(1)
La légion étrangère islamiste, financée par le Qatar et l’Arabie Saoudite, est composée de plus de 65.000 mercenaires islamistes, selon des confidences recueillies dans l’entourage de Lakhdar El Ibrahimi, l’envoyé spécial de l’ONU en Syrie et corroborées par des sources diplomatiques arabes présentes à Beyrouth et à Amman. Cheikh Ihsane Baadarani, uléma sunnite, ex conseiller de Bachar Al Assad pour les affaires religieuses, qui a fait défection et qui réside actuellement en Turquie, avance lui aussi ce chiffre de 65.000 djihadistes.
Selon les mêmes sources, ces chiffres recueillent aussi l’assentiment des services russes présents sur le sol syrien ainsi que des services de renseignement occidentaux présents en Turquie, au Liban et en Jordanie. Rien que dans ce dernier pays, stationnent 1.500 éléments des forces spéciales américaines. Cependant, publiquement ces mêmes services de renseignements occidentaux tentent de minimiser au maximum les effectifs des mercenaires islamistes en avançant des chiffres ridiculement bas allant de 800 à 1.500 combattants étrangers.
Faisant fi de cette grosse concentration de djihadistes en Syrie, les occidentaux ont gommé la contradiction principale qui les oppose à ces extrémistes en la rendant secondaire. Aujourd’hui, il s’agit de protéger Israël en mettant à genoux la Syrie ( cf les accords de Doha décidant de désarmer l’armée syrienne, après le départ de Bachar Al Assad, qui n’aurait plus que 50.000 hommes alors qu’actuellement elle en dispose de 350.000 à 400.000), isoler et affaiblir le Hezbollah libanais qui ne recevra plus d’armes, qui habituellement transitent par le territoire syrien (une guerre sera alors déclenchée par Israël pour vider le stock de missiles du mouvement de la résistance), soustraire la Syrie de son alliance avec l’Iran et faire perdre à la Russie toute présence et influence dans ce pays quitte à s’allier au diable et le diable ce sont les mercenaires islamistes chargés de la sale besogne.
Les effectifs des mercenaires présents en Syrie
65.000 mercenaires se trouvent donc sur le sol syrien, apportant guerre et malheur dès qu’ils prennent d’assaut villes et villages, ne laissant aux habitants, d’autres recours que mourir ou quitter leurs habitations investies pour aller gonfler le lot déjà impressionnant de réfugiés.
Plus de 65.000 mercenaires aujourd’hui alors que tous les jours, ce chiffre est donc dépassé car arrivent tous les jours des nouveaux venus du monde entier pour suppléer à la tiédeur des Syriens à aller faire la “révolution”. Pour preuve, la majorité des déserteurs de l’armée syrienne ont rejoint leurs familles et quitté le pays.
L’armée syrienne libre (ASL), qui est le bras armé de la confrérie des frères musulmans syriens, est quant à elle composée de 25.000 hommes sur le terrain en Syrie et de 6 à 7.000 présents en Turquie et en Jordanie, et semble avec ses effectifs faire pâle figure devant la légion étrangère islamiste.
Un recoupement de toutes les informations recueillies auprès des mêmes sources précitées permet de chiffrer comme suit les effectifs des mercenaires présents en Syrie :
Les Libyens (15.000) et leur nombre augmente continuellement, les Tunisiens (10.000 ) et non 3.500 comme rapporté par la presse tunisienne, les Libanais (10.000) payés chacun 500 dollars/mois par la famille Hariri, les Turcs (10.000) chiffre avancé par l’opposition turque, constituent le fer de lance de cette armée de mercenaires islamistes. Le reste ce sont les Jordaniens (4.000), les Irakiens ( 5.000), les Tchétchènes ( 1.000), les Egyptiens ( 1.500), les Africains, Maliens et Sénégalais, les Palestiniens (quelques centaines), les Bosniaques (1.000), Grande Bretagne ( 500), France (100), Australie (100) les Saoudiens (3.500), les Yéménites (1.500) alors que le chef d’Al Qaïda au Yemen, Tariq al-Fadhli, qui était un proche de Ben laden, est en train de recruter au Sud de ce pays 5.000 hommes à envoyer en Syrie, les Koweïtiens (300), les Afghans venus des pays du Golfe et des Emirats Arabes ( 700), les talibans pakistanais (1.500), présents quant à eux du côté des frontières avec l’Irak.
