La criminalité désigne les actes illégaux, délits, délinquance, banditisme – commis par un individu ou un groupe particulier sur un territoire. Elle doit attirer l’attention et interpeller les pouvoirs publics quand il y a évolution dans sa fréquence, sa nature et ses causes, mais surtout quand elle prend la forme « terroriste ». Dans ce cas, elle devient alors un autre acte car, les buts et les moyens sont différents.
Le terrorisme est désigné comme l’usage de la violence ou de la menace, par des groupes, ou organisations, afin de semer l’effroi au sein de la population pour affaiblir un pouvoir en place ou déstabiliser un État dans le but de susciter les changements politiques ou de le renverser. Cette violence consiste surtout en des attentats, assassinats et sabotages.
De nos jours, avec les bouleversements dans le monde –par ses crises multiformes, économiques et morales - le terrorisme est devenu aussi bien une arme politique pour disqualifier l’adversaire qu’un instrument de guerre pour susciter le chaos dans les pays à dominer.
On se sert désormais de groupes, composer de préférences d’autochtones corrompus et endoctrinés, que l’on entraine, arme, finance, encadre, pour aller susciter chez eux des révoltes au nom de la population. La tactique consiste en des manifestations réclamant des droits légitimes, des changements dans le mode de gouvernance pour ensuite les détourner en volonté populaire de faire chuter un « pouvoir dictatorial » avec usage d’armes contre les civiles que l’on imputera au « régime ». Il suffit alors de les soutenir politiquement et médiatique sous divers prétextes humanitaires admis afin d’emmener l’opinion à soutenir le caractère pacifique et légitime de leurs actions tout en s’employant à faire admettre la nécessité d’une intervention militaire internationale.
Le monde sait maintenant qu’il s’agit de tactiques trompeuses des États hégémonistes visant à briser toute résistance à leurs projets de domination. Un comportement adopté suite à l’effondrement du système financier spéculatif, instrument de spoliation et d’appauvrissement des peuples du Grand Capital. Ce dernier n’ayant pas pu venir à bout de ses crises récurrentes et sauvages n’a pas trouvé mieux, comme moyen de s’en sortir, que de faire payer les autres.
Ce terrorisme sous cette forme violente est apparu d’abord en Algérie après l’introduction d’un parti religieux dans la course politique. Ce parti ayant foulé du pied toutes les règles démocratiques par son financement douteux et ses actions illégales pour accaparer le pouvoir – en utilisant les mosquées, les places publiques, les écoles, en intimidant les gens, en truquant massivement les urnes tout en annonçant se défaire des principes démocratiques une fois au pouvoir par son fameux slogan « démocratie hérésie » - la société civile et les personnalités politiques diverses forcent les décideurs à arrêter le processus électoral lorsqu’il devenait évident qu’il s’agissait d’un mouvement violent opportuniste qui ne cherchait que le pouvoir suivant un agenda extérieur au regard des ingérences arabes et françaises. Au même moment des groupes armés surgissent contre le pouvoir et ses représentants pour toucher toutes les couches de la population.
Cette période baptisée « décennie noire » où elle a atteint son summum d’horreur fait de sang, de feu et de destruction – qu’aucune morale ne peut justifier – a laissé de graves traumatismes dans la société tout en engendrant un exode massif, surtout de ruraux, fuyant la terreur pour un endroit plus sécurisé. Une situation sociale particulièrement grave qui a mis en danger les fondements même de l’État.
Le résultat de cette lutte s’est soldé par des dizaines de milliers de morts –dont des cadres, des intellectuels, des médecins, des journalistes, des enseignants, des femmes, des enfants, des vieillards - des destructions des infrastructures économiques, sociales et éducatives , une désorganisation des structures sociales, un pervertissement de certaines valeurs , des traumatismes graves ; en somme tous les facteurs qui favorisent la criminalité, amoindrissent la qualité de vie, retarde le développement durable.
Malgré toutes les réformes politiques, économiques et sociales souvent profondes, il persiste encore des résidus, des crimes - analysés comme relents ou rémanences de ces événements sanglants passés - qui surgissent de temps à autres comme pour nous rappeler notre devoir de vigilance et de persévérance.
