L'armée iranienne: puissance ou tigre de papier ?

[rachid75]

mais si vraiment l'Iran posséde l'arme Nucléaire

comme l'Irak avait des armes surpuissantes chimiques..

Soit tu es fort et on te respecte, soit tu es faible et tu la ferme, c'est le nouvel ordre mondial.

[kaiser]

non ...on te respecte si tu es respectable...

ça j y crois pas

[kaiser]

les exemples d'irrespectueux mais respectés sont legion, hassan 2 , ben ali , moubarak etc..

[kaiser]

c'est pas dans ce sens..que je concoit la respectabilité..

Si un pays est respectable il ne sera jamais inquiété..en principe

dans l absolu oui , mais dans le contexte du sujet abordé ici non

[kaiser]

je parle des etats ,puisqu il s agit d iran qui , a mon sens , est plus respectable qu israel pourtant cette derniere est respectée (crainte) contrairement a l iran

[kems]

Toujoujours les mêmes agresseurs

[Anis25]

Je rêverais de voir un jour un gigantesque état-union entre les pays arabes/musulmans (un peu comme l'urss) effacer une fois pour toute USrael de la carte....

Sinon, vous parler de pays respectable, pour vous l'iran est pas pays non respectable ? A ce que je sache, depuis des millénaires l'Iran n'a attaquer aucun pays, il se défend uniquement quand il est attaqué, certes, peut être, avec des moyens moins importants que usrael, mais au moins il attaque avec le nif, y a que ça qui fait la différence. et contrairement à israel qui a volé la terre des Palestiniens, contrairement au USA, contrairement à l'occident en général, l'iran est de très loin un pays respectable sur TOUT les niveaux.
de quel droit l'occident doit avoir l'arme nucléaire et pas l'iran ? Moi j'dis soit tout le monde a cette arme, soit personne ne la, point final.

[Focus]

Soit tu es fort et on te respecte, soit tu es faible et tu la ferme, c'est le nouvel ordre mondial.

C'est pas si nouveau que ca, ca a toujours ete le cas tout au long de l'histoire, les plus fort imposent leur visions sur les faibles, sinon ils risquent de se faire tout simplement degommer.

[Adama]

aniasse à 11h29 le 9/11/11

à mon sens...non ...mais c'est pas l'Iran et les Irannien.proprement dit...mais le charlot qui est a sa tête

Je crois que c’est plutôt « les » charlots. Ils sont toujours bien meilleurs lorsqu’ils sont plusieurs. Ah, tout ce pouvoir, ces dizaines de millions de gens qui vous idolâtre littéralement (Chiisme). Tout ce gaz, ce pétrole, autant d’argent. C’est tellement grisant…


Traduction approximative pour non Anglophone issue de l’article original intitulé : « Ahmadinejad : Iran’s Last President ? »

Ahmadinejad : Le dernier président Iranien ?

24 octobre 2011

Le chef suprême iranien a laissé entendre que la présidence du pays pourrait être éliminée. C'est un avertissement clair à Mahmoud Ahmadinejad.

Le message de l'homme le plus puissant de l'Iran était clair: le poste de président pourrait être supprimé dans le futur. Si cela se produisait, le système parlementaire pourrait plutôt être utilisé pour élire des fonctionnaires détenant le pouvoir exécutif. «Il n'y aurait pas de problème dans la modification de la structure actuelle», a déclaré le guide suprême iranien Ali Khamenei dans un discours prononcé dans la ville de Kermanshah, le dimanche.

Ce que nous avons ici est une lutte entre Khamenei et le président Mahmoud Ahmadinejad sur leurs héritages respectifs. Et Khamenei prend cette affaire tellement au sérieux qu'il a menacé de retirer tout à fait la position même de la présidence. Pour l'instant, ce n'est qu'une menace. Mais c'est celui qui ne peut être ignorée, notamment par Ahmadinejad.