Par ailleurs, des sources très fiables notent la présence à Damas de 5.000 combattants iraniens de la brigade d’élite El Qods et autres gardiens de la révolution. Des milliers d’éléments du Hezboallah libanais, de leur côté, protègent, des deux côtés, les deux tiers de la frontière libano-syrienne des infiltrations de djihadistes alors que le dernier tiers, au Nord-Est, est tenu par les milices sunnites financées par l’ex premier ministre Saad Hariri qui a mis en grande difficulté son groupe industriel qui se trouve confronté à des problèmes graves de trésorerie et comptant tout de même sur un retour d’ascenseur des Saoudiens.
L’armement
Les armes, lance-roquettes, missiles anti-chars, kalachnikovs, mitrailleuses lourdes, mortiers, sont achetées sur le marché noir en Bulgarie, Bosnie, Liban, Tchéquie, Irak, Turquie, Libye… Tous les stocks ont été vidés par les achats massifs réalisés avec l’argent du Qatar et de l’Arabie Saoudite. Ce dernier pays commande des armes en Ukraine et fabriquées par la compagnie ukrainienne Dastan pour le compte des mercenaires via le territoire turc. L’Arabie Saoudite et le Qatar achètent aussi des armes fabriquées en Egypte par Sakr Factory for Development Industries (AOI) qui est une usine spécialisée dans la production de roquettes et d’obus d’artillerie.
Les occidentaux fournissent différents types d’armes (comme l’Anti-Material Rifle sur la photo), des gilets pare-balles, des moyens de communication et des équipements à visée nocturne et hésitent à fournir des armes offensives comme les missiles anti-aériens. Cependant, les mercenaires islamistes utilisent des missiles anti-aériens portables SA-24 Grinch, de fabrication russe, provenant des stocks libyens.
Le recrutement
Des cellules de recrutement ont été ouvertes dans les pétromonarchies, en Libye, en Tunisie, au Liban, au Yémen, au Pakistan, dans les pays d’Asie centrale, dans des pays africains, en Europe, en Australie…Les mosquées et les associations sous couvert d’activités caritatives, des ONG, font des appels au Djihad.
Dans les mosquées européennes, les prédicateurs vont embrigader des centaines de jeunes musulmans occidentaux. Pour l’Europe, c’est d’ailleurs le Groupe Shari’a uk , dirigé par Anjam Choudary et sous les ordres d’un Libano-Syrien installé à Tripoli (Liban-Nord ) qui est chargée d’envoyer des Djihadistes.
En Allemagne, les groupes du Cheikh Issam Al Attar avec une logistique turque et saoudienne, recrutent à tour de bras des jeunes désœuvrés pour combattre en Syrie.
En Belgique, c’est la branche belge des Mouhajiroune qui s’occupe du recrutement des combattants volontaires, sharia’a Belgium, dont le chef, un certain Abou Amrane, d’origine marocaine, purge actuellement une peine de six mois de prison. Poursuivi par la justice de son pays natal, le Maroc, pour divers trafics d’armes et drogue, il a apporté un soutien public aux attaques de Mohamed Merah et à d’autres actes de terrorisme dans le monde .
Ces dizaines de milliers de djihadistes arrivent ensuite principalement dans trois pays de transit que sont la Turquie, le Liban et la Jordanie où il leur est fourni formation militaire, treillis, armes et moyens de transport et de communication. La plupart de ces islamistes sont transportés dans des avions de compagnies privées affrétés par le Qatar et l’Arabie Saoudite alors que d’autres sont transportés dans des bateaux. C’est un véritable corps expéditionnaire venant de l’étranger, ce qui accrédite l’idée que c’est une guerre orchestrée et alimentée de l’extérieur.
Ces combattants sont ensuite dispatchés dans des brigades comprenant en moyenne de cinquante à cent individus chacune mais relevant de plusieurs factions toutes idéologiquement proches ou relevant de l’organisation terroriste internationale Al Qaïda de l’égyptien Aymane Al Zawahiri.
Le frère de ce dernier, Mohamed Al Zawahiri, présent en Syrie, est chargé de superviser les djihadistes en les intégrant dans différents groupes terroristes en Syrie. Certaines sources affirment que Mohamed Al Zawahiri a été finalement arrêté par l’armée régulière.
