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Les 10 grandes destinations du tourisme sexuel en Afrique

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  • Les 10 grandes destinations du tourisme sexuel en Afrique

    La faiblesse d’une réglementation dissuasive et une population libérée du poids des traditions font de l'Afrique un nouveau repaire des touristes sexuels.



    Grand Baie, la partouzeuse (île Maurice)


    Grand Baie, c’est un peu le Saint-Tropez de l’île Maurice. En près de 40 ans, ce qui n’était autre qu’un insignifiant village de pêcheurs est devenu le lieu de villégiature de la bourgeoisie locale. Mais aussi, le temple de la luxure et du libertinage. Sur les plus de 900.000 touristes (pour 2012, les prévisions sont de 980.000 visiteurs) qui séjournent dans l’île du sourire chaque année, un nombre considérable se dirige immédiatement vers Grand Baie. À la recherche du soleil, des cocotiers et du sable fin et doré des plages…
    Grand Baie, située à l’extrême-nord de Maurice, attire surtout, parce que, comme n’hésitera pas à vous le dire le premier chauffeur de taxi qui vous conduira à votre hôtel, on y trouve tout ce qu’on veut. Des plaisirs les plus simples, comme se la couler douce au soleil, aux extravagances les plus folles.
    En 2010, un producteur de films X a même fait sensation, en vendant l’île comme une vraie destination sexuelle. Il a monté un site Internet dans lequel il met en scène des femmes sexagénaires effectuant des partouzes avec de très jeunes Mauriciens. Pour des raisons évidentes, nous ne vous redirigerons pas vers le site en question.
    Toujours est-il que, à Maurice, presque tout le monde a toujours nié l’existence d’une quelconque forme de tourisme sexuel. Les autorités juraient même leurs grands dieux qu’elles ne savaient pas ce que cela voulait dire. Jusqu’à ce qu’un rapport du département d’Etat américain cite le pays comme étant un lieu d’exploitation de personnes, dont des enfants.
    Après ces révélations, le gouvernement mauricien a fait voter une série de lois pour endiguer le phénomène. Mais cela suppose de rendre plus coercitives les conditions d’entrée à Maurice. Or, le tourisme est, avec la canne à sucre, l’autre mamelle de l’économie nationale.


    Banjul, la pédophile (Gambie)


    Il y a encore une dizaine d’années, cela se murmurait seulement. Aujourd’hui, le phénomène a pris des proportions telles que, sur place, plus personne ne semble s’en offusquer. Banjul, la capitale de la Gambie, pays minuscule coincé entre le Sénégal et la Guinée Bissau, est devenue une destination de choix pour les amateurs de mineurs. Mais, plus spécifiquement encore, pour les amatrices occidentales de très jeunes éphèbes noirs.
    C’est le quotidien britannique The Guardian qui décrivait le phénomène dans un reportage marqué par des détails et des témoignages pour le moins étonnants. Des femmes, entre 45 et 60 ans, venues tout spécialement des Pays-Bas, de la Belgique, de Suisse, du Royaume-Uni, et parfois de la France, à la recherche de plaisirs interdits… avec de jeunes garçons.
    Sous la chaleur torride des plages gambiennes, on peut les voir se faire appliquer de la crème solaire par des adolescents. Là-bas, on les appelle les « Marie-Claire », un surnom qu’elles assument sans aucun état d’âme. D’autant plus que ceux pour qui elles viennent en nombre dans le pays ont l’air consentants.
    En effet, plus de 50% de la population gambienne a moins de 18 ans. Soit, à peu près 750.000 personnes. Et, tous ces jeunes sont frappés par un chômage massif et une grande pauvreté des familles. Alors, quand ils ne rôdent pas aux abords des hôtels à touristes, ils se précipitent, la nuit tombée, à Sénégambia, tout juste à l’entrée de Banjul.
    Ce quartier chaud, à la périphérie Est de la capitale, est le temple de la drague. Les quinquagénaires blanches viennent y faire leur marché du sexe. Et les jeunes pubères le savent, qui exhibent leur corps et rivalisent de déhanchements pour séduire des femmes souvent plus âgées qu’eux de trente ans. Eux aussi ont un surnom, ce sont les « bumsters ». Ces gigolos, rapporte une étude de l’Unicef, trouvent d’ailleurs très chic d’être vus avec des blanches.
    Pourtant, explique le journal suisse L’hebdo, les vraies affaires entre les « Marie-Claire » et les « Bumsters » se déroulent un peu loin, dans des appartements ou des maisons de location, afin de ne pas s’attirer les foudres des gérants d’hôtels, dont un grand nombre commence à s’organiser pour lutter contre le phénomène des « Marie-Claire ». Mais cela n’a pas l’air de décourager celles-ci. Non seulement beaucoup d’entre elles bénéficient de la complicité de la police, indique encore L’hebdo, mais en plus, elles savent qu’elles peuvent compter sur des proies malheureusement faciles.