Ahmadinejad n'est pas éligible à l'élection présidentielle à nouveau lorsque son mandat expire en Juin 2013, comme la Constitution de l'Iran est claire qu'un président peut être élu que pendant deux mandats consécutifs. Afin de garantir son héritage, Ahmadinejad semble être le soutien de son bras droit Esfandiar Rahim Mashaei comme candidat présidentiel. Ahmadinejad espère probablement qu'avec Mashaei en tant que président, il sera en mesure de conserver un poste ministériel puissants - pensez une tournure iranien sur ce que Vladimir Poutine a fait au sein du gouvernement Dmitri Medvedev. Lorsque Mashaei termine son mandat de quatre ans, Ahmadinejad serait alors en mesure d'utiliser son profil vraisemblablement élevés dans le gouvernement Meshai en tant que plateforme pour développer une offre renouvelée pour la présidence.


Cette préoccupation de Khamenei est à juste titre.

Mashaei est un personnage extrêmement discordant. Beaucoup de conservateurs le méprisent. Pour certains, c'est parce que des rapports qu'il a épousé un ancien membre de l'opposition Moudjahidine-e-Khalq (MEK), dont il était interrogateur au début des années 1980, ainsi que les rapports que son frère a également été membre de la même organisation. D'autres, cependant, sont furieux qu'il a déclaré publiquement que le peuple d'Iran n'ont aucun problème avec le peuple d'Israël.

La jalousie est un autre facteur. Peu de temps après la fille a épousé le fils Meshai Ahmadinejad, sa carrière politique a commencé à décoller. Autre fois il était un politicien pratiquement inconnu, ces jours-ci Mashaei est considéré comme l'homme d'Ahmadinejad sa main droite (certains ont même spéculé que c'est Mashaei qui détient le véritable pouvoir dans le gouvernement d'Ahmadinejad).

Mais l'animosité ressentie envers Mashaei ne se limite pas pas aux politiciens- même Davood frère d'Ahmadinejad a été jusqu’à l'attaquer publiquement. Le beau-fils de M. Ahmadinejad, Mehdi Khorshidi, quant à lui, a rejoint les attaques contre les Meshai. Certains croient que Davood quitté son poste de chef de l'unité d'inspection présidentielle en raison des Meshai.

Il est clair, alors, que si Mashaei fonctionne pour le président, il va créer de féroces batailles politiques planté à l'intérieur de la politique iranienne, des conflits qui pourraient même déclencher des violences. Ceci est la dernière chose que Khamenei a besoin pour un régime qui fait déjà face à des sanctions et une multitude de problèmes économiques, ainsi que l'opposition du mouvement vert. Khamenei donc ne voudrez pas un grave conflit parmi les conservateurs, qui dans le monde politique de la République islamique sont ses plus grands supporters.

Cela suggère que la récente mise en garde de Khamenei sur le retrait possible du poste de président est très probablement un avertissement à M. Ahmadinejad. Il dit essentiellement à Ahmadinejad que si, à n'importe quel point Khamenei estime que la prochaine élection pourrait entraîner davantage de divisions et de violence en raison des propres Ahmadinejad plans politique, alors il sera prêt à en finir avec le poste entièrement. (Khamenei pourrait également être préoccupé par la réaction à des plans possibles par le Maire de Téhéran Mohammad Bager Qalibaf- à courir à la présidence, comme beaucoup d’ultraconservateurs s'opposer à lui aussi).


Mais Khamenei est également inquiet pour son propre héritage.

Après avoir pris le poste de chef suprême, en 1989, Khamenei a eu une relation difficile avec ses deux premiers présidents, Ali Akbar Hashemi Rafsanjani et Seyed Mohammad Khatami. Ahmadinejad, qui est entré en fonction en 2005, semblant donc lui donné un souffle un d’air frais. Pendant son premier mandat, il a été à Khamenei ce Khamenei a été lui-même en tant que président de l'ayatollah Khomeini - un soldat enthousiaste et obéissants qui a suivi son commandant. Ce sont les mêmes qualités qui fait aimer Khamenei à Khomeiny. Selon Baqer Moin, auteur de Khomeiny : La vie de l’ayatollah. C'est pourquoi au cours de 10 ans de règne de Khomeiny, il a reçu Khamenei plus de 150 fois - plus que tout autre fonctionnaire dans son ensemble du gouvernement. Cependant, cela a rapidement été mis fin durant le second mandat d'Ahmadinejad, quand le président était perçu comme un défi par Khamenei.

