Je l'ai dit,
je l'ai annonce depuis des mois
le gouvernement algérien ne procède pas à ce dégel de gaieté de cœur: un des clans au pouvoir est contre, on verra par la suite quel clan.
les deux clans, sentant une mort politique prochaine, veulent à tout pris "pacifier" le flanc ouest qui est aussi le plus sensible à cause de la politique étrangère agressive de l'Algérie.
Autant le gouvernement algérien craint le Maroc comme la peste, parité militaire oblige, autant il sait qu'il est le pays le plus fiable, le plus loyal et le plus respectueux de la parole donnée.
Dans quelques mois, comme par enchantement, le Polisario sera obligé d'accepter les faits de l’histoire, de la logique et du droit et sera obligé de négocier son retour au pays.
A l'Algérie de prendre la leçon de ces décennies gâchées, de ces milliards de dollars dépensés pour une fin qu'elle pouvait faciliter, qu'elle pouvait même provoquer pour, réellement avoir sa place dans le cœur des marocains.
L'entêtement et les parasites comme Bougataya et belkhadem ont voulu que l'histoire aille autrement, elle a été tenace, elle a tenu bon et a restitué au Maroc ses droits.
Au Maroc, de rendre sa victoire modeste, utile pour les deux pays.
Aux marocains de savoir pardonner à ceux qui ont fait du mal à leur patrie, le retour au Maroc doit être celui de soldats dans toute sa dignité.
Le retour des éléments séparatistes doit être une fête, la notre parce qu'enfin notre rêve se réalise, le retour doit être la fête pour ceux qui rentrent : la fête de la rencontre avec une patrie qui, malgré la gravité des erreurs, n'a pas renié ces gens, elle a laissé la porte du pays et du cœur toujours ouverte.
Aux responsables algériens, ce renouveau doit être une date à ne pas oublier : malgré la divergence, le sang marocain et le sang algérien n'a que peu coulé.
De part et d'autre de la frontière, chaque jour offrait son lot de raisons pour faire la guerre, les deux gouvernements ont su se maitriser pour toujours penser à la paix.
Si demain cette paix revient, elle doit rester constamment sous le regard des deux peuples, parce qu'ils sont seuls à savoir la protéger.
A Abdelaziz el marrakchi, je vous conseille de faire un saut à la Mecque pour demander pardon à dieu, puis retourner rencontrer les vôtres à rabat, Casablanca ; Marrakech, layoune et Dakhla, sans pour oublier l'aide et l'assistance que le peuple algérien vous a, d'une façon mesurée, je le souligne, apportée.
je l'ai annonce depuis des mois
le gouvernement algérien ne procède pas à ce dégel de gaieté de cœur: un des clans au pouvoir est contre, on verra par la suite quel clan.
les deux clans, sentant une mort politique prochaine, veulent à tout pris "pacifier" le flanc ouest qui est aussi le plus sensible à cause de la politique étrangère agressive de l'Algérie.
Autant le gouvernement algérien craint le Maroc comme la peste, parité militaire oblige, autant il sait qu'il est le pays le plus fiable, le plus loyal et le plus respectueux de la parole donnée.
Dans quelques mois, comme par enchantement, le Polisario sera obligé d'accepter les faits de l’histoire, de la logique et du droit et sera obligé de négocier son retour au pays.
A l'Algérie de prendre la leçon de ces décennies gâchées, de ces milliards de dollars dépensés pour une fin qu'elle pouvait faciliter, qu'elle pouvait même provoquer pour, réellement avoir sa place dans le cœur des marocains.
L'entêtement et les parasites comme Bougataya et belkhadem ont voulu que l'histoire aille autrement, elle a été tenace, elle a tenu bon et a restitué au Maroc ses droits.
Au Maroc, de rendre sa victoire modeste, utile pour les deux pays.
Aux marocains de savoir pardonner à ceux qui ont fait du mal à leur patrie, le retour au Maroc doit être celui de soldats dans toute sa dignité.
Le retour des éléments séparatistes doit être une fête, la notre parce qu'enfin notre rêve se réalise, le retour doit être la fête pour ceux qui rentrent : la fête de la rencontre avec une patrie qui, malgré la gravité des erreurs, n'a pas renié ces gens, elle a laissé la porte du pays et du cœur toujours ouverte.
Aux responsables algériens, ce renouveau doit être une date à ne pas oublier : malgré la divergence, le sang marocain et le sang algérien n'a que peu coulé.
De part et d'autre de la frontière, chaque jour offrait son lot de raisons pour faire la guerre, les deux gouvernements ont su se maitriser pour toujours penser à la paix.
Si demain cette paix revient, elle doit rester constamment sous le regard des deux peuples, parce qu'ils sont seuls à savoir la protéger.
A Abdelaziz el marrakchi, je vous conseille de faire un saut à la Mecque pour demander pardon à dieu, puis retourner rencontrer les vôtres à rabat, Casablanca ; Marrakech, layoune et Dakhla, sans pour oublier l'aide et l'assistance que le peuple algérien vous a, d'une façon mesurée, je le souligne, apportée.
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