    Saly, l’allumeuse (Sénégal)


    Bienvenue à Saly, station balnéaire située à environ 90 km de Dakar, la capitale sénégalaise. Hôtels de luxe, clubs et restos chics, plages de sable fin, bungalows au toit de paille... La station passe pour être le lieu de villégiature le plus séduisant d’Afrique de l’Ouest. Mais Saly est aussi et surtout la capitale du tourisme sexuel au Sénégal. Le célèbre guide français du Routard, il y a quelques années, décrivait ainsi froidement ce petit village chaud de la commune de Mbour :
    « Saly est le point de ralliement des Occidentaux vieillissants qui souhaitent goûter aux charmes de jeunes Sénégalais(es), pas toujours majeur(e)s. »
    Ici, des jeunes filles à peine sorties de l’adolescence rivalisent d’ingéniosité pour approcher les touristes blancs, tandis que les jeunes hommes exhibent fièrement leur forte musculature sur la plage, histoire de pouvoir offrir leurs services à des dames âgées… ou à des messieurs.
    Cela conduit souvent à des situations bien dramatiques. Comme l’histoire de cette Française de 65 ans qui se suicide dans sa chambre d’hôtel en consommant une forte dose d’insecticide, après s’être fait dépouiller de tous ses biens par un jeune garçon. Ou comme celle de ces quatre Français condamnés de deux à dix ans de prison pour pédophilie.
    Selon le magazine L’Express, qui rapportait la nouvelle il y a quelques temps, l’un d’eux avait attiré une fillette de 10 ans, vendeuse de cacahuètes sur la plage de Saly, avec un billet de 1000 francs CFA (1,50 euro) et lui avait ensuite fait perdre sa virginité. Le phénomène a pris une telle ampleur qu’une ONG de lutte contre la pédophilie, Avenir de l’enfant, s’est créée en 2002 pour « briser l’omerta et faire se délier les langues ».


    Kampala, la délurée (Ouganda)


    Un peu comme pour oublier les stigmates de la guerre qui l’a longtemps miné, l’Ouganda a mis en place une politique touristique pour le moins agressive. Kampala, la capitale, est ainsi progressivement devenue une destination populaire. La ville accueille nombre de touristes, des Occidentaux pour la plupart, qui, la nuit tombée, prennent d’assaut les bars, discothèques et hôtels qui pullulent dans la ville.
    Beaucoup parmi eux viennent en Ouganda non pas pour les charmes du pays —qui croupit dans une pauvreté endémique (35% des Ougandais vivent en-dessous du seuil de pauvreté)—, mais plutôt pour les charmes des jeunes Ougandaises, le plus souvent à peine sorties de l’adolescence. Des statistiques estiment à plusieurs centaines de milliers le nombre de victimes du tourisme sexuel, dont une part considérable sont des enfants.
    A l’exception de l’est du territoire, l’Ouganda est un pays relativement sûr pour les touristes sexuels, qui n’hésitent pas à vanter Kampala comme LA destination incontournable. Ceux-ci ont d’ailleurs ouvert un blog où ils décrivent leurs « souvenirs de voyage » et échangent des informations sur le physique des Ougandaises, les lieux où les trouver, le prix à payer, ainsi que sur la meilleure façon de les appâter.
    Les plus aventureux osent même publier quelques photos montrant leurs rapports sexuels avec ces jeunes femmes. Un blog ouvert depuis 2004, sans que les auteurs soient vraiment inquiétés par les autorités. En 2009, le Parlement ougandais a pourtant adopté une loi criminalisant le tourisme sexuel et la pédophilie.