Les différentes factions islamistes
Les différentes factions islamistes présentes en Syrie sont Hizb ut-Tahrir, Jund al-Sham et Fatah al-Islam, des groupes sunnites libanais, Liwa Al Tawhid, l’armée syrienne libre, Jabhatou Al Nosra, Ghouraba al-Sham (des Turcs et des combattants venus d’Asie centrale), Front de libération de Syrie qui comprend de puissantes unités comme les Brigades Farouq de Homs, les Divisions Suqour al-Sham d’inclination salafiste à Idleb et l’alliance Ansar al-Islam, qui domine l’insurrection autour de Damas. Les Brigades Ahrar al-Sham, (un groupe de salafistes syriens, épaulés par des Irakiens et des Libanais) bien implanté dans le nord-ouest de la Syrie et qui a commis des attentats-suicides et veut établir un régime théocratique. La Division Haqq rassemble plusieurs groupes à Homs, le Groupe islamique d’avant-garde, les martyrs de Lattamneh, Bataillon Abdallah ibn Al-Zubayr, les brigade Fateh, Brigade Ahfad Al Rassoul(petits-fils du prophète), la brigade Souqour Al-Ezz (les Aigles de la volonté), la brigade Hamza Abou Moutalib, Jabhatou AnNasr, Ahrar Al Islam, Jabhatou Thouar Al Cham, Tajamaou An Nçar Al Islam, Liwa Al Islam, Liwa Darea Al Cham, Rijal Al Moussalihoun Lil Ikhwa Al Mouslimine, Liwa Achahba, Liwa Al Habib Al Moustapha, Ferkatou Souleimane Al Hamwi…
Les principales brigades islamistes: Brigade Ibad Rahman, brigade Salahuddin, brigade Khalid Ibn al-Walid, Brigade montagne valide, brigade Shaimaa, brigade de succession, Brigade Hassan ibn Thabit, brigade du monothéisme et de la foi, brigade des aigles d’Alep, brigade des soldats de la droite, brigade al-Taliaah al-Islamiyeh, brigade des martyrs, brigade du critère, brigade des compagnons, brigade Hamza bin Abdulmutallab, brigade Abu émirat, brigade Harmoush, brigade de l’âge, brigade Ababil, brigade d’Abou Fida, brigade Al Farouk, brigade des partisans de la vérité, Brigade des Martyrs, brigade Hamad bin Jassim (du nom ministre des Affaires étrangères du Qatar)
La légion étrangère islamiste, financée par le Qatar et l’Arabie Saoudite, est composée de plus de 65.000 mercenaires islamistes, selon des confidences recueillies dans l’entourage de Lakhdar El Ibrahimi, l’envoyé spécial de l’ONU en Syrie et corroborées par des sources diplomatiques arabes présentes à Beyrouth et à Amman. Cheikh Ihsane Baadarani, uléma sunnite, ex conseiller de Bachar Al Assad pour les affaires religieuses, qui a fait défection et qui réside actuellement en Turquie, avance lui aussi ce chiffre de 65.000 djihadistes.
Selon les mêmes sources, ces chiffres recueillent aussi l’assentiment des services russes présents sur le sol syrien ainsi que des services de renseignement occidentaux présents en Turquie, au Liban et en Jordanie. Rien que dans ce dernier pays, stationnent 1.500 éléments des forces spéciales américaines. Cependant, publiquement ces mêmes services de renseignements occidentaux tentent de minimiser au maximum les effectifs des mercenaires islamistes en avançant des chiffres ridiculement bas allant de 800 à 1.500 combattants étrangers.
Faisant fi de cette grosse concentration de djihadistes en Syrie, les occidentaux ont gommé la contradiction principale qui les oppose à ces extrémistes en la rendant secondaire. Aujourd’hui, il s’agit de protéger Israël en mettant à genoux la Syrie ( cf les accords de Doha décidant de désarmer l’armée syrienne, après le départ de Bachar Al Assad, qui n’aurait plus que 50.000 hommes alors qu’actuellement elle en dispose de 350.000 à 400.000), isoler et affaiblir le Hezbollah libanais qui ne recevra plus d’armes, qui habituellement transitent par le territoire syrien (une guerre sera alors déclenchée par Israël pour vider le stock de missiles du mouvement de la résistance), soustraire la Syrie de son alliance avec l’Iran et faire perdre à la Russie toute présence et influence dans ce pays quitte à s’allier au diable et le diable ce sont les mercenaires islamistes chargés de la sale besogne.