On ne sait pas depuis combien de temps Khamenei restera en tant que chef suprême. Pour le bien du reste de son mandat, il peut avoir décidé qu'il ne veut pas travailler avec un président plus - qu'il en a assez. Ce n'est pas la première fois. Au moment de servir en tant que président entre 1981 et 1989, il avait de graves problèmes pour travailler avec l'ancien premier ministre Mir Hossein Moussavi. Alors mauvaise était la relation tellement qu'il a été rapporté que Moussavi a tenté de démissionner, mais seulement rester sur l'insistance de Khomeiny.

À l'époque, en tant que président, Khamenei ne pouvait pas faire grand-chose. Mais quand il est devenu chef suprême, il ne s'est pas opposé à la position du premier ministre d'être éliminé par un changement dans la Constitution. Maintenant, il pourrait faire la même chose avec le poste de président. Avec un souci de stabilité, pourquoi ne pas arracher le siège de co-pilote et capitaine de l'avion de la République islamique à lui tout seul? Après tout, se quereller avec le co-pilote peut être gênant, et pourrait finalement provoquer l'accident de l'avion. Et avec la nouvelle configuration, le parlement serait trop faible pour ne poser aucun défi à la stabilité du régime.

Khamenei pourrait également être la planification à sa propre succession, que la suppression du poste de président aurait un impact sur le prochain chef suprême de l’Iran aussi. Il est possible qu'il a déjà décidé que son fils Mojtaba devrait prendre le relais, ou qu'un autre, plus faible, cette figure devrait le remplacer auprès de l'Organisation islamique des Gardiens de la Révolution Corp (IRGC) manipulant les leviers politiques du pays.

Avec ces types de scénarios à l'esprit, Khamenei peut avoir décidé que d'avoir un président pourrait créer de la division, division que les ennemis du régime pourraient exploiter. Dans cet esprit, et afin d'assurer une transition en douceur du pouvoir au prochain chef suprême - et des lignes claires d'autorité auxquelles il prend la tête - il serait préférable d'abandonner le poste de président.

Ali Khamenei, avait moins de légitimité que Khomeiny, ce qui explique pourquoi il se sentait menacé par ses présidents. Et Mojtaba Khamenei aurait une légitimité encore moins importante que Ali Khamenei. Dans cet esprit, il est vraiment tentant de se demander pourquoi il devrait se soucier d'avoir un président.



By Meir Javedanfar
The Diplomat

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[Histo]

Ah, tout ce pouvoir, ces dizaines de millions de gens qui vous idolâtre littéralement

Mise à part le chiisme ça change pas beaucoup de leur voisin..

[Adama]

Histo à 14h13 le 9/11/11

Mise à part le chiisme ça change pas beaucoup de leur voisin..

Non, « les autres », ils ne les prient pas tout comme l'on prit Dieu. Ils ne les considèrent pas comme l’unique représentant de Dieu sur Terre.




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[Myst]

[kaiser]

c'est génial myst

[Adama]

Traduction approximative pour non Anglophone issue de l’article original intitulé :«US, Pakistan heading towards confrontation over N-arms issues»

Les Etats-Unis et le Pakistan se dirigent vers la confrontation sur les questions des N-armes

Par Anwar Iqbal
4 Août 2011


WASHINGTON: Les Etats-Unis et le Pakistan se dirigent vers une autre confrontation, peut-être par voie de conséquence plus dévastateur que tous les différends antérieurs, que l'administration Obama se prépare à convaincre Islamabad de stopper la production de matériaux de la bombe nucléaire.

