responsabilité, de même que la communication (à travers les médias), le soutien populaire, l’aide financière pour les Palestiniens, etc. Et parmi les obligations qui entrent dans ce niveau minimal de responsabilité, et dont nous serons interrogés au Jour du Jugement, se trouve le refus de reconnaître Israël, de reconnaître la légitimité de son existence et de sa perpétuation. Tel est le niveau minimal de responsabilité, que nous porterons tous, chacun d’entre nous, devant Dieu au Jour de la Résurrection.
Sixièmement, il convient de souligner que ce combat, cette lutte contre le projet sioniste d’occupation (en Palestine, à Al Qods – Jérusalem – et sur d’autres territoires arabes au Liban et en Syrie) constituent la priorité absolue. Et si, dès l’origine, notre nation (musulmane) avait fait de ce combat une priorité, jamais nous n’en serions arrivés où nous en sommes aujourd’hui, et nous ne subirions pas toutes ces souffrances et catastrophes dans lesquelles vivent aujourd’hui les Palestiniens en Palestine et dans la diaspora (les réfugiés), dans lesquelles vivent tous les peuples de la région. Tous les massacres, les malheurs, les souffrances que nous avons subis au Liban et qu’ont subis les peuples de la région sont dus à l’abandon de cette responsabilité, à l’abandon de cette priorité.
En ce jour, il faut prêter attention à la situation actuelle. Il se trouve malheureusement dans le monde arabe, et derrière eux les États-Unis et l’Occident, des pays qui empêchent et interdisent qu’on fasse de la Palestine une priorité, qui en détournent l’attention, et qui s’efforcent continuellement de pousser les peuples dans d’autres directions. Ils leur façonnent d’autres ennemis, leur fomentent d’autres guerres, et ce depuis le commencement. Le projet sioniste occupe la terre de Palestine, mais dans le monde arabe, des pays, des gouvernements et des appels de toutes sortes assuraient : « la priorité est de combattre la vague communiste. » « Le danger pour l’Islam vient de la vague communiste. » Et par conséquent, la Palestine est oubliée. Et afin de combattre le communisme, pendant des décennies, des milliards de dollars ont été dépensés, des chaînes de télévision et des médias ont été mis en place, des livres ont été publiés, des conférences ont été organisées et des guerres lancées, et durant la guerre en Afghanistan (contre l’intervention de l’URSS en 1979), des combattants sont venus de partout dans le monde, de l’Égypte, de la Syrie, de la Jordanie, de l’Irak, du Liban, et même de la Palestine qui est pourtant une terre occupée ! Eh bien, mon frère, il y a une occupation en Palestine. Pourquoi avez-vous abandonné la Palestine durant des décennies et êtes-vous allés combattre en Afghanistan ? Je ne remets pas en cause la légitimité des combats en Afghanistan, mais je m’exprime d’après la logique des priorités.
Je cherche refuge auprès de Dieu contre Satan le lapidé.
Au nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux.
Louange à Dieu, Seigneur des Mondes.
Que la paix et le salut soient sur notre maître et Prophète, l’intercesseur de nos péchés et le bien-aimé de nos cœurs, (le Prophète) Abul Qasim Muhammad b. Abdillah, ainsi que sur sa noble et pure famille, sur ses compagnons élus et fidèles, et sur l’ensemble des Prophètes et Messagers.
Que la paix de Dieu soit sur vous tous, ainsi que Sa Miséricorde et Sa Grâce.
Le 7 août 1979, c’est-à-dire durant les premiers jours de la victoire de la Révolution islamique en Iran, l’imam Khomeini (qu’il soit sanctifié) a fait une déclaration dans laquelle il invitait tous les peuples opprimés de la terre, et en particulier les musulmans, à faire du dernier Vendredi du mois béni de Ramadan la journée internationale d’Al Qods (Jérusalem).