    Mombasa, l’effrontée (Kenya)

    La police a pris l’habitude depuis quelques temps d’effectuer des descentes le long de la côte à Mombasa, une ville portuaire située à 440 km au sud-est de Nairobi, la capitale du Kenya. A chaque intervention, les personnes interpelées se révèlent être des mineurs. Ici, les travailleuses du sexe sont en majorité des adolescentes. Des jeunes filles qui se lancent dans le commerce de leur corps pour fuir la pauvreté.
    Leur cible privilégiée ce sont les touristes, qui viennent principalement des Etats-Unis, de Suisse, de Suède, de Norvège ou d’Allemagne. Sur la plage de Mombasa, ces jeunes filles défilent sous le nez des wazungu (hommes blancs), qui n’ont alors que l’embarras du choix.
    Une de ces jeunes filles a récemment déclaré au magazine du Bureau de la Coordination des Affaires humanitaires des Nations unies, Irin News :
    « Ma mère est veuve et a perdu les deux mains quand elle travaillait dans une aciérie de Mombasa, ce qui me force à faire ce que je fais. »
    Avant d’ajouter tout de même que la plupart de ses clients préfèrent des relations sexuelles non protégées.
    Les autorités, aidées par des ONG, traquent les touristes sexuels, même s’il est encore difficile d’estimer l’ampleur du phénomène. Cependant, une étude conjointe du gouvernement kényan et du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) publiée en 2006 faisait savoir que jusqu’à 30% des adolescentes des villes côtières du Kenya se livrent au commerce du sexe. Et le Code de conduite pour la protection des enfants contre l’exploitation sexuelle dans l’industrie du voyage et du tourisme, adopté en 2004, semble toujours ne faire peur à personne. Ni aux pédotouristes, ni à leurs victimes.




    veni vidi vici .

  • #2
    Marrakech, la perverse (Maroc)


    Même avant la fameuse sortie de l’ancien ministre français Luc Ferry à la télévision, la ville de Marrakech au Maroc avait la réputation d’être un haut lieu du libertinage. Une ville où tout semble permis ; une ville dont l’image est, depuis longtemps, associée au tourisme sexuel et à la pédophilie.
    La ville ocre, comme on l’appelle, regorge en effet de tous les exotismes et de tous les plaisirs possibles. Les casinos du complexe hôtelier La Mamounia, les multiples boîtes de nuit branchées de Marrakech, ses riads et ses cabarets où l’on drague à tout-va. Chaque année, ils sont entre 600.000 et un million de touristes (dont une moitié de Français) à assiéger la ville, qui a opté pour un tourisme de luxe. Conséquence, elle accueille essentiellement une clientèle aisée. Le tourisme représente aujourd’hui 10% du PIB du Maroc.
    Les prostitués, hommes et femmes, ont bien vu la manne et ont eux aussi envahi Marrakech. Mais les touristes, en quête de chair plus fraîche, s’offrent les services de « rabatteurs » qui les accostent pour leur « livrer » des mineurs. Il y a quelques années, un reportage de la télévision française évoquait le cas de cette fillette de 8 ans qui avait été « livrée » pour environ 150 euros.
    Ce n’est plus un secret pour personne : à Marrakech, les enfants sont les doubles victimes du tourisme sexuel. Celles des fameux « rabatteurs » et celles des pédotouristes. Des associations se sont engagées dans la lutte contre ce fléau et ont forcé les autorités à agir. Même si, comme l’explique Najat Anwar de l’ONG Touche pas à mon enfant, les résultats sont encore peu satisfaisants :
    « Les procédures contre les étrangers restent très rares. Les autorités craignent de porter préjudice au tourisme en ternissant la réputation du pays. »


    Nosy Be, la pudique (Madagascar)