Des rapports récents dans les médias américains suggèrent que l'Assemblée générale des Nations Unies à New York le mois prochain sera le lieu de cette nouvelle poussée et les Etats-Unis a la bénédiction de quatre puissances nucléaires déclarées pour ses manœuvres.

Toujours mercredi, la chaîne de nouvelles NBC a rapporté que les Etats-Unis se prépare pour "le pire des cas, de tenter d'arracher au Pakistan ses plus de 100 armes nucléaires si elle craignait qu'ils étaient sur le point de tomber dans de mauvaises mains".

La chaîne a cité l'ancien président Pervez Musharraf comme un avertissement que ce "serait une erreur de calcul désastreuses, comme une telle incursion pourrait conduire à une confrontation totale entre les Etats-Unis et le Pakistan".

Les anciens et actuels responsables américains, toutefois, ont déclaré à NBC que «garantir la sécurité des armes nucléaire du Pakistan a longtemps été une priorité haute sécurité nationale, avant même que le 11 septembre attaques terroristes, et que les plans ont été établis pour traiter les pires avec scénarios au Pakistan ».

Mais la confrontation attendue à New York n'a rien à voir avec un quelconque plan secret pour s'emparer des armes nucléaires du Pakistan. Les Etats-Unis vont lancer un manœuvre ouverte avec le soutien des autres puissances nucléaires pour forcer le Pakistan à signer le Traité d’arrêt de matières fissiles.

Les médias américains ont indiqué que l'administration Obama avait obtenu le soutien de la Chine pour la finalisation du FMCT. Lors d'une récente conférence à Paris, la Russie, la France et la Grande-Bretagne, toutes les puissances nucléaires déclarées, comme la Chine ont également soutenu le plan américain.

Il n’est, cependant, pas clair si la Chine voudrait revenir sur la capacité de plafonner le niveau nucléaire du Pakistan et permettre ainsi à l'Inde de devenir la seule puissance nucléaire en Asie du Sud.

Les Etats-Unis et ses alliés cherchent un accord d'ici Septembre, pour aller à l'Assemblée générale des Nations Unies avec un plan conjoint pour des entretiens de départ sur le FMCT.

Jusqu'à présent le Pakistan a résisté avec succès toutes les pressions internationales visant à approuver le FMCT, avertissant qu'elle boycotterait tout processus visant à négocier un traité soutenu par les USA en dehors de la Conférence de l'ONU dans l'impasse sur le désarmement (UNCD).

Le UNCD basée à Genève est le seul forum de négociation pour le désarmement multilatéral, mais le traité a été bloqué à la conférence pendant 12 ans, avec le Pakistan comme seul obstacle contre les négociations.

L'initiative américaine vise à créer un nouveau forum où on peut persuader le Pakistan de signer la FMCT.

« Notre préférence est de négocier un FMCT au sein de la Conférence sur le désarmement, mais que le corps a été bloqué par le Pakistan», sous-secrétaire américain d'Etat Ellen Tauscher a déclaré à un séminaire le 28 Juillet à Lafayette, en Californie.

« Ainsi les Etats-Unis se joint aux autres pays pour lancer les préparatifs d'un traité de coupure de matières fissiles ailleurs jusqu'à ce que la conférence ne peut se mettre au travail», dit-elle. Le Pakistan agit par son représentant à l'ONU, Raza Bashir Tarar, la semaine dernière lors d'une réunion de l'Assemblée générale à New York que son pays" ne rejoindra pas un tel processus, ni n’envisage d'adhérer à l'issue d'un tel processus ".

Pour faire face à la pression internationale croissante pour arrêter la production de matières fissiles, le Pakistan a tenté en vain d'entrer dans un accord nucléaire similaire avec Washington, signé avec l'Inde. L'accord avec les Etats-Unis a ouvert la voie à l'Inde d'obtenir la reconnaissance en tant que puissance nucléaire, sans signer le traité de non-prolifération nucléaire.

