Oui il est venu le temps d'arrêter de mentir de façon aussi effronter .
Il est venu le temps pour certain pays de se resaisir et de prendre le train qui est en marche .
L'avancée du monde ne peut pas être pris en otage par un pays terroriste .
En affaiblissant l'ONU et le droit international , ils empêchent par ricochet la paix à travers le monde .
Combien de Rwanda faudra t'il pour comprendre ..
Tout recemment la RDC a faillit replongée si ce n'ai l'intervention in extremis de l'ONU .
Pourtant j'imagine bien cet instance avec des coudées encore plus franche .
La famine et la misère ne sont pas des fatalité .
Il faut que chacun pèse bien ses responsabilités dans ce jeu de billard .
Autrement c'est toutes les leçons du vingtième qui n'auront servit à rien .
Ci dessous un article du journal La tribune de ce jour .
Il est venu le temps pour certain pays de se resaisir et de prendre le train qui est en marche .
L'avancée du monde ne peut pas être pris en otage par un pays terroriste .
En affaiblissant l'ONU et le droit international , ils empêchent par ricochet la paix à travers le monde .
Combien de Rwanda faudra t'il pour comprendre ..
Tout recemment la RDC a faillit replongée si ce n'ai l'intervention in extremis de l'ONU .
Pourtant j'imagine bien cet instance avec des coudées encore plus franche .
La famine et la misère ne sont pas des fatalité .
Il faut que chacun pèse bien ses responsabilités dans ce jeu de billard .
Autrement c'est toutes les leçons du vingtième qui n'auront servit à rien .
Ci dessous un article du journal La tribune de ce jour .
Le représentant de l’Algérie à l’ONU, Youcef Yousfi :
«Il est temps que soient respectées les résolutions onusiennes»
Jeudi 24 Août 2006
Par Moumene Belghoul
«Il est grand temps que soient respectées les résolutions pertinentes du Conseil de sécurité et que cesse l’éclat des bombes, que cesse la guerre dans cette région du Proche-Orient qui n’a que trop tardé à renouer avec la paix et la prospérité», a déclaré mardi à New York le représentant permanent de l’Algérie auprès des Nations unies, Youcef Yousfi, et ce, lors du débat public du Conseil de sécurité relatif à la situation au Moyen-Orient.
Evoquant le pays du Cèdre qui vient de subir une des agressions les plus sauvages qui soient, le diplomate algérien a exprimé son «indignation devant les bombardements et les attaques aveugles dont ont été victimes des centaines de civils». Le monde entier, poursuivra le diplomate, «a crié son horreur devant les massacres de Quana et s’était demandé quels objectifs réels poursuivait l’armée israélienne en détruisant systématiquement les infrastructures de base essentielles, sinon à rendre impossible la vie à de centaines de milliers de personnes déplacées».
Pour M. Yousfi, le monde «s’est ému à juste titre, des violations à grande échelle des droits de l’Homme élémentaires, du droit international humanitaire auxquelles s’est livré l’agresseur» israélien qui «n’a pas hésité à employer des armes destructrices, dont certaines interdites». Il a exprimé son incompréhension «qu’il ait fallu tout ce temps au Conseil de sécurité pour arrêter cette tragédie, ces destructions et ces massacres de la population civile». Devant les menaces qui pèsent toujours dans la région, le représentant permanent de l’Algérie auprès de l’ONU a souligné l’urgence, pour éviter le risque de nouvelles tragédies, de «tout mettre en œuvre pour que les mesures nécessaires soient prises», notamment «le renforcement de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) dans le cadre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité afin de faire stopper l’agression israélienne». Pour le représentant algérien, l’épisode libanais constitue incontestablement «un scandale» aux yeux de la communauté internationale. S’interrogeant également sur la situation dans les territoires occupés et sur «les souffrances qu’endure le peuple palestinien depuis maintenant près de 60 ans», M. Yousfi a rappelé les «meurtres à huis clos, les violations massives des droits de l’Homme» que l’armée de l’Etat hébreu perpètre au quotidien dans les territoires occupés. Après avoir condamné «fermement ces violations répétées et impunies» des droits de l’Homme, Yousfi a indiqué que l’Algérie exprime sa «profonde préoccupation devant la persistance de la puissance occupante à enlever des représentants d’institutions élues démocratiquement», en ajoutant que l’Algérie demande «la libération immédiate et inconditionnelle de toutes personnalités kidnappées au mépris du droit international et des protestations de la communauté internationale». Réitérant la position de l’Algérie selon laquelle l’usage de la force et de la terreur «ne résoudra pas ce conflit, et ne viendra pas à bout de la détermination de ce peuple à construire son propre Etat et à vivre dans la dignité, la paix et la sécurité», Youcef Yousfi dira au contraire que ces agissements condamnables ne feront qu’«exacerber davantage les tensions et provoquer d’autres violences». Pour lui, seule la proposition de «paix offerte par le Sommet arabe de 2002 de Beyrouth et qui est resté sans écho» pourrait «imposer» la paix.
