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MILAN / LONDRES, 22 août (Reuters) - Le compagnie pétrolière italienne Eni a mené la charge de retour en Libye, le lundi comme des rebelles balayé dans le capital de Tripoli, en saluant la fin du régime de Mouammar Kadhafi et d'alerte des entreprises russes et chinoises de révisions du contrat.
La tombée de Kadhafi va rouvrir les portes de ce pays avec des réserves de pétrole de l'Afrique. Les nouveaux joueurs comme la société pétrolière nationale du Qatar et de la maison de commerce Vitol sont mis à rivaliser avec établies européenne et les majors américaines.
"Nous n'avons pas un problème avec les pays occidentaux comme les Italiens, les entreprises françaises et britanniques. Mais nous pouvons avoir quelques problèmes politiques avec la Russie, la Chine et le Brésil», Abdeljalil Mayouf, directeur de l'information au cabinet du pétrole libyens rebelles AGOCO, a déclaré à Reuters.
Le commentaire signale la possibilité d'un revers majeur pour la Russie, la Chine et le Brésil, qui a opposé des sanctions sévères sur Kadhafi ou pressé pour plus d'entretiens, et pourrait signifier une perte de milliards de dollars de l'exploration pétrolière et des contrats de construction dans la nation africaine.
Actions dans les entreprises européennes - Eni, l'autrichien OMV et Total France - a augmenté de 3-5 pour cent, malgré une légère baisse dans le prix du pétrole LCOc1, sur des espoirs les entreprises seraient en mesure de rétablir rapidement la sortie de la Libye.
Italie ministre des Affaires étrangères Franco Frattini a déclaré le personnel de l'Eni, premier producteur d'avant-guerre en Libye, était arrivé à s'intéresser à un redémarrage des installations pétrolières dans l'est du pays alors que les combats entre troupes gouvernementales et les rebelles ont continué à Tripoli à l'ouest.
«Les installations ont été faites par les Italiens, par (groupe de services pétroliers) Saipem, et donc il est clair que Eni va jouer un rôle de n ° 1 dans le futur», a déclaré M. Frattini Etat RAI TV.
Avant la guerre, membres de l'OPEP en Libye ont produit environ 2 pour cent de la production mondiale de pétrole, soit 1,6 millions de barils par jour, et il a des réserves pour soutenir que les niveaux de production pour 80 ans.
Un sondage Reuters prévisions, il faudrait jusqu'à un an pour rétablir la sortie libyennes à au moins 1 million de bpj, et jusqu'à deux ans pour revenir à des niveaux d'avant-guerre.
«Il faudra un certain temps avant que la Libye reprend la production de pétrole ... Cependant, la perspective de la production a repris de la Libye va enlever un peu de la prime de risque politique dans le prix du pétrole", a déclaré Caroline Bain à l'Economist Intelligence Unit.
AGOCO a déclaré qu'il était techniquement prêt à démarrer la production de pétrole dans ses deux domaines de l'Est, avec une capacité de 250.000 bpj.
"Nous avons pris soin de l'entretien. Nous avons des sociétés pétrolières libyennes et peut commencer à tout moment si la sécurité est approuvé. Nous pouvons commencer sans les compagnies étrangères", a déclaré Abdeljalil Mayouf, directeur de l'information au AGOCO.
Il a ajouté que les forces de sécurité embauché par l'ancienne armée libyens étaient déjà présents à des champs et des fermes attendait pour leur autorisation de commencer la production.
Les grands perdants
Environ 75 sociétés chinoises exploité en Libye avant la guerre, impliquant environ 36 000 employés et 50 projets, selon les médias chinois.
Les entreprises russes, y compris les entreprises pétrolières Gazprom Neft et Tatneft, a également eu des projets de plusieurs milliards de dollars en Libye. Entreprises brésiliennes comme Petrobras et géant de la construction Odebrecht ont aussi été en affaires là-bas.
En dehors de responsables italiens, d'autres hommes politiques européens et les compagnies pétrolières ont été plus réservés dans les commentaires sur la Libye.
«Nous observons la situation actuelle et des développements ultérieurs de très près. Pour le moment nous ne sommes pas tenir toute entretiens bilatéraux avec le Conseil (national) de transition", un porte-parole autrichien OMV dit.
Autre acteur majeur de l'avant-guerre totale en Libye en France et Wintershall en Allemagne a refusé de commenter.
Les analystes et les observateurs de l'industrie ont dit Eni et Total pourrait émerger comme les grands gagnants de l'après-guerre en Libye en raison du soutien de leurs pays lourdes pour les rebelles.
Grand soutien du Qatar ainsi que du pétrole trader Vitol, ni les producteurs en Libye avant la guerre, peut aussi garantir un morceau de réserves et de l'influence va aux nouveaux joueurs.
«Le Qatar sera un grand joueur. Vitol pourrait être une question importante. Shell (RDSA.L) cherche également à renforcer son rôle", a déclaré un consultant ayant des connaissances du risque occidental de négociations. Shell et Vitol a refusé de commenter.
La plupart des majors pétrolières mondiales ont adopté une approche beaucoup plus prudente aux événements en Libye. BP a déclaré qu'il avait l'intention de retourner à explorer, mais n'a donné aucune échéance.
"Nous avons pleinement l'intention de retourner en Libye pour remplir notre contrat lorsque les conditions le permettent", a déclaré un porte-parole de BP, qui n'a pas eu de production en Libye avant la guerre.
Entreprises américaines telles que Marathon, ConocoPhillips, Hess, Occidental a sorti de la Libye au début de l'année et ont eu peu implication directe dans les événements là-bas depuis lors.