«Objections du Pakistan refléte sa peur existentielle de l'énergie nucléaire avec l'Inde rival », a noté l'agence de nouvelles Bloomberg dans un article sur le mouvement américain pour convaincre le Pakistan de signer le FMCT.

Le rapport a cité des statistiques publiées par l'Association sur le contrôle des armes nucléaires basée à Washington qui dit que l'Inde a assez de plutonium pour environ 140 bombes. Le Pakistan a suffisamment de plutonium et d'uranium pour plus de 100 bombes actuellement.

Traduction approximative pour non Anglophone issue de l’article original intitulé : « Pakistan rejects new nuclear treaty »

Le Pakistan rejette le nouveau traité nucléaire

12 octobre 2011


Le Pakistan a rejeté le nouveau traité nucléaire à l'interdiction de la production de matières fissiles.

S'adressant au Comité de l'Assemblée générale pour le désarmement et sécurité internationale, du Pakistan Représentant permanent adjoint à l'ONU Raza Bashir Tarar a déclaré qu'il est indispensable pour le Pakistan de s'opposer à l'interdiction de la production de matières fissiles utilisées comme combustible pour des armes nucléaires, car il n'est pas en faveur de la Pakistan.

Il a également critiqué l'attitude discriminatoire des puissances internationales envers le Pakistan et a confirmé que l'interdiction de la production de matières fissiles est contre l'intérêt national du Pakistan.

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[Adama]

Suite 1 :



Traduction approximative pour non Anglophone issue de l’article original intitulé :«Fresh Batch of 700 trainees joined SPD Security Force»

Un nouveau lot de 700 stagiaires a rejoint la Force de sécurité du SPD

Une parade de graduation impressionnante d'un nouveau lot de 700 hommes intelligemment avéré responsables de la sécurité de l'armée en formation a eu lieu ici. Ce groupe avait complété avec succès six mois de formation avancée vigoureuse dans divers domaines de la sécurité nucléaire.

Le Major Général Muhammad Tahir, directeur général de la sécurité stratégique de la Division, qui était l'invité d'honneur à cette occasion tout en abordant le défilé a exprimé sa satisfaction sur la qualité des formations dispensées, les normes acquises, et la motivation des fonctionnaires stagiaires. Il a apprécié les efforts déployés par le personnel enseignant qui avait minutieusement formés cette dernière fournée, conformément aux normes internationales. Le Major Général Muhammad Tahir, a réaffirmé la volonté de préserver les actifs nucléaires du Pakistan à tout prix. Il a réitéré que des ressources considérables ont été mis à disposition pour former, équiper, déployer et de maintenir une force de sécurité indépendante et puissante pour répondre à toutes et chaque menaces émanant de n'importe quel origine. Le directeur général de la sécurité, SPD a exprimé son ferme détermination que rien ne serait laissé au hasard dans la prise de la défense des installations nucléaires du pays et des actifs inexpugnables.

Il faut peut être rappelé que le SPD a entrepris un plan exhaustif de manière significative pour augmenter sa capacité existante par l'induction du personnel supplémentaire de 8 000 hommes dans sa force de sécurité nucléaire. Ceci comprend des officiers triés sur le volet et des hommes, qui sont physiquement robustes, mentalement fort et équipés d'armes et d'équipements modernes, formés à des compétences techniques aux meilleures normes et pratiques internationales. La réalisation rapide du plan de dissuader et de vaincre tous les types de menaces contre la capacité nucléaire du Pakistan. Le plan est mis en œuvre sous l'égide d’une formation exemplaire dans l’Académie des SPD où récemment le directeur général du SPD, le lieutenant-général (retraité) Khalid Ahmed Kidwai avait examiné une parade de graduation d'un tout nouveau groupe de 200 autres fonctionnaires stagiaires.

Suite voir le lien associé :

http://www.algerie-dz.com/forums/sho...12&postcount=6





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