Par cet exemple sur l’Algérie, nous voulons montrer les séquelles d’une période d’effrois et d’égarements qu’a traversé un pays confronté au terrorisme. Un pays qui a souffert, certes, mais qui a acquis une grande expérience riche en enseignements divers – dans les techniques de lutte contre le terrorisme et la subversion, contre la propagande ; les moyens d’y faire face et de les prévenir – qui ont permis de reconstruire une société nouvelle sur d’autres bases avec d’autres règles, d’autres principes.
On comprendra que les pays confrontés aux terrorismes ou aux crimes organisés de cette ampleur et de cette nature ne sont, en fait, que des objets /victimes de complots visant leur déstabilisation dans un but hégémonique. On comprendra aussi que dans les relations internationales, les conflits, les révoltes, les crises, les alliances, les groupements, les organisations, les unions etc. rien n’est fortuit ou gratuit. Tout obéit à des intérêts matériels plus qu’à des valeurs humanitaires.
Tous les analystes et observateurs s’accordent sur le fait que c’est bien lorsque l’Islam authentique - celui qui a guidé notre vie depuis des siècles, celui qui a permis de mettre en échec les puissances colonialistes – a cédé la place à l’Islam ‘militant’ pour la prise du pouvoir par la force, que la religion est devenue facteur de discorde, de division et de désordre alors que l’objectif d’une religion est d’apprendre aux gens à vivre pacifiquement et à s’entraider, quelles que soient leur race, leurs croyances, leur pays.
Il résulte une déchéance altérant les principes moraux, poussant les détracteurs de l’Islam à mettre en cause la religion même alors que « la violence n’est le credo d’aucune religion » selon de R. Rolland. On se sert désormais de l’Islam pour justifier, en son nom, tous les excès et tous les combats. C’est bien cette période que l’Algérie a vécue, durant plus d’une décennie et que traversent dans l’incertitude, présentement, à tour de rôle, plusieurs pays arabes. Ce qui renseigne et prouve que les choses ne sont pas fortuites, mais faisant partie de plans laborieux ourdis par les « officines spéciales » américano-sionistes visant à quadriller le monde, en priorité le monde arabe riche en matière première, pour mieux dominer et se servir. Ces plans consistent en des opérations psychologiques ou militaires contre tout État présentant un obstacle à leur projet. Les opérations psychologiques ou « Psyop » tiennent une place primordiale dans cette offensive.
Selon un document du Département américain de la Défense ce sont des « opérations prévues pour transmettre des informations sélectionnées et des indicateurs à des auditoires étrangers pour influencer leurs émotions, leurs motivations, le raisonnement objectif et, ultimement, le comportement des gouvernements étrangers, organisations, groupes et individus. Le but … est d’induire ou de renforcer les attitudes et les comportements favorables étrangers aux objectifs de l’initiateur. »
L’Occident - avec ses lobbies militaro-industriels et financiers, ses stratégies funestes et son arrogance - est bien à l’origine des désordres qui consistent à créer le chaos, qu’il dit « constructif », en suscitant ou récupérant les révoltes, dans les contrées « utiles » pour mieux, ensuite, recomposer selon ses desiderata. Il va jusqu’à prendre comme auxiliaires ses « ennemies » d’hier, dont les terroristes et les organisations islamistes, qu’il dit combattre. Des « islamistes » et « opposants » qui résident, comme par hasard, surtout en Angleterre, aux États-Unis ou au Qatar que l’on choisit et actionne pour renverser les régimes indociles à leurs thèses et que l’on installe « légitimes » une fois le travail accompli. « A quelques-uns l’arrogance tient lieu de grandeur ; l’inhumanité de fermeté ; et la fourberie, d’esprit » (Jean de La Bruyère).
Ces stratégies hégémoniques, pensées et tracées depuis plusieurs années, n’attendaient que les alibis et les occasions pour passer à l’exécution. Il fallait aussi, pour réussir, préparer le terrain « idéologique » en trouvant le moyen le plus sûr et incontestable d’emmener les peuples à accepter leurs vues et objectifs.