    L’accueil est chaleureux pour les touristes, le long du chemin qui va de l’aéroport à Ambatoloaka, la station balnéaire de Nosy Be, au nord-ouest de Madagascar. Chaleureux mais dissuasif, au vu des messages qui informent des lourdes peines prévues en cas d’« attentat à la pudeur » contre des mineurs. Traduisez : le tourisme sexuel est interdit sur la Grande Île et puni d’une amende de 2 à 10 millions d’ariarys (de 715 à 3.500 euros), assortie de 5 à 10 ans de prison.
    Mais la nuit tombée, la première destination touristique malgache se transforme en une véritable plaque tournante du commerce du sexe. Loin des plages de sable fin et des eaux luxuriantes de la mer, les pédotouristes, parmi les 400.000 visiteurs que Madagascar accueille chaque année, vont se fondre avec les habitants de Nosy Be. Une population de quelques 109.000 habitants, essentiellement constituée de jeunes et frappée par la pauvreté et le chômage. Acculés par la misère, ces jeunes ont entre 15 et 20 ans et affluent à Nosy Be pour « trouver » une Européenne ou un mari blanc.
    La prostitution s’est développée dans cette île située sur la côte mozambicaine depuis les premiers grands licenciements provoqués par les programmes d’ajustement structurel des années 90. Aujourd’hui, le chômage est massif et 76% de la population vit avec moins d’un dollar par jour, selon des chiffrés rapportés en avril 2011 par le journal Midi Madagascar. Les familles ont du mal à subvenir aux besoins des enfants, qui se retrouvent donc sur les plages à la merci des « prédateurs » occidentaux.


    Kribi, la libertine (Cameroun)


    Dès la tombée de la nuit et loin du tumulte des plages, le cœur de Kribi bat au Carrefour Kinguè. A ce croisement de rues, se sont installés les principaux bars et cabarets ainsi que les plus grands restaurants qui rythment les soirées de cette petite ville de 50.000 habitants, située sur la côte atlantique, à quelques 200 km au sud de Douala, la capitale économique du Cameroun.
    Cette petite station balnéaire, avec ses plages de sable fin doré, ses cocotiers, ses bungalows et ses coins sauvages, est un peu pompeusement appelée la « Côte d’Azur du Cameroun ». C’est ici que se déversent chaque année, surtout entre novembre et janvier, plusieurs centaines de milliers de touristes. Et pratiquement tous à la recherche de ce que Kribi offre de plus exotique en plus de son cadre paradisiaque : ses jolies filles et ses jeunes éphèbes.
    Cependant, malgré le pipeline entre le Tchad et le Cameroun qui traverse la ville, malgré les travaux d’agrandissement du vieil aéroport, malgré le projet de construction d’un port en eau profonde, le chômage est accablant et le tourisme sexuel a le vent en poupe.
    Ici, pour les touristes généralement en provenance de France ou des Etats-Unis, le bonheur ne coûte qu’une petite misère : 10.000 francs CFA (15 euros) pour un échange avec une jeune Kribienne —quand ils ne déboursent pas 60.000 francs CFA (90 euros) pour faire venir un mineur dans leur chambre, avec la complicité des vigiles des hôtels. Ces chiffres ont été rapportés il y a quelques temps par le journal camerounais Le Messager.


    Pour l’heure, les autorités ferment les yeux et préfèrent parler de simple prostitution. Même si elles ont fait adopter en 2007 une charte contre le tourisme sexuel, signée par tous les acteurs de la filière touristique. Et c’est l’écrivain Amély James Koh-Bela, grande militante pour les droits des femmes et la protection des mineurs, qui décrit bien le problème du tourisme sexuel au Cameroun, dans son ouvrage Mon combat contre la prostitution :
    « Des jeunes filles postées aux abords des grands hôtels et restaurants fréquentés par les Européens, des femmes quinquagénaires qui déferlent à Kribi pour trouver des petits jeunes ou des enfants livrés comme des colis dans la chambre d’étrangers avec la complicité du personnel hôtelier. »


    Hammamet, l’opulente (Tunisie)


