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Des preuves accablantes d'actes de torture commis sous l'administration Bush

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  • Des preuves accablantes d'actes de torture commis sous l'administration Bush

    Human Rights Watch, revient avec un rapport preuve à l'appui accablant l'administration Bush de crimes.
    Le NPD, le parti de l'opposition canadienne, exige du fédéral, d’arrêter Bush et ses criminels s'ils viennent au Canada.


    Etats-Unis: Il faut enquêter sur l'autorisation d'actes de tortures par l'ex-président Bush et ses fonctionnaires.

    (Washington, le 12 juillet 2011) - Des preuves accablantes d'actes de torture commis sous l'administration Bush obligent le président Barack Obama à ordonner l'ouverture d'une enquête criminelle sur les allégations d'abus subis par des détenus et autorisés par l'ancien président George W. Bush ainsi que d'autres hauts fonctionnaires américains, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport paru aujourd'hui. L'administration Obama n'a pas respecté à ce jour l'obligation d'enquêter sur les actes de torture et autres mauvais traitements infligés aux détenus qui incombe aux États-Unis en vertu de la Convention contre la torture, a ajouté Human Rights Watch.
    Le rapport de 107 pages, intitulé, Getting away with torture: The Bush administration and mistreatment of detainees, (Torture et impunité : L'administration Bush et les mauvais traitements infligés aux détenus ), présente des informations substantielles justifiant la tenue d'enquêtes criminelles à l'encontre de George Bush et de plusieurs hauts fonctionnaires de son administration, notamment l'ancien vice-président Dick Cheney, l'ancien secrétaire d'État à la Défense Donald Rumsfeld et l'ancien directeur de la CIA George Tenet, au motif qu'ils ont ordonné des pratiques comme le « waterboarding » (simulacre de noyade), l'utilisation de prisons secrètes par la CIA et le transfert des détenus vers des pays où ils ont ensuite été torturés.

    « Il existe des raisons solides d'ouvrir une enquête concernant l'autorisation par Bush, Cheney, Rumsfeld et Tenet d'actes de torture et de crimes de guerre », a déclaré Kenneth Roth, directeur exécutif de Human Rights Watch. « Le président Obama a traité le recours à la torture comme s'il s'agissait d'un choix politique regrettable et non d'un crime. Sa décision de mettre fin aux pratiques d'interrogatoire abusives risque d'être réversible tant que l'interdiction légale de la torture ne sera pas clairement rétablie. »

    Si le gouvernement américain n'engage pas d'enquêtes criminelles crédibles, d'autres pays devront en vertu du droit international poursuivre en justice les officiels américains impliqués dans des crimes à l'encontre de détenus, a indiqué Human Rights Watch. « Les États-Unis ont une obligation légale d'enquêter sur ces crimes », a affirmé Kenneth Roth. « Si les États-Unis ne prennent pas les mesures qui s'imposent, d'autres pays devront le faire. » En août 2009, le ministre de la Justice américain (Attorney General) Eric Holder a nommé le procureur fédéral adjoint John Durham afin que ce dernier enquête sur les abus infligés à des détenus, mais il a limité l'examen aux actes « non autorisés ». Ceci a signifié que l'enquête n'a pas pu couvrir les actes de torture comme le « waterboarding »et d'autres mauvais traitements autorisés par les avocats de l'administration Bush, même si ces actes ont enfreint le droit national et international. Le 30 juin, Holder a accepté la recommandation de Durham d'ouvrir une enquête exhaustive sur deux décès de prisonniers qui auraient été détenus par la CIA en Irak et en Afghanistan. Human Rights Watch a noté que la portée limitée de l'enquête de Durham n'a toutefois pas permis d'aborder le problème du caractère systémique des exactions.
    « Les abus systématiques autorisés par le gouvernement américain dans plusieurs pays n'étaient pas le résultat d'actes de quelques individus qui ont enfreint les règles », a observé Kenneth Roth. « Ils ont résulté de décisions prises par des hauts fonctionnaires américains qui ont choisi de redéfinir, contourner ou ignorer les règles en vigueur. »

    La suite et le rapport (anglais) sont sur le site de Human Rights Watch







  • #2
    Des preuves accablantes d'actes de torture commis sous l'administration Bush

    Qu'attend-on pour activer le TPI ? Demanda le rêveur.
    C'était pour la bonne cause! répondit l'éveillé.
    Écrire l’Histoire, c’est foutre la pagaille dans la Géographie...

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