Vous pouvez aisément transformer ce "peut être" en "surement», je vous dis la vérité et je ne triche pas.
mais c'est le même argument qu'on a opposé au million d'égyptiens de la place Tahrir en arguant que c'est "Rien" devant les 80 autres millions qui n'avaient pas pris position.
Je ne prône pas que les militants du 20fev cessent leurs revendications ou diminuent leur pression.
Ce dont je veux attirer l'attention sur est que le pays est encore soumit à une constitution qui impose certaines règles qui ne peuvent être mises en parenthèses.
Le débat que voulait susciter Larbi est que le Makhzen est devant deux options :
- Initier de vraies réformes
- Faire dans le replâtrage
Je reproche à ce monsieur et à ses admirateurs, la lecture fragmentée de l'exercice politique au Maroc.
Il n'arrive pas en faire unitaire parce qu'ils restent collés à l'événementiel et zappe le travail continuel qui se fait et qui seul à avoir une logique, un début et peut être une fin.
Il est certain que le régime marocain a eu recours , d'une façon récurrente, au replâtrage , mais actuellement , l'échéancier est devenu plus impératif et l'environnement international plus interventionniste: fini le respect total du principe de la souveraineté internationale: le droit international s'est ouvert de brèches entières dans cette vision étriquée du droit pour rendre des actions , de l'étranger , aussi légales que celles classiques que le monde respectait.
Malgré le pessimisme affiché devant les membres de la commission "désigné", il pense que les jeunes feront en sorte que la mayonnaise du Makhzen ne prenne pas.
Je reviens à dire que ces jeunes ne dépassent pas les 35000, que trois mois ont été donnés à ce mouvement pour gonfler et grandir comme ce fut le cas ailleurs, Force est de contsater que c'est ne pas le cas : sans l'apprt des opportunistes de al adl wa ihssan et les nishilistes du nahj addemocrati, le nombre de ces jeunes ne remplirait pas une salle de cinema.
Je ne crois pas qu'ils sont, actuellement, en état de dicter quoique ce soit :
-déjà la population commence à se détourner d'eux
-ce qui s'est passé en Tunisie, en Egypte et maintenant en Lybie a été efficacement dissuasif : les marocains qui ne sont pas habitués à la violence ont été traumatisés par ce qui se passe en Lybie. Ouvrir la boite de pandore n'est pas voulu par la grande majorité des marocains qui ne veut pas voir les acquis économiques réalisés par le pays se faire détruire par un mouvement, déjà, jugé comme suiviste ni plus ni moins.
Tout simplement parce que (comme leur slogan l'indique) : MamFakinch
Vous savez les slogans ne nourrissent pas la politique, si cela était vrai, Cuba, la Corée du nord et d'autres pays seraient en tète de série des puissances mondiales.
mais c'est le même argument qu'on a opposé au million d'égyptiens de la place Tahrir en arguant que c'est "Rien" devant les 80 autres millions qui n'avaient pas pris position.
Je ne prône pas que les militants du 20fev cessent leurs revendications ou diminuent leur pression.
Ce dont je veux attirer l'attention sur est que le pays est encore soumit à une constitution qui impose certaines règles qui ne peuvent être mises en parenthèses.
Le débat que voulait susciter Larbi est que le Makhzen est devant deux options :
- Initier de vraies réformes
- Faire dans le replâtrage
Je reproche à ce monsieur et à ses admirateurs, la lecture fragmentée de l'exercice politique au Maroc.
Il n'arrive pas en faire unitaire parce qu'ils restent collés à l'événementiel et zappe le travail continuel qui se fait et qui seul à avoir une logique, un début et peut être une fin.
Il est certain que le régime marocain a eu recours , d'une façon récurrente, au replâtrage , mais actuellement , l'échéancier est devenu plus impératif et l'environnement international plus interventionniste: fini le respect total du principe de la souveraineté internationale: le droit international s'est ouvert de brèches entières dans cette vision étriquée du droit pour rendre des actions , de l'étranger , aussi légales que celles classiques que le monde respectait.
Malgré le pessimisme affiché devant les membres de la commission "désigné", il pense que les jeunes feront en sorte que la mayonnaise du Makhzen ne prenne pas.
Je reviens à dire que ces jeunes ne dépassent pas les 35000, que trois mois ont été donnés à ce mouvement pour gonfler et grandir comme ce fut le cas ailleurs, Force est de contsater que c'est ne pas le cas : sans l'apprt des opportunistes de al adl wa ihssan et les nishilistes du nahj addemocrati, le nombre de ces jeunes ne remplirait pas une salle de cinema.
Je ne crois pas qu'ils sont, actuellement, en état de dicter quoique ce soit :
-déjà la population commence à se détourner d'eux
-ce qui s'est passé en Tunisie, en Egypte et maintenant en Lybie a été efficacement dissuasif : les marocains qui ne sont pas habitués à la violence ont été traumatisés par ce qui se passe en Lybie. Ouvrir la boite de pandore n'est pas voulu par la grande majorité des marocains qui ne veut pas voir les acquis économiques réalisés par le pays se faire détruire par un mouvement, déjà, jugé comme suiviste ni plus ni moins.
Tout simplement parce que (comme leur slogan l'indique) : MamFakinch
Vous savez les slogans ne nourrissent pas la politique, si cela était vrai, Cuba, la Corée du nord et d'autres pays seraient en tète de série des puissances mondiales.
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