Les effectifs des mercenaires présents en Syrie
65.000 mercenaires se trouvent donc sur le sol syrien, apportant guerre et malheur dès qu’ils prennent d’assaut villes et villages, ne laissant aux habitants, d’autres recours que mourir ou quitter leurs habitations investies pour aller gonfler le lot déjà impressionnant de réfugiés.
Plus de 65.000 mercenaires aujourd’hui alors que tous les jours, ce chiffre est donc dépassé car arrivent tous les jours des nouveaux venus du monde entier pour suppléer à la tiédeur des Syriens à aller faire la “révolution”. Pour preuve, la majorité des déserteurs de l’armée syrienne ont rejoint leurs familles et quitté le pays.
L’armée syrienne libre (ASL), qui est le bras armé de la confrérie des frères musulmans syriens, est quant à elle composée de 25.000 hommes sur le terrain en Syrie et de 6 à 7.000 présents en Turquie et en Jordanie, et semble avec ses effectifs faire pâle figure devant la légion étrangère islamiste.
Un recoupement de toutes les informations recueillies auprès des mêmes sources précitées permet de chiffrer comme suit les effectifs des mercenaires présents en Syrie :
Les Libyens (15.000) et leur nombre augmente continuellement, les Tunisiens (10.000 ) et non 3.500 comme rapporté par la presse tunisienne, les Libanais (10.000) payés chacun 500 dollars/mois par la famille Hariri, les Turcs (10.000) chiffre avancé par l’opposition turque, constituent le fer de lance de cette armée de mercenaires islamistes. Le reste ce sont les Jordaniens (4.000), les Irakiens ( 5.000), les Tchétchènes ( 1.000), les Egyptiens ( 1.500), les Africains, Maliens et Sénégalais, les Palestiniens (quelques centaines), les Bosniaques (1.000), Grande Bretagne ( 500), France (100), Australie (100) les Saoudiens (3.500), les Yéménites (1.500) alors que le chef d’Al Qaïda au Yemen, Tariq al-Fadhli, qui était un proche de Ben laden, est en train de recruter au Sud de ce pays 5.000 hommes à envoyer en Syrie, les Koweïtiens (300), les Afghans venus des pays du Golfe et des Emirats Arabes ( 700), les talibans pakistanais (1.500), présents quant à eux du côté des frontières avec l’Irak.
Par ailleurs, des sources très fiables notent la présence à Damas de 5.000 combattants iraniens de la brigade d’élite El Qods et autres gardiens de la révolution. Des milliers d’éléments du Hezboallah libanais, de leur côté, protègent, des deux côtés, les deux tiers de la frontière libano-syrienne des infiltrations de djihadistes alors que le dernier tiers, au Nord-Est, est tenu par les milices sunnites financées par l’ex premier ministre Saad Hariri qui a mis en grande difficulté son groupe industriel qui se trouve confronté à des problèmes graves de trésorerie et comptant tout de même sur un retour d’ascenseur des Saoudiens.
L’armement
Les armes, lance-roquettes, missiles anti-chars, kalachnikovs, mitrailleuses lourdes, mortiers, sont achetées sur le marché noir en Bulgarie, Bosnie, Liban, Tchéquie, Irak, Turquie, Libye… Tous les stocks ont été vidés par les achats massifs réalisés avec l’argent du Qatar et de l’Arabie Saoudite. Ce dernier pays commande des armes en Ukraine et fabriquées par la compagnie ukrainienne Dastan pour le compte des mercenaires via le territoire turc. L’Arabie Saoudite et le Qatar achètent aussi des armes fabriquées en Egypte par Sakr Factory for Development Industries (AOI) qui est une usine spécialisée dans la production de roquettes et d’obus d’artillerie.
Les occidentaux fournissent différents types d’armes (comme l’Anti-Material Rifle sur la photo), des gilets pare-balles, des moyens de communication et des équipements à visée nocturne et hésitent à fournir des armes offensives comme les missiles anti-aériens. Cependant, les mercenaires islamistes utilisent des missiles anti-aériens portables SA-24 Grinch, de fabrication russe, provenant des stocks libyens.
Le recrutement
Des cellules de recrutement ont été ouvertes dans les pétromonarchies, en Libye, en Tunisie, au Liban, au Yémen, au Pakistan, dans les pays d’Asie centrale, dans des pays africains, en Europe, en Australie…Les mosquées et les associations sous couvert d’activités caritatives, des ONG, font des appels au Djihad.
