Le président indonésien Susilo Bambang Yudhoyono a déclaré que la crise au Moyen-Orient, qui a entraîné une flambée des cours mondiaux du pétrole, pourrait contribuer à aggraver la pauvreté mondiale, a rapporté mercredi le quotidien local Jakarta Post.
"Il ne faut pas laisser une guerre éclater au Moyen-Orient, car cela risquerait de provoquer la fermeture du détroit de Hormuz. La situation actuelle dans la région est déjà suffisamment grave pour faire monter les prix de pétrole, une flambée dont les conséquences sont lourdes pour toutes les nations du monde, dont l'Indonésie", a indiqué mardi M. Yudhoyono lors d'une réunion avec le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon.
"J'espère que l'Iran et les pays développés comme les Etats-Unis et l'UE prendront les autres pays en considération. Les effets de la crise affecteront inévitablement de nombreux autres secteurs, et contribueront à aggraver la pauvreté globale", a-t-il déclaré.
La crise dans le détroit de Hormuz a continué à s'intensifier, l'Iran ayant suspendu la livraison de brut aux compagnies britanniques et françaises. Cette suspension semble être une mesure de représailles, suite aux sanctions imposées par l'UE sur les exportations pétroliennes iraniennes en raison de son programme nucléaire.
Source: Xinhua
"Il ne faut pas laisser une guerre éclater au Moyen-Orient, car cela risquerait de provoquer la fermeture du détroit de Hormuz. La situation actuelle dans la région est déjà suffisamment grave pour faire monter les prix de pétrole, une flambée dont les conséquences sont lourdes pour toutes les nations du monde, dont l'Indonésie", a indiqué mardi M. Yudhoyono lors d'une réunion avec le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon.
"J'espère que l'Iran et les pays développés comme les Etats-Unis et l'UE prendront les autres pays en considération. Les effets de la crise affecteront inévitablement de nombreux autres secteurs, et contribueront à aggraver la pauvreté globale", a-t-il déclaré.
La crise dans le détroit de Hormuz a continué à s'intensifier, l'Iran ayant suspendu la livraison de brut aux compagnies britanniques et françaises. Cette suspension semble être une mesure de représailles, suite aux sanctions imposées par l'UE sur les exportations pétroliennes iraniennes en raison de son programme nucléaire.
Source: Xinhua