L’option de fermer ses frontières avec la Tunisie face à la recrudescence des actes terroristes dans ce pays est évoquée au plus haut niveau de l’Etat algérien de concertation avec les autorités tunisiennes.
A ce propos des réunions sécuritaires entre chefs d’Etat major et chefs de renseignement se sont déroulées du coté algérien depuis la dernière attaque en Tunisie, qui avait coûté la vie à dix soldats tunisiens, afin de se pencher sur toutes les options pour empêcher la fuite des terroristes du coté de la frontière algérienne dans le cas où l’armée tunisienne parviendrait à les déloger des zones de leur repli.
En effet, des sources sécuritaires tunisiennes et algériennes citées des médias tunisiens rapportent ce jeudi cette information. L’Algérie, qui a élevé le niveau d’alerte à ses frontières depuis plusieurs semaines, suit de près l’évolution de la situation sécuritaire chez les voisins. La collaboration et la coordination entre les deux pays sont étroites, selon les mêmes sources. A l’origine de cette inquiétude, l’arrestation d’un chef terroriste par les services de sécurité algériens, la semaine écoulée, à El-Oued.
L’individu en question, un certain Kamel Benarbia alias Abou Fida a vraisemblablement fourni de précieux renseignements aux autorités algériennes quant aux plans des terroristes d’Al Qaida au Maghreb Islamique (AQMI) dans leur tentative d’ouvrir un nouvel front sur le sol tunisien.
Des renseignements qui ont déjà permis aux forces de sécurité algériennes de faire avorter la tentative d’approvisionner les groupes armés terroristes avec une tonne de phosphate destinée à la fabrication de bombes artisanales.
Pour rappel, l’Algérie avait procédé de la même manière en fermant ses frontières avec le Mali lors de l’opération Serval lancée par l’armée française contre les groupes armés dans le Nord de ce pays en janvier dernier afin de les déloger.
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A ce propos des réunions sécuritaires entre chefs d’Etat major et chefs de renseignement se sont déroulées du coté algérien depuis la dernière attaque en Tunisie, qui avait coûté la vie à dix soldats tunisiens, afin de se pencher sur toutes les options pour empêcher la fuite des terroristes du coté de la frontière algérienne dans le cas où l’armée tunisienne parviendrait à les déloger des zones de leur repli.
En effet, des sources sécuritaires tunisiennes et algériennes citées des médias tunisiens rapportent ce jeudi cette information. L’Algérie, qui a élevé le niveau d’alerte à ses frontières depuis plusieurs semaines, suit de près l’évolution de la situation sécuritaire chez les voisins. La collaboration et la coordination entre les deux pays sont étroites, selon les mêmes sources. A l’origine de cette inquiétude, l’arrestation d’un chef terroriste par les services de sécurité algériens, la semaine écoulée, à El-Oued.
L’individu en question, un certain Kamel Benarbia alias Abou Fida a vraisemblablement fourni de précieux renseignements aux autorités algériennes quant aux plans des terroristes d’Al Qaida au Maghreb Islamique (AQMI) dans leur tentative d’ouvrir un nouvel front sur le sol tunisien.
Des renseignements qui ont déjà permis aux forces de sécurité algériennes de faire avorter la tentative d’approvisionner les groupes armés terroristes avec une tonne de phosphate destinée à la fabrication de bombes artisanales.
Pour rappel, l’Algérie avait procédé de la même manière en fermant ses frontières avec le Mali lors de l’opération Serval lancée par l’armée française contre les groupes armés dans le Nord de ce pays en janvier dernier afin de les déloger.
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