Pour y arriver il fallait abrutir les peuples, des États visés, en influençant leurs comportements pour les rendre prédisposés à obéir ou se faire enrôler, pour n’importe quelle action, le moment propice. Sont visés par ces stratégies, en fait, tous les États considérés comme progressistes, anticolonialistes, anti sionistes et anti impérialistes ; ceux qui n’entre pas dans la doxa occidentale.
Le terrorisme est désigné comme l’usage de la violence ou de la menace, par des groupes, ou organisations, afin de semer l’effroi au sein de la population pour affaiblir un pouvoir en place ou déstabiliser un État dans le but de susciter les changements politiques ou de le renverser. Cette violence consiste surtout en des attentats, assassinats et sabotages.
De nos jours, avec les bouleversements dans le monde –par ses crises multiformes, économiques et morales - le terrorisme est devenu aussi bien une arme politique pour disqualifier l’adversaire qu’un instrument de guerre pour susciter le chaos dans les pays à dominer.
On se sert désormais de groupes, composer de préférences d’autochtones corrompus et endoctrinés, que l’on entraine, arme, finance, encadre, pour aller susciter chez eux des révoltes au nom de la population. La tactique consiste en des manifestations réclamant des droits légitimes, des changements dans le mode de gouvernance pour ensuite les détourner en volonté populaire de faire chuter un « pouvoir dictatorial » avec usage d’armes contre les civiles que l’on imputera au « régime ». Il suffit alors de les soutenir politiquement et médiatique sous divers prétextes humanitaires admis afin d’emmener l’opinion à soutenir le caractère pacifique et légitime de leurs actions tout en s’employant à faire admettre la nécessité d’une intervention militaire internationale.
Le monde sait maintenant qu’il s’agit de tactiques trompeuses des États hégémonistes visant à briser toute résistance à leurs projets de domination. Un comportement adopté suite à l’effondrement du système financier spéculatif, instrument de spoliation et d’appauvrissement des peuples du Grand Capital. Ce dernier n’ayant pas pu venir à bout de ses crises récurrentes et sauvages n’a pas trouvé mieux, comme moyen de s’en sortir, que de faire payer les autres.
Ce terrorisme sous cette forme violente est apparu d’abord en Algérie après l’introduction d’un parti religieux dans la course politique. Ce parti ayant foulé du pied toutes les règles démocratiques par son financement douteux et ses actions illégales pour accaparer le pouvoir – en utilisant les mosquées, les places publiques, les écoles, en intimidant les gens, en truquant massivement les urnes tout en annonçant se défaire des principes démocratiques une fois au pouvoir par son fameux slogan « démocratie hérésie » - la société civile et les personnalités politiques diverses forcent les décideurs à arrêter le processus électoral lorsqu’il devenait évident qu’il s’agissait d’un mouvement violent opportuniste qui ne cherchait que le pouvoir suivant un agenda extérieur au regard des ingérences arabes et françaises. Au même moment des groupes armés surgissent contre le pouvoir et ses représentants pour toucher toutes les couches de la population.
Cette période baptisée « décennie noire » où elle a atteint son summum d’horreur fait de sang, de feu et de destruction – qu’aucune morale ne peut justifier – a laissé de graves traumatismes dans la société tout en engendrant un exode massif, surtout de ruraux, fuyant la terreur pour un endroit plus sécurisé. Une situation sociale particulièrement grave qui a mis en danger les fondements même de l’État.
Le résultat de cette lutte s’est soldé par des dizaines de milliers de morts –dont des cadres, des intellectuels, des médecins, des journalistes, des enseignants, des femmes, des enfants, des vieillards - des destructions des infrastructures économiques, sociales et éducatives , une désorganisation des structures sociales, un pervertissement de certaines valeurs , des traumatismes graves ; en somme tous les facteurs qui favorisent la criminalité, amoindrissent la qualité de vie, retarde le développement durable.
Malgré toutes les réformes politiques, économiques et sociales souvent profondes, il persiste encore des résidus, des crimes - analysés comme relents ou rémanences de ces événements sanglants passés - qui surgissent de temps à autres comme pour nous rappeler notre devoir de vigilance et de persévérance.
