Maroc : Le code de la presse pour bientôt

[houari16]

posté par TAGHITI

gallik Othmani va chasser le Polisario de l'UA

.
Ce qu on appelle la liberté de la presse chez eux , des déclarations bidon pour la presse marocaine ?

[Serpico]

gallik Othmani va chasser le Polisario de l'UA

Taghiti

Ya sidi , on t'en fait grâce de cette coquille vide appelée UA avec ce qu'elle contient .

R"bah biha !!

Peux tu nous dire ce qu'elle fait pour résoudre la crise malienne et ce qu'elle a fait pour le Soudan , pour le Rwanda etc etc ..

A part s’asseoir sur ses propres textes en admettant une république fantoche sans population et sans territoire , cette coquille vide n'existe que pour faire rencontrer des dictateurs ..

[houari16]

posté par Serpico

Ya sidi , on t'en fait grâce de cette coquille vide appelée UA avec ce qu'elle contient

.
La balle est sortit !!!
Que Othmani tient sur sa promesse , la presse marocaine l avait inscrit et diffusé
donc Le prochain code de la presse pour bientôt , maintenant cette presse marocaine a l habilitation et le droit de le critiquer ..

On verra !!

[Serpico]

La balle est sortit !!!

Houari

Comme tes 34 470 pétards mouillés ...!!

[houari16]

@Serpico

On verra la liberté de la presse et d opinion !!

Peut étre les langues se délient , plus de peur au royaume enchanté !!!

Si le prochain code de la presse pour bientôt , est que ce code permettra à cette presse marocaine l habilitation et le droit de critiquer les officiels marocains , ainsi le ROI M6 grabataire dans son Palais , fait uniquement pour inaugurer les petits projets ruraux ..

[Iska]

Galak liberté d'expression

Ne jamais parler du sultan, quelque soient les circonstances , telle est la devise de la " liberté de la presse au maroc"

M
Liberté d’expression au Maroc : Le gouvernement retire l’accréditation à un journaliste de l’AFP


Publié le 05.10.2012 à 13h27 | Par Mohammed Jaabouk


Trois jours après l’installation des membres d’une commission chargée d’élaborer un nouveau code de la presse, le gouvernement décide de retirer l’accréditation du journaliste de l’AFP, Omar Brouksy.


Le gouvernement Benkirane vient de retirer l’accréditation au correspondant de l’AFP au Maroc, Omar Brouksy. La cause : un reportage du journaliste, diffusé jeudi, sur les élections partielles à Tanger qui apparemment n’était pas du goût des autorités. Elles lui reprochent notamment de véhiculer « des allégations mêlant l'institution monarchique à cette compétition électorale qui s'est déroulée dans un climat empreint de transparence, portant ainsi préjudice à sa position de neutralité et à son rôle d'arbitre se situant au-dessus de toute concurrence électorale entre les formations politiques, indique un communiqué du gouvernement », lit-on dans le texte relayé par la MAP.
« Ces allégations, poursuit le communiqué, portent aussi préjudice au statut constitutionnel de l'institution monarchique et sont en contradiction totale avec la neutralité absolue de SM le Roi et de la famille royale par rapport aux élections ».

« Je ne comprends pas les raisons de cette décision »

Contacté par ********.com, Omar Brouksy dit ne pas « comprendre les raisons de cette décision du gouvernement. De plusle communiqué n’est pas clair. Ils auraient pu trouver un prétexte solide pour justifier le retrait de mon accréditation. Dans mon reportage j’ai parlé d’un duel opposant à Tanger le PJD au PAM. Ensuite, j’ai défini, au lecteur occidental, les deux formations tout en précisant que le PAM est un parti fondé en 2008 « par Fouad Ali El Himma, un proche du roi Mohammed VI ». C’est tout. ». Et de promettre qu’il va « continuer d’exercer au sein de l’équipe de l’AFP ».