Dans les mosquées européennes, les prédicateurs vont embrigader des centaines de jeunes musulmans occidentaux. Pour l’Europe, c’est d’ailleurs le Groupe Shari’a uk , dirigé par Anjam Choudary et sous les ordres d’un Libano-Syrien installé à Tripoli (Liban-Nord ) qui est chargée d’envoyer des Djihadistes.
En Allemagne, les groupes du Cheikh Issam Al Attar avec une logistique turque et saoudienne, recrutent à tour de bras des jeunes désœuvrés pour combattre en Syrie.
En Belgique, c’est la branche belge des Mouhajiroune qui s’occupe du recrutement des combattants volontaires, sharia’a Belgium, dont le chef, un certain Abou Amrane, d’origine marocaine, purge actuellement une peine de six mois de prison. Poursuivi par la justice de son pays natal, le Maroc, pour divers trafics d’armes et drogue, il a apporté un soutien public aux attaques de Mohamed Merah et à d’autres actes de terrorisme dans le monde .
Ces dizaines de milliers de djihadistes arrivent ensuite principalement dans trois pays de transit que sont la Turquie, le Liban et la Jordanie où il leur est fourni formation militaire, treillis, armes et moyens de transport et de communication. La plupart de ces islamistes sont transportés dans des avions de compagnies privées affrétés par le Qatar et l’Arabie Saoudite alors que d’autres sont transportés dans des bateaux. C’est un véritable corps expéditionnaire venant de l’étranger, ce qui accrédite l’idée que c’est une guerre orchestrée et alimentée de l’extérieur.
Ces combattants sont ensuite dispatchés dans des brigades comprenant en moyenne de cinquante à cent individus chacune mais relevant de plusieurs factions toutes idéologiquement proches ou relevant de l’organisation terroriste internationale Al Qaïda de l’égyptien Aymane Al Zawahiri.
Le frère de ce dernier, Mohamed Al Zawahiri, présent en Syrie, est chargé de superviser les djihadistes en les intégrant dans différents groupes terroristes en Syrie. Certaines sources affirment que Mohamed Al Zawahiri a été finalement arrêté par l’armée régulière.
Les différentes factions islamistes
Les différentes factions islamistes présentes en Syrie sont Hizb ut-Tahrir, Jund al-Sham et Fatah al-Islam, des groupes sunnites libanais, Liwa Al Tawhid, l’armée syrienne libre, Jabhatou Al Nosra, Ghouraba al-Sham (des Turcs et des combattants venus d’Asie centrale), Front de libération de Syrie qui comprend de puissantes unités comme les Brigades Farouq de Homs, les Divisions Suqour al-Sham d’inclination salafiste à Idleb et l’alliance Ansar al-Islam, qui domine l’insurrection autour de Damas. Les Brigades Ahrar al-Sham, (un groupe de salafistes syriens, épaulés par des Irakiens et des Libanais) bien implanté dans le nord-ouest de la Syrie et qui a commis des attentats-suicides et veut établir un régime théocratique. La Division Haqq rassemble plusieurs groupes à Homs, le Groupe islamique d’avant-garde, les martyrs de Lattamneh, Bataillon Abdallah ibn Al-Zubayr, les brigade Fateh, Brigade Ahfad Al Rassoul(petits-fils du prophète), la brigade Souqour Al-Ezz (les Aigles de la volonté), la brigade Hamza Abou Moutalib, Jabhatou AnNasr, Ahrar Al Islam, Jabhatou Thouar Al Cham, Tajamaou An Nçar Al Islam, Liwa Al Islam, Liwa Darea Al Cham, Rijal Al Moussalihoun Lil Ikhwa Al Mouslimine, Liwa Achahba, Liwa Al Habib Al Moustapha, Ferkatou Souleimane Al Hamwi…
Les principales brigades islamistes: Brigade Ibad Rahman, brigade Salahuddin, brigade Khalid Ibn al-Walid, Brigade montagne valide, brigade Shaimaa, brigade de succession, Brigade Hassan ibn Thabit, brigade du monothéisme et de la foi, brigade des aigles d’Alep, brigade des soldats de la droite, brigade al-Taliaah al-Islamiyeh, brigade des martyrs, brigade du critère, brigade des compagnons, brigade Hamza bin Abdulmutallab, brigade Abu émirat, brigade Harmoush, brigade de l’âge, brigade Ababil, brigade d’Abou Fida, brigade Al Farouk, brigade des partisans de la vérité, Brigade des Martyrs, brigade Hamad bin Jassim (du nom ministre des Affaires étrangères du Qatar)
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