«Ils sont juste assis et d'attendre et d'essayer de deviner qui va exécuter le lieu", a déclaré le consultant de risque qui conseille des entreprises américaines contre la Libye.
La tombée de Kadhafi va rouvrir les portes de ce pays avec des réserves de pétrole de l'Afrique. Les nouveaux joueurs comme la société pétrolière nationale du Qatar et de la maison de commerce Vitol sont mis à rivaliser avec établies européenne et les majors américaines.
"Nous n'avons pas un problème avec les pays occidentaux comme les Italiens, les entreprises françaises et britanniques. Mais nous pouvons avoir quelques problèmes politiques avec la Russie, la Chine et le Brésil», Abdeljalil Mayouf, directeur de l'information au cabinet du pétrole libyens rebelles AGOCO, a déclaré à Reuters.
Le commentaire signale la possibilité d'un revers majeur pour la Russie, la Chine et le Brésil, qui a opposé des sanctions sévères sur Kadhafi ou pressé pour plus d'entretiens, et pourrait signifier une perte de milliards de dollars de l'exploration pétrolière et des contrats de construction dans la nation africaine.
Actions dans les entreprises européennes - Eni, l'autrichien OMV et Total France - a augmenté de 3-5 pour cent, malgré une légère baisse dans le prix du pétrole LCOc1, sur des espoirs les entreprises seraient en mesure de rétablir rapidement la sortie de la Libye.
Italie ministre des Affaires étrangères Franco Frattini a déclaré le personnel de l'Eni, premier producteur d'avant-guerre en Libye, était arrivé à s'intéresser à un redémarrage des installations pétrolières dans l'est du pays alors que les combats entre troupes gouvernementales et les rebelles ont continué à Tripoli à l'ouest.
«Les installations ont été faites par les Italiens, par (groupe de services pétroliers) Saipem, et donc il est clair que Eni va jouer un rôle de n ° 1 dans le futur», a déclaré M. Frattini Etat RAI TV.
Avant la guerre, membres de l'OPEP en Libye ont produit environ 2 pour cent de la production mondiale de pétrole, soit 1,6 millions de barils par jour, et il a des réserves pour soutenir que les niveaux de production pour 80 ans.
Un sondage Reuters prévisions, il faudrait jusqu'à un an pour rétablir la sortie libyennes à au moins 1 million de bpj, et jusqu'à deux ans pour revenir à des niveaux d'avant-guerre.
«Il faudra un certain temps avant que la Libye reprend la production de pétrole ... Cependant, la perspective de la production a repris de la Libye va enlever un peu de la prime de risque politique dans le prix du pétrole", a déclaré Caroline Bain à l'Economist Intelligence Unit.
AGOCO a déclaré qu'il était techniquement prêt à démarrer la production de pétrole dans ses deux domaines de l'Est, avec une capacité de 250.000 bpj.
"Nous avons pris soin de l'entretien. Nous avons des sociétés pétrolières libyennes et peut commencer à tout moment si la sécurité est approuvé. Nous pouvons commencer sans les compagnies étrangères", a déclaré Abdeljalil Mayouf, directeur de l'information au AGOCO.
Il a ajouté que les forces de sécurité embauché par l'ancienne armée libyens étaient déjà présents à des champs et des fermes attendait pour leur autorisation de commencer la production.
Les grands perdants
Environ 75 sociétés chinoises exploité en Libye avant la guerre, impliquant environ 36 000 employés et 50 projets, selon les médias chinois.
Les entreprises russes, y compris les entreprises pétrolières Gazprom Neft et Tatneft, a également eu des projets de plusieurs milliards de dollars en Libye. Entreprises brésiliennes comme Petrobras et géant de la construction Odebrecht ont aussi été en affaires là-bas.
En dehors de responsables italiens, d'autres hommes politiques européens et les compagnies pétrolières ont été plus réservés dans les commentaires sur la Libye.
«Nous observons la situation actuelle et des développements ultérieurs de très près. Pour le moment nous ne sommes pas tenir toute entretiens bilatéraux avec le Conseil (national) de transition", un porte-parole autrichien OMV dit.
Autre acteur majeur de l'avant-guerre totale en Libye en France et Wintershall en Allemagne a refusé de commenter.
Les analystes et les observateurs de l'industrie ont dit Eni et Total pourrait émerger comme les grands gagnants de l'après-guerre en Libye en raison du soutien de leurs pays lourdes pour les rebelles.
Grand soutien du Qatar ainsi que du pétrole trader Vitol, ni les producteurs en Libye avant la guerre, peut aussi garantir un morceau de réserves et de l'influence va aux nouveaux joueurs.
«Le Qatar sera un grand joueur. Vitol pourrait être une question importante. Shell (RDSA.L) cherche également à renforcer son rôle", a déclaré un consultant ayant des connaissances du risque occidental de négociations. Shell et Vitol a refusé de commenter.
La plupart des majors pétrolières mondiales ont adopté une approche beaucoup plus prudente aux événements en Libye. BP a déclaré qu'il avait l'intention de retourner à explorer, mais n'a donné aucune échéance.
"Nous avons pleinement l'intention de retourner en Libye pour remplir notre contrat lorsque les conditions le permettent", a déclaré un porte-parole de BP, qui n'a pas eu de production en Libye avant la guerre.
Entreprises américaines telles que Marathon, ConocoPhillips, Hess, Occidental a sorti de la Libye au début de l'année et ont eu peu implication directe dans les événements là-bas depuis lors.
«Ils sont juste assis et d'attendre et d'essayer de deviner qui va exécuter le lieu", a déclaré le consultant de risque qui conseille des entreprises américaines contre la Libye.