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Libye : pourquoi les insurgés piétinent

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  • #16
    Pour le drapeau...

    Le drapeau de la Libye consiste en un simple fond vert. C'est le seul drapeau national au monde n'ayant qu'une seule couleur et ne présentant aucun motif. Le vert est la couleur de l'Islam et celle de la « révolution du peuple » de Mouammar Kadhafi.
    Le drapeau a été créé lorsque Kadhafi a décidé de se retirer de l'Union des Républiques arabes, à la suite du voyage en Israël le 19 novembre 1977 du président égyptien Anouar el-Sadate, qu'il considère comme un traître. Le gouvernement abandonne alors son drapeau semblable à celui de l'Égypte et adopte un drapeau uniformément vert. La République arabe libyenne devient dans le même temps la Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste.


    Wikipedia

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    • #17
      Attends, tu ne te base que sur un drapeau? Et quand Kadhafi avait le meme, etait-il idrisside lui-aussi?

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      • #18
        Les Etats-Unis «soutiennent» Kadhafi
        La «Ligue arabe», Nicolas Sarkozy et tous ces «démocrates» qui piaffaient d'impatience, chez nous et ailleurs, de «démocratiser» la Libye à l'irakienne, sont bien attrapés, maintenant que les Etats-Unis leur ont refusé ce plaisir.
        Il n'y aura pas de GI's, ni en Cyrénaïque, ni en Tripolitaine, ni dans le Fezzan. Cela prouve que Barack Obama et sa secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères, Hillary Clinton, connaissent mieux les «arabes» que la Ligue et que les «démocratiseurs» du même nom. Ils savent que les peuples ne pensent pas forcément comme ceux qui ont le pouvoir, un écran, un micro ou un journal à leur disposition. La queue entre les jambes, c'est Alain Juppé qui est chargé de dire aux députés français que «l'idée d'instaurer une zone d'exclusion aérienne en Libye était désormais dépassée» et non Bernard-Henri Lévy, qui «comptait les heures de Kadhafi», sûr qu'il était du coup qu'il a concocté avec Sarkozy. A la presse, il a déclaré : «Aujourd'hui, nous n'en avons pas les moyens militaires, puisque la communauté internationale n'a pas décidé de s'en doter», avouant l'impertinence de son chef à jouer au «Rambo». Pourtant, si le souci était bien de limiter les morts et la souffrance parmi les insurgés, il y avait une chose à faire. Mais, les Amr Moussa et son appareil de bric et de broc ont tout fait pour qu'elle soit compromise. Il fallait raisonnablement pousser au dialogue et envisager des solutions pacifiées, au moins pour geler les opérations militaires. Au lieu de cela, on a exclu le gouvernement libyen, diabolisé son chef et chauffé à blanc les rebelles, auxquels on a fait croire qu'ils étaient tout près de la victoire finale. Convaincus de cette issue, ils ont affiché de l'arrogance devant les offres de pourparlers, y voyant des signes de faiblesse et assurés que la France, au moins, allait les aider à vaincre. Pathétique illustration de cette conviction, l'immense drapeau tricolore arboré à Benghazi est à la mesure des espoirs récoltés à l'Elysée. Désormais, ils sont seuls face à leur destin et même Nessma TV a subrepticement supprimé de son logo le drapeau d'Idriss, dont elle s'était fait un devoir, il y a quelques jours, de le mettre à la place du drapeau de la Jamahiriya. Voilà ce que ça peut coûter de penser à la place des Etats-Unis. Il a suffi qu'ils disent «non» pour que tout s'effondre. Les a-t-on seulement consultés ? On a simplement devancé l'appel parce qu'on ne voulait pas se trouver en porte-à-faux avec leur décision. On voulait qu'ils apprécient l'anticipation de leurs desiderata. Patatrac ! On est passé à côté. Les destructeurs de l'Irak ont appris le danger, pour leurs intérêts, qu'il y avait à s'aventurer dans l'ingérence, avec un curriculum comme le leur. Ils refusent même de fournir des armes au Conseil national de transition (CNT) libyen. Une bonne leçon de chose à méditer. Mais, en attendant, l'urgence est de parvenir à une solution qui préserve la vie des Libyens et évite au pays de sombrer dans une guerre civile ou de tomber sous une dictature plus féroce. L'Union africaine pourrait être d'un certain secours puisqu'elle ne s'est pas compromise comme l'organisation «arabe». Dans la foulée, cette organisation devrait se saborder, maintenant qu'à son inutilité et à sa servilité s'est ajoutée sa nuisance.
        Par Ahmed Halfaoui

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        • #19
          Kadhafi vient d'envoyer une lettre ou il implore son "fils" Obama d'arreter les frappes de l'OTAN. On est loin de l'anti-imperialisme et du "toz america".

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          • #20
            Normal, lui il pense à son peuple et aux innocents civils victimes des bombes et missiles des croisés..............

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            • #21
              Ca se voit qu'il n'est pas algerien, nous dans cette situation ce serait "Ali mout waqef".

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              • #22
                pourquoi les insurgés piétinent
                vous parlez de l armée mexicaine

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                • #23
                  Envoyé par Biskra
                  nous algériens on n'a compris tout de suite a la minute prés ,que cela sentais le coup tordus, et heureusement on ne c'est pas laisser embarquer dans cette galère ,contrairement a d'autres
                  La politique extérieure d'Algérie est moins pire que celle de l’intérieur. La saga contre les Moubarak d'Égypte a démontré une bonne maturité, et quoi dire du fou Kadhafi qui a humilié un pauvre mendiant algérien, qui nous a imposé un visa, qui opérait dans notre dos à manipuler les touaregs et autres gens du désert.
                  Bizarrement, la main dieu a frappé, Moubarak balayé, Kadafou est entrain de payer et vit un bordel indescriptible, idem pour Momo six et ses menaces (Bouteftoufa n'a même pas tenu compte)...
                  وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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