Le but de cet appel, confirmé après le décès de l’Imam Khomeini par Son Éminence l’imam sayed Ali Khamenei (que Dieu nous préserve sa noble présence), était de raviver auprès des musulmans et du monde entier la cause d’Al Qods (Jérusalem) et de la Palestine et d’empêcher qu’elle ne disparaisse dans les méandres de l’oubli, et de profiter de cette occasion grandiose qu’est le mois de Ramadan pour sensibiliser, mobiliser les efforts et les énergies de la nation (musulmane) pour sauver Al-Qods (Jérusalem) et la Palestine des mains des occupants sionistes, et de mettre en lumière ce que subissent la Palestine et son peuple, depuis 1948, 1967, la diaspora (les réfugiés), à Jérusalem-Est, dans le désert du Néguev, toutes les souffrances qui leur sont infligées – l’état de siège, la faim, l’expropriation de leurs terres, les persécutions, tous les dangers qui menacent ces lieux saints.
Aujourd’hui, 2 août 2013, nous avons plus que jamais besoin de raviver cette occasion. Et je vous adresse à tous mes vifs remerciements pour l’honneur de votre présence en ce jour, et en ces circonstances. Vous avez répondu à l’appel de votre imam Khomeini (qu’il soit sanctifié). Nous avons plus que jamais besoin de raviver cette occasion pour confirmer son importance, sa valeur et sa portée.
Premièrement, il faut souligner que la Palestine dont nous parlons est la Palestine, toute la Palestine, de la mer (Méditerranée) au fleuve (Jourdain), qui doit être restituée complètement à son peuple et à ses propriétaires véritables et légitimes. Sur toute cette terre, personne, absolument personne – ni roi, ni prince, ni président, ni leader, ni cheikh, ni sayed, ni pays, ni gouvernement, ni organisation – n’a le droit d’abandonner ou de céder ne serait-ce qu’un grain de sable de la terre de Palestine ou une goutte de son eau ou de son pétrole (car on a découvert qu’il y a du pétrole), ou un morceau de son territoire. Personne n’a le droit d’en céder quoi que ce soit, ni ne peut recevoir de mandat pour le faire. Cette vérité, qui semble étrange aujourd’hui, doit être proclamée durant le mois de la vérité, le mois de Ramadan.
Deuxièmement, l’imam Khomeini a décrit Israël de manière juste et avec une très grande précision quand il l’a désigné comme une « tumeur cancéreuse », car cette entité est véritablement cancéreuse : nous savons tous que la nature du cancer est de se répandre et de se propager dans le corps, et que le seul remède possible contre le cancer est de l’éradiquer, sans jamais lui céder ni lui donner la moindre occasion. Ô mes frères et sœurs ! Israël, qui est le fer de lance du projet sioniste dans la région, représente une menace constante et considérable. Et il faut être très vigilant sur ce point et ne surtout pas croire qu’Israël constitue seulement un danger pour la Palestine et le peuple palestinien, et que nous (les pays voisins) ne serions pas touchés par ce problème – le Liban, la Syrie, la Jordanie, l’Égypte, l’Irak, les pays du Golfe, l’Afrique du Nord, les autres pays arabes et musulmans, nous n’aurions aucun problème car Israël serait le problème de la Palestine et du peuple palestinien, seuls les Palestiniens seraient concernés. Ce n’est là qu’une illusion, de la désinformation et de l’ignorance. Israël représente une menace constante et considérable pour tous les pays et tous les peuples de cette région, pour leurs ressources, leurs choix, leur sécurité, leur dignité, leur paix et leur souveraineté, et quiconque nie cela est un arrogant.
Par conséquent, Israël n’est pas une menace existentielle seulement pour la Palestine et le peuple palestinien, mais c’est une menace existentielle pour tous les États, tous les gouvernements, toutes les entités, tous les peuples, toutes les civilisations de cette région.
Troisièmement, il est certain que l’éradication de cette tumeur cancéreuse, de cette entité usurpatrice, est dans l’intérêt de tout le monde musulman – car d’aucuns pensent que l’éradication d’Israël est dans le seul intérêt des Palestiniens. Certes, c’est dans l’intérêt des Palestiniens mais pas seulement des Palestiniens. C’est dans l’intérêt de tout le monde arabe, c’est un intérêt populaire (de tous les peuples arabes). C’est également un intérêt national, l’intérêt de tous les pays de la région. Ici, il n’y a pas lieu de faire de distinction entre l’intérêt des peuples et l’intérêt des nations. Israël représente un danger pour la Jordanie, et son éradication est un intérêt (un enjeu) national pour la Jordanie. Israël représente un danger pour l’Égypte, et son éradication est un enjeu national pour l’Égypte. Israël représente un danger pour la Syrie, et son éradication est un enjeu national pour la Syrie. Et de même, Israël représente un danger pour le Liban, et l’éradication d’Israël est un enjeu national pour le Liban.