A la question de savoir s’il est dans le collimateur des autorités depuis les incidents du 22 août dernier, Omar Brouksy avoue qu’il « ne sait pas ». Pour mémoire, ce jour-là le journaliste de l’AFP a été la victime, aux côtés d’autres journalistes et photographes travaillant pour des supports marocains, d’une agression de la police alors qu’il couvrait une manifestation devant le parlement à Rabat d’une dizaine d’opposants à la cérémonie d’allégeance. Pour circonscrire au plus vite l’onde de choc, le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement a été contraint de présenter des excuses à la direction générale de l’AFP à Paris et non à Omar Brouksy.

La réaction modérée de l’AFP

L’agence française a réagi, ce matin, au retrait de l’accréditation de Omar Bouksy. Dans une dépêche de l’AFP, le directeur de l’information, sur un ton très modéré dit espérer que les autorités marocaines reviendront sur cette décision. Le reportage incriminé n'avait pas d'autre but que d'informer, de contextualiser une situation, sans intention de nuire à qui que ce soit ». Et d’ajouter que le bureau de l'AFP à Rabat avait « toute la confiance de la direction de l'agence ».

Le précédent de Claude Juvénal en 2000

Entre le bureau de l’AFP à Rabat et les autorités marocaines, les relations ne sont guère au beau fixe. Et c’est un euphémisme. En 2000, le gouvernement dit d’« alternance » dirigé par le socialiste Abderrhaman El Youssoufi a expulsé le journaliste français Claude Juvénal, qui officiait comme directeur de l’agence au Maroc, pour s’être « écarté de l'éthique et de la déontologie de la profession en prenant des initiatives à caractère hostile au Maroc et à ses institutions ». Douze ans plus tard, l’histoire est en train de se répéter.

ya biladi

[Iska]

Galek liberté de la presse

ya biladi n'est plus en ligne ( du moins en ce moment ) en voici la cause

Lundi 8 octobre : Black out sur ********.com



Une page noire en signe d’alerte : c’est tout ce qui restera de la liberté d’expression de ********.com si Driss Ajabali, responsable au sein du Conseil de la Communauté des Marocains de l’Etranger (CCME), obtient gain de cause.

Il attaque Web Stratégie, société éditrice du portail ********.com, pour « insultes, diffamations et atteinte à son honneur » sur la base d’un article documenté publié par Mohamed Ezzouak, directeur de publication, le 29 juillet 2012, intitulé « Argent public : le fabuleux train de vie d’un salarié du CCME ».

Driss Ajabali demande 500 000 dirhams de dommages et intérêts dans l’espoir de faire taire définitivement ********.com. La première audience du procès a lieu aujourd’hui, lundi 8 octobre 2012.

Pour nous soutenir, n’hésitez pas à signer la pétition et nous suivre sur facebook et twitter

[Iska]

Que dis-tu de ces deux articles ya Serpico, parceque je suis sûr que tu les a lu.

La liberté d'expression regne en maitresse parmi les arcanes de sidek .

[Serpico]

Que dis-tu de ces deux articles ya Serpico, parceque je suis sûr que tu les a lu.
Iska

Je vais encore te donner une leçon sur la réalité marocaine .

Ce "sidek" s'il était vraiment impliqué et aussi imposant , il aurait favorisé la victoire du PAM .

Or c'est le PJD qui a gagné ces elections partielles et cela prouve que ce roi n'a aucun pouvoir contrairement à son père qui aurait plié la chose .

Comme ce journaliste marocain de l'AFP qui croit faire du scoop ( sans fournir de preuves) en mêlant le roi à cette sauce électorale régionale ( sans enjeux) , tu penses pouvoir convaincre les gens avec tes "sidek" bidons qui prouvent que tu n'as pas d'autres arguments.

Tu constateras que je t'ai épargné cette fois ci le terme "siadeks les caporaux"

Ceci dit je trouve que retirer l’accréditation à ce journaliste est une aberration qui prouve que les anciens réflexes ont la vie dure d'autant que la décision contre ce journaliste fait plus mal au régime que l'article lui même.

Bref de la pure stupidité émanant ,cette fois ci, du PJD qui ,hier encore, se plaignait de la censure ....