Par cet exemple sur l’Algérie, nous voulons montrer les séquelles d’une période d’effrois et d’égarements qu’a traversé un pays confronté au terrorisme. Un pays qui a souffert, certes, mais qui a acquis une grande expérience riche en enseignements divers – dans les techniques de lutte contre le terrorisme et la subversion, contre la propagande ; les moyens d’y faire face et de les prévenir – qui ont permis de reconstruire une société nouvelle sur d’autres bases avec d’autres règles, d’autres principes.
On comprendra que les pays confrontés aux terrorismes ou aux crimes organisés de cette ampleur et de cette nature ne sont, en fait, que des objets /victimes de complots visant leur déstabilisation dans un but hégémonique. On comprendra aussi que dans les relations internationales, les conflits, les révoltes, les crises, les alliances, les groupements, les organisations, les unions etc. rien n’est fortuit ou gratuit. Tout obéit à des intérêts matériels plus qu’à des valeurs humanitaires.
Tous les analystes et observateurs s’accordent sur le fait que c’est bien lorsque l’Islam authentique - celui qui a guidé notre vie depuis des siècles, celui qui a permis de mettre en échec les puissances colonialistes – a cédé la place à l’Islam ‘militant’ pour la prise du pouvoir par la force, que la religion est devenue facteur de discorde, de division et de désordre alors que l’objectif d’une religion est d’apprendre aux gens à vivre pacifiquement et à s’entraider, quelles que soient leur race, leurs croyances, leur pays.
Il résulte une déchéance altérant les principes moraux, poussant les détracteurs de l’Islam à mettre en cause la religion même alors que « la violence n’est le credo d’aucune religion » selon de R. Rolland. On se sert désormais de l’Islam pour justifier, en son nom, tous les excès et tous les combats. C’est bien cette période que l’Algérie a vécue, durant plus d’une décennie et que traversent dans l’incertitude, présentement, à tour de rôle, plusieurs pays arabes. Ce qui renseigne et prouve que les choses ne sont pas fortuites, mais faisant partie de plans laborieux ourdis par les « officines spéciales » américano-sionistes visant à quadriller le monde, en priorité le monde arabe riche en matière première, pour mieux dominer et se servir. Ces plans consistent en des opérations psychologiques ou militaires contre tout État présentant un obstacle à leur projet. Les opérations psychologiques ou « Psyop » tiennent une place primordiale dans cette offensive.
Selon un document du Département américain de la Défense ce sont des « opérations prévues pour transmettre des informations sélectionnées et des indicateurs à des auditoires étrangers pour influencer leurs émotions, leurs motivations, le raisonnement objectif et, ultimement, le comportement des gouvernements étrangers, organisations, groupes et individus. Le but … est d’induire ou de renforcer les attitudes et les comportements favorables étrangers aux objectifs de l’initiateur. »
L’Occident - avec ses lobbies militaro-industriels et financiers, ses stratégies funestes et son arrogance - est bien à l’origine des désordres qui consistent à créer le chaos, qu’il dit « constructif », en suscitant ou récupérant les révoltes, dans les contrées « utiles » pour mieux, ensuite, recomposer selon ses desiderata. Il va jusqu’à prendre comme auxiliaires ses « ennemies » d’hier, dont les terroristes et les organisations islamistes, qu’il dit combattre. Des « islamistes » et « opposants » qui résident, comme par hasard, surtout en Angleterre, aux États-Unis ou au Qatar que l’on choisit et actionne pour renverser les régimes indociles à leurs thèses et que l’on installe « légitimes » une fois le travail accompli. « A quelques-uns l’arrogance tient lieu de grandeur ; l’inhumanité de fermeté ; et la fourberie, d’esprit » (Jean de La Bruyère).
Ces stratégies hégémoniques, pensées et tracées depuis plusieurs années, n’attendaient que les alibis et les occasions pour passer à l’exécution. Il fallait aussi, pour réussir, préparer le terrain « idéologique » en trouvant le moyen le plus sûr et incontestable d’emmener les peuples à accepter leurs vues et objectifs.
Pour y arriver il fallait abrutir les peuples, des États visés, en influençant leurs comportements pour les rendre prédisposés à obéir ou se faire enrôler, pour n’importe quelle action, le moment propice. Sont visés par ces stratégies, en fait, tous les États considérés comme progressistes, anticolonialistes, anti sionistes et anti impérialistes ; ceux qui n’entre pas dans la doxa occidentale.
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