Quatrièmement, et sur la base de ce qui a été établi dans les deux points précédents, quiconque s’oppose au projet sioniste et le combat, y résiste, dans n’importe quel endroit de cette région ou dans le monde, et par quelque moyen que ce soit, de même qu’il défend la Palestine, le peuple palestinien et Al Qods (Jérusalem), il défend par là même son propre pays, son propre peuple, sa propre dignité, le futur de ses propres enfants et descendants.
Cinquièmement, la Palestine et Al Qods (Jérusalem), ô mes frères et sœurs, sont une responsabilité générale et globale, pour tout Palestinien, tout Arabe, musulman ou chrétien, pour tout musulman du monde, et même pour tout homme au monde. Car c’est une cause juste, une cause humanitaire, dans tous les sens du terme. Il est vrai que le poids, l’ampleur de cette responsabilité varient d’un pays à un autre, d’un peuple à un autre, d’un lieu à un autre, d’une personne à une autre. Ici, entrent en considération les ressources, les capacités, les circonstances, la géographie, etc… En premier lieu, c’est la responsabilité du peuple palestinien, puis de leurs voisins, puis des voisins des voisins, etc. Mais il y a un niveau minimal de responsabilité qui pèse sur tous, et dont personne ne peut s’exempter : la prise de position politique est un niveau minimal de responsabilité, de même que la communication (à travers les médias), le soutien populaire, l’aide financière pour les Palestiniens, etc. Et parmi les obligations qui entrent dans ce niveau minimal de responsabilité, et dont nous serons interrogés au Jour du Jugement, se trouve le refus de reconnaître Israël, de reconnaître la légitimité de son existence et de sa perpétuation. Tel est le niveau minimal de responsabilité, que nous porterons tous, chacun d’entre nous, devant Dieu au Jour de la Résurrection.
Sixièmement, il convient de souligner que ce combat, cette lutte contre le projet sioniste d’occupation (en Palestine, à Al Qods – Jérusalem – et sur d’autres territoires arabes au Liban et en Syrie) constituent la priorité absolue. Et si, dès l’origine, notre nation (musulmane) avait fait de ce combat une priorité, jamais nous n’en serions arrivés où nous en sommes aujourd’hui, et nous ne subirions pas toutes ces souffrances et catastrophes dans lesquelles vivent aujourd’hui les Palestiniens en Palestine et dans la diaspora (les réfugiés), dans lesquelles vivent tous les peuples de la région. Tous les massacres, les malheurs, les souffrances que nous avons subis au Liban et qu’ont subis les peuples de la région sont dus à l’abandon de cette responsabilité, à l’abandon de cette priorité.
En ce jour, il faut prêter attention à la situation actuelle. Il se trouve malheureusement dans le monde arabe, et derrière eux les États-Unis et l’Occident, des pays qui empêchent et interdisent qu’on fasse de la Palestine une priorité, qui en détournent l’attention, et qui s’efforcent continuellement de pousser les peuples dans d’autres directions. Ils leur façonnent d’autres ennemis, leur fomentent d’autres guerres, et ce depuis le commencement. Le projet sioniste occupe la terre de Palestine, mais dans le monde arabe, des pays, des gouvernements et des appels de toutes sortes assuraient : « la priorité est de combattre la vague communiste. » « Le danger pour l’Islam vient de la vague communiste. » Et par conséquent, la Palestine est oubliée. Et afin de combattre le communisme, pendant des décennies, des milliards de dollars ont été dépensés, des chaînes de télévision et des médias ont été mis en place, des livres ont été publiés, des conférences ont été organisées et des guerres lancées, et durant la guerre en Afghanistan (contre l’intervention de l’URSS en 1979), des combattants sont venus de partout dans le monde, de l’Égypte, de la Syrie, de la Jordanie, de l’Irak, du Liban, et même de la Palestine qui est pourtant une terre occupée ! Eh bien, mon frère, il y a une occupation en Palestine. Pourquoi avez-vous abandonné la Palestine durant des décennies et êtes-vous allés combattre en Afghanistan ? Je ne remets pas en cause la légitimité des combats en Afghanistan, mais je m’exprime d’après la logique des priorités.
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