    Tous ceux qui ont eu l’occasion de visiter la ville s’accordent à le dire : avec sa médina, sa marina, sa plage, son parc animalier, et ses centaines d’hôtels, Hammamet est une vraie usine à touristes.
    Très fréquentée l’été par une clientèle venant majoritairement d’Europe de l’Est, la station attire forcément par le charme luxuriant de ses plages, son cosmopolitisme et l’exubérance des soirées qu’elle propose, le plus souvent animées par les meilleurs DJ. Située à une soixantaine de kilomètres au sud de Tunis, la capitale, c’est l’une des principales stations balnéaires de la Tunisie.
    Hammamet, c’est aussi ces cabarets surchauffés où les étrangers peuvent venir admirer les danseuses du ventre. Mais la ville est surtout une destination réputée pour être un véritable lieu de débauche. Partout, on peut croiser des prostituées qui semblent n’avoir aucun mal à offrir leurs charmes à des touristes. Et sur les plages, de très jeunes gens tiennent compagnie à des vieux messieurs souvent bedonnants ou à des femmes d’un âge assez avancé. On peut les voir aussi dans certains restaurants huppés de la ville, quand ils ne les accompagnent pas tout simplement sur les petites plages privées naturistes que compte Hammamet.
    En Afrique du Nord, la station balnéaire est devenue, depuis plusieurs années, une destination de choix pour les touristes sexuels. Le soleil, la douceur du climat et surtout l’assurance de mettre la main sur des proies faciles, les encourage à revenir parfois plusieurs fois par an. Pourtant, il continue de régner comme une sorte d’omerta sur la question. Tout le monde est au courant, mais presque personne n’en parle. Ni les autorités, ni les populations locales.

    Slate Afrique
    Dernière modification par Zirds, 17 juillet 2012, 06h58.
    veni vidi vici .

    Commentaire


    • #3
      Zirds trificote le Thread!

      Et la source? Le posteur zrids a même traficoté le thread et d'effacer l'Afrique du Sud! Deviner pourquoi?



      Cape Town, l’homosexuelle (Afrique du Sud)

      Personne, dans la ville du Cap, ne s’en cache. Ni ceux qui débarquent d’avion avec leur bermuda au ras des cuisses, ni les autorités qui font tout pour faciliter l’entrée aux visiteurs. Ici, le touriste vient, bien sûr, découvrir les charmes de la nature et la beauté du paysage. Mais certains viennent, aussi, goûter aux plaisirs de la chair, masculine de préférence.
      La plupart des guides touristiques vous l’indiqueront, Le Cap est une destination privilégiée pour les homosexuels, dans un continent où l’affaire est encore considérablement taboue. Et il faut dire que les ingrédients sont réunis: une nature luxuriante, un climat méditerranéen, une forte population gay locale (et souvent très jeune), et une législation qui n’interdit plus l’homosexualité depuis la nouvelle Constitution de 1996 qui a suivi la fin de l’apartheid.
      De fait, aujourd’hui, n’importe quel gay un peu branché vivant en Occident, vous dira que San Francisco, Miami, Sydney, Berlin ou Amsterdam ne font plus tellement rêver. L’exotisme se trouve au en Afrique du Sud. Bilan, sur les 1,5 million de touristes qui affluent chaque année dans la ville, 15% sont homosexuels, fait savoir le Cape Town Tourism.
      Ce qui les attire, ce sont les corps musculeux des «locaux», comme les appellent tous ceux qui débarquent. Lesquels locaux donnent d’ailleurs toutes ses couleurs au quartier gai du Cap. Mais en réalité, les gays sont partout dans la ville, et l’inévitable prostitution qui va avec. A tel point que, dans son Rapport mondial sur l’exploitation sexuelle, la Fondation Scelles (qui lutte depuis 1993 contre la prostitution et le proxénétisme) a placé Le Cap dans sa liste des endroits à surveiller de près.
      Mais ce sont les possibilités de faire du naturismedans la ville, et donc en Afrique, qui font fantasmer les visiteurs. Beaucoup aussi, viennent tenter de voir, mais sans trop s’aventurer dans les profondeurs du continent «si l'homosexualité en Afrique noire est un mythe ou une réalité», comme le fait observer le sociologue Charles Gueboguo, spécialiste de la question homosexuelle en Afrique.
      Il ne faut jamais lancer de pierre quand on habite une maison de verre et avant de guigner chez les voisins, il vaut mieux voir ce qui se passe chez soi!

