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Sept organisations non gouvernementales (ONG) nationales et internationales* ont appelé, ce mardi 4 décembre, l’Union européenne (UE) à faire de la question relative au respect des droits de l’Homme une priorité en amont de la 7e session du Conseil d'association Algérie-UE devant se tenir le 6 décembre à Bruxelles.
« Nos organisations demandent que cette question, y compris l’égalité hommes-femmes et les réformes démocratiques, figure sur la liste des priorités du Conseil d’association qui est une des étapes des négociations du Plan d’Action avec l’Algérie dans le cadre de la Politique européenne de voisinage (PEV) », ont-elles indiqué dans un communiqué commun.
Ces ONG demandent à l’UE d’affirmer « expressément » à l’Algérie que sa participation à la PEV est conditionnée par son « attachement » aux « valeurs universelles des droits de l'Homme, de la démocratie et de l'État de droit », écrivent ces associations.
L’UE est également appelée à exiger des autorités algériennes « des avancées concrètes avant la conclusion de tout Plan d’Action ». Ces avancées doivent concerner, entre autres, la liberté d’association, de réunion et des libertés syndicales, la liberté d’expression, d’opinion et d’information, l’arrêt « immédiat » de toute forme de harcèlement dont font l’objet des défenseurs des droits de l’Homme et l’abrogation de la Charte pour la réconciliation nationale, ont‑elles ajouté.
*Réseau euro-méditerranéen des droits de l’Homme (REMDH), Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme (FIDH), Collectif des familles de disparus en Algérie (CFDA), Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme (LADDH), Syndicat national autonome du personnel de l’administration publique (SNAPAP), Réseau d’avocats pour la défense des droits de l’Homme (RADDH) et association Agir pour le changement démocratique en Algérie (ACDA).
TSA
« Nos organisations demandent que cette question, y compris l’égalité hommes-femmes et les réformes démocratiques, figure sur la liste des priorités du Conseil d’association qui est une des étapes des négociations du Plan d’Action avec l’Algérie dans le cadre de la Politique européenne de voisinage (PEV) », ont-elles indiqué dans un communiqué commun.
Ces ONG demandent à l’UE d’affirmer « expressément » à l’Algérie que sa participation à la PEV est conditionnée par son « attachement » aux « valeurs universelles des droits de l'Homme, de la démocratie et de l'État de droit », écrivent ces associations.
L’UE est également appelée à exiger des autorités algériennes « des avancées concrètes avant la conclusion de tout Plan d’Action ». Ces avancées doivent concerner, entre autres, la liberté d’association, de réunion et des libertés syndicales, la liberté d’expression, d’opinion et d’information, l’arrêt « immédiat » de toute forme de harcèlement dont font l’objet des défenseurs des droits de l’Homme et l’abrogation de la Charte pour la réconciliation nationale, ont‑elles ajouté.
*Réseau euro-méditerranéen des droits de l’Homme (REMDH), Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme (FIDH), Collectif des familles de disparus en Algérie (CFDA), Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme (LADDH), Syndicat national autonome du personnel de l’administration publique (SNAPAP), Réseau d’avocats pour la défense des droits de l’Homme (RADDH) et association Agir pour le changement démocratique en Algérie (ACDA).
TSA