M. B.
«Il est temps que soient respectées les résolutions onusiennes»
Jeudi 24 Août 2006
Par Moumene Belghoul
«Il est grand temps que soient respectées les résolutions pertinentes du Conseil de sécurité et que cesse l’éclat des bombes, que cesse la guerre dans cette région du Proche-Orient qui n’a que trop tardé à renouer avec la paix et la prospérité», a déclaré mardi à New York le représentant permanent de l’Algérie auprès des Nations unies, Youcef Yousfi, et ce, lors du débat public du Conseil de sécurité relatif à la situation au Moyen-Orient.
Evoquant le pays du Cèdre qui vient de subir une des agressions les plus sauvages qui soient, le diplomate algérien a exprimé son «indignation devant les bombardements et les attaques aveugles dont ont été victimes des centaines de civils». Le monde entier, poursuivra le diplomate, «a crié son horreur devant les massacres de Quana et s’était demandé quels objectifs réels poursuivait l’armée israélienne en détruisant systématiquement les infrastructures de base essentielles, sinon à rendre impossible la vie à de centaines de milliers de personnes déplacées».
Pour M. Yousfi, le monde «s’est ému à juste titre, des violations à grande échelle des droits de l’Homme élémentaires, du droit international humanitaire auxquelles s’est livré l’agresseur» israélien qui «n’a pas hésité à employer des armes destructrices, dont certaines interdites». Il a exprimé son incompréhension «qu’il ait fallu tout ce temps au Conseil de sécurité pour arrêter cette tragédie, ces destructions et ces massacres de la population civile». Devant les menaces qui pèsent toujours dans la région, le représentant permanent de l’Algérie auprès de l’ONU a souligné l’urgence, pour éviter le risque de nouvelles tragédies, de «tout mettre en œuvre pour que les mesures nécessaires soient prises», notamment «le renforcement de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) dans le cadre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité afin de faire stopper l’agression israélienne». Pour le représentant algérien, l’épisode libanais constitue incontestablement «un scandale» aux yeux de la communauté internationale. S’interrogeant également sur la situation dans les territoires occupés et sur «les souffrances qu’endure le peuple palestinien depuis maintenant près de 60 ans», M. Yousfi a rappelé les «meurtres à huis clos, les violations massives des droits de l’Homme» que l’armée de l’Etat hébreu perpètre au quotidien dans les territoires occupés. Après avoir condamné «fermement ces violations répétées et impunies» des droits de l’Homme, Yousfi a indiqué que l’Algérie exprime sa «profonde préoccupation devant la persistance de la puissance occupante à enlever des représentants d’institutions élues démocratiquement», en ajoutant que l’Algérie demande «la libération immédiate et inconditionnelle de toutes personnalités kidnappées au mépris du droit international et des protestations de la communauté internationale». Réitérant la position de l’Algérie selon laquelle l’usage de la force et de la terreur «ne résoudra pas ce conflit, et ne viendra pas à bout de la détermination de ce peuple à construire son propre Etat et à vivre dans la dignité, la paix et la sécurité», Youcef Yousfi dira au contraire que ces agissements condamnables ne feront qu’«exacerber davantage les tensions et provoquer d’autres violences». Pour lui, seule la proposition de «paix offerte par le Sommet arabe de 2002 de Beyrouth et qui est resté sans écho» pourrait «imposer» la paix.
M. B.
Commentaire