      8000 maisons closes clandestines à Alger selon l'avocate Ben Brahem
      C'est ce qu'a révélé l'avocate Ben Brahem au premier séminaire organisé à Timimoun et ayant pour théme "la sexologie et la santé" . Cette prostitution clandestine existe surtout dans les bidonvilles.

      " Premier séminaire sur la santé et la sexologie
      L’avocate BenBraham demande la creation d’une loi incriminant la prostitution

      L’avocate Fatma BenBraham a demandé l’activation du rôle de la police des moeurs, et lui fournir toutes les prérogatives pour réguler les pratiques qu’elle a appelée « prostitution clandestine» que la capitale, à elle seule, en a enregistré plus de 8 milles maisons, indiquant l’absence du rôle de l’appareil securitaire pour protéger la société de la dégradation morale, en l’absence d’un texte juridique incriminant la prostitution.
      BenBraham a affirmé que la loi algérienne puisée de la loi française se contredit avec le principe « l’islam religion de l’état », stipulée par la constitution, considérant que la loi algérienne ne s’appuie sur aucun article juridique incriminant la prostitution entre les adultes, et incrimine seulement l’utilisation des enfants dans le commerce du sexe.
      Dans son intervention lors du premier séminaire national sur la santé et la sexologie, tenue à Timimoun, Ben Braham a indiqué que « les maisons clandestines de prostitution sont plus dangereuses que les maisons de prostitution contrôlées », et elle a affirmé que ces dernières existent réellement avec l’autorisation délivrée par les autorités wilayales et par la police.
      L’Oratrice a indiqué que plusieurs quartiers de la capitale sont transformés en lieux pour la prostitution » à commencer par les bidonvilles jusqu’aux villas luxueuses sises à Club des pins »."

      Commentaire


      • #4
        Et la source?
        c'est écrit en haut

        Le posteur zrids a même traficoté le thread et d'effacer l'Afrique du Sud!
        pas du tout
        j'ai juste sauter une ligne vu que je ne pouvait pas dépasser une certaine limite de mots, mais merci de l'avoir signaler
        Deviner pourquoi?
        arrête d’être suspicieux, et commente plutôt l'article
        la politique de l'autruche ne marche pas éternellement

        marrakech la perverse, un commentaire ?

        Il ne faut jamais lancer de pierre quand on habite une maison de verre et avant de guigner chez les voisins, il vaut mieux voir ce qui se passe chez soi!
        HS, ça n'a rie n'a voir avec le sujet
        en ce qui s'agit de perversion, je convient volontiers que le maroc est à des années lumières de l’Algérie

        commente l'article .................

        la ville de Marrakech au Maroc avait la réputation d’être un haut lieu du libertinage. Une ville où tout semble permis ; une ville dont l’image est, depuis longtemps, associée au tourisme sexuel et à la pédophilie
        veni vidi vici .

        Commentaire


        • #5
          Pas le temps à perdre avec un gamin!

          Commentaire


          • #6
            Pas le temps à perdre avec un gamin!
            j'en déduit que tu approuve ce que dit l'article
            au revoir le grand
            veni vidi vici .

            Commentaire


            • #7
              effectivement , t'es un gamin Zirds , franchement je t'en veux pas de poster un article rien que pour direqu'il y a de la prostitution au maroc ...... mais aller jusqu'à tronquer les publications pour aprés donner l'esxcuse foireuse du nombre de mots par posts alors que toi meme , t'a scindé en deux ....... c'est le summum dial TBARHICHE ........et TAHIMARITE.
              " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

              Commentaire


              • #8
                mais aller jusqu'à tronquer les publications pour aprés donner l'esxcuse foireuse du nombre de mots par posts alors que toi meme , t'a scindé en deux
                effectivement j'ai scinder en deux pour le nombre de mot limités et j'ai sauter cape town, appelle ça excuse foireuse je m'en tape complétement, cape town c'est pas ma ville et l’Afrique du sud ce n'est pas mon pays

                maintenant commentez l'article, et arrêtez de faire du HS
                veni vidi vici .

                Commentaire


                • #9
                  effectivement j'ai scinder en deux pour le nombre de mot limités et j'ai sauter cape town,
                  c'est bien , tu le reconnais .

                  maintenant , il te manque de présenter des excuses pour cet impair , et on pourra débattre en toute sérénité

                  appelle ça excuse foireuse je m'en tape complétement, cape town c'est pas ma ville et l’Afrique du sud ce n'est pas mon pays
                  ni le maroc , ni le cameroun , ni la gambie , ni le sénégal , dailleurs ........
                  " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                  Commentaire


                  • #10
                    c'est bien , tu le reconnais
                    je l'ai reconnu 4 réponses plus haut
                    si tu n'était pas obsédé par les conspirations, tu l'aurai remarquer

                    et on pourra débattre en toute sérénité
                    vous n'avez pas besoin de débattre

                    ni le maroc , ni le cameroun , ni la gambie , ni le sénégal , dailleurs ........
                    bien remarqué ! tu n'est pas aussi idiot que tu le prétend en fin de compte

                    maintenant, arrêtons les HS voulez vous
                    veni vidi vici .

                    Commentaire


                    • #11
                      C'est un sujet à polémique ...

                      J'ai visité plus de 35 pays dans le monde dans le cadre de mon travail...
                      J'ai constaté que la prostitution existe partout, dans les pays du Golfe, en France, en Egypte, en Afrique sub saharienne, en Amérique du nord ...

                      Tand qu'il y a des femmes qui ont besoin de l'argent, et tant que la religion/morale n'est pas très ancré dans leurs personnalités, elles vont recourir au plus vieux métier du monde.

                      Ces conditions là sont satisfaites dans tous les pays du monde,
                      Seul le mode opératoire peut différer, Prostitution Affichée ou Prostitution en Cachette


                      A propos du Maghreb, la prostitution a touché les 5 pays, La Libye que je considère le pays le plus conservateur est également touchée, mais en cachette ...

                      Au pays du golfe, la prostitution ne se fais pas pour l'argent uniquement, mais lorsque une jeune fille âgé de 20 ans se marie avec un vieux de 70 ans, et elle n'accepte pas très bien son sort elle va surement se prostituer...

                      Il ne faut pas se voiler la face, il faut voir les réalités telle quelles sont.

                      Commentaire


                      • #12
                        J'ai constaté que la prostitution existe partout
                        biensur
                        mais chaque pays avec des proportions différente
                        il y a des pays ou la prostitution touche 30% des moins de 14 ans, et d'autre non .
                        veni vidi vici .

                        Commentaire


                        • #13
                          biensur
                          mais chaque pays avec des proportions différente
                          il y a des pays ou la prostitution touche 30% des moins de 14 ans, et d'autre non
                          Otleb Ellotef,

                          On doit combattre la misère pour donner aux autres la dignité qu'ils/qu'elles méritent.

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                          • #14
                            Franchement ceux qui connaissent Abidjan vous le diront :


                            ABIDJAN N° 1, est de trés trés loin.

                            On ne peut pas comparer Abidjan avec n'importe quelle ville en Afrique.

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                            • #15
                              Et la source? Le posteur zrids a même traficoté le thread et d'effacer l'Afrique du Sud! Deviner pourquoi?
                              Morad
                              Car l'Afrique du Sud ( pays du Sida par excellence)est l'amie de l’Algérie et le Maroc en est l'ennemi mais avec Zirds on en est pas à une gaminerie près.

                              Son but n'est nullement de discuter
                              du problème qui aurait concerné aussi l’Algérie si elle avait un vocation touristique comme le précise si honnêtement Carthage en tant que citoyen d'un pays ( Tunisie) vivant en grande partie du tourisme comme le Maroc..

                              Pour faire plaisir à des envieux (soit disant nifistes) du genre Zirds , on devrait jeter le bébé avec l'eau du bain et mettre au chômage des milliers de familles qui vivent honnêtement du tourisme ..
                              biensur
                              mais chaque pays avec des proportions différente
                              il y a des pays ou la prostitution touche 30% des moins de 14 ans, et d'autre non . Zirds
                              Même si ça touche un pour cent et qu'elle est locale ( comme chez toi) , elle doit être dénoncée au lieu de faire des quotas stupides rien que pour insulter le voisin.
                              Kbarre chwya ya akhi !!

                              Dernière modification par Serpico, 17 juillet